Protegeons nos enfants

Oui le pédophile est un malade qu’il faut soigner. La castration chimique est le meilleur traitement selon moi. Les cas de récidive aprés ce traitement ne doivent pas etre fréquent.

Supposition. :smiley: Argument non recevable. :wink:

En plus des peines de prison bien sur.

As tu des chiffres toi??
Moi non…

ben hier dans le journal :

un récédiviste marseillais de 54 ans (il a déjà été condamné à 3 reprises : il a purgé sa peine et il était suivi par un psychiatre + un juge d’application des peines) a été pris en flagrant délit de viol sur un jeune garçon de 8 ans.

:neutre:
parfois même un suivi psy ne suffit pas

En plus, on sait qu’en France, le suivi des prisonniers après la sortie des prisons est totalement nul et pendant, aussi. C’est un très gros manque et c’est aussi pour cette raison qu’il y a énormément de récidives.

non, apparemment pas dans ce cas là, il était suivit après la prison, il allait à tous ces rdv le monsieur
Edité le 12/06/2008 à 13:55

va sur le 20minutes d’hier et chercher l’article :neutre:

“La France a peur” le retour…

Après les jeunes, la racaille, les tournantes, les brulées-vives, les récidivistes, on est donc dans la période pédophile !
Et après on s’étonne de la consommation d’anti-dépresseurs dans notre beau pays. 30 ans de politique basée sur l’émotion et la rubrique des chiens écrasés ont finalement réussi à nous faire vivre dans la psychose du lendemain.

Bel avenir que nous préparons à nos enfants auxquels nos peurs et nos angoisses seront transmises. Alors on fait quoi ? On demande le pedigree des instituteurs ? Un certificat de moralité aux voisins de paliers ? Un test génétique ou une vérification des pré-dispositions lors de l’enfance ?

Quel cauchemard ! :pfff:

Désolé si mon message peut paraître agressif. De fait il l’est en partie car la petite musique sécuritaire qui flotte dans les airs commence particulièrement à m’échauffer. Non, la vie en France n’est pas plus dangereuse qu’autrefois. Non, la “tranquilité d’antan” (dixit mon cher maire) n’existe pas ou alors dans l’esprit de quelques nostalgiques qui regrettent une époque imaginaire pré-68 et qu’ils n’ont la plupart du temps même pas connu.

Alors oui, il a des tordus, des fous, des malades et aussi des monstres. Il faut faire avec, sans naïveté ni compromis mais sans que cette réalité rende la vie intolérable. On voudrait tous que la vie soit plus simple, qu’il n’y ai plus de guerre, que la famine disparaisse, que tout le monde soit gentil… Penser éradiquer le problème de la pédophilie par une pancarte est aussi naïf que de croire que Miss France va apporter la paix sur Terre.

Voici l’article
[spoiler]
Un récidiviste marseillais montre les limites du suivi

Le suspect avait déjà été condamné trois fois pour des actes pédophiles. Après avoir purgé sa peine, il était suivi. Pourtant, il a récidivé. Cet homme de 54 ans devait être mis en examen hier soir à Marseille après avoir été arrêté dimanche en flagrant délit de viol d’un garçon de 8 ans. L’enfant, qui jouait devant les immeubles d’une cité des quartiers nord, a été abordé par le suspect, qui lui a proposé une balade en scooter. Arrivé dans une rue proche, il aurait amené sa victime à lui faire une fellation, avant d’être interpellé.

Le suspect, Jean-Louis P., avait déjà été condamné en correctionnelle deux fois pour exhibition et deux fois pour agression sexuelle. Dans les années 1990, il avait avoué une cinquantaine d’agressions sexuelles, mais seules deux victimes avaient pu être entendues. Sa dernière con­damnation à dix-huit mois de prison remonte à 2005. Depuis sa sortie, il était suivi par un psychiatre et un juge d’application des peines d’Aix-en-Provence. « Tout avait été mis en place correctement, il allait régulièrement aux rendez-vous, souligne Jacques Dallest, procureur de Marseille. Cela montre les limites du suivi, et l’incertitude en matière psychiatrique. On est face à un abuseur sexuel, qui ne sait pas résister à ses pulsions. Et dans ce cas-là, même un bracelet électronique ne garantit pas contre la récidive. »

Le projet de loi sur la rétention de sûreté, qui prévoit de maintenir dans des hôpitaux fermés les criminels jugés dan­gereux, n’aurait pu s’appliquer à lui. Jean-Louis P. n’a en effet jamais été condamné par une cour d’assises.

20 Minutes, éditions du 11/06/2008 - 07h10
[url=http://www.20minutes.fr/article/236342/France-Un-recidiviste-marseillais-montre-les-limites-du-suivi.php][/spoiler]
Edité le 12/06/2008 à 14:28

personnellement si ça arrive à mon enfant, c’est à la morgue qu’il aura sa place malade ou pas malade, et j’invoquerai les pulsions incontrolables

Tu feras 30 ans de tôle. :neutre: Tu auras ta vie anéantie pour toujours. C’est chouette. :miam:

non j’aurais 18 mois et quelques médicaments :o

Pour information, depuis 20 ans, à crime égal, les peines sont en augmentation constante.

c’est pas une pensée honteuse :neutre:
ce sentiment de “violence” - “vengeance” fait partie d’un tas d’autres sentiments que nous ressentons :neutre:

si un mec vient abimer ta voiture, bien souvent, le propriétaire a bien envie de lui mettre une droite => tu as donc un accès de violence ou tu penses le faire

si un mec (ou femme) fait qq chose à ton enfant ==> tu as envie de “tuer” ou de te “défouler” sur cette personne, c’est tout aussi une réaction normale.
Ce qui me parait pas très normal, se serait de se dire : c’est pas grave, il est malade, on va le soigner :paf:

après, entre le penser, et le faire… c’est différent

mais bon, pour en revenir à ce qui a été dit plus haut, effectivement, il ne faut pas vivre dans une perpetuelle peur, etc… ni condammer automatiquement à mort les gens, surtout qu’il est arrivé des cas ou des accusations n’étaient que mensongères et des vies ont été bien amochées suite à cela :frowning:
Edité le 12/06/2008 à 15:38

Pensée honteuse, non… l’acte, oui.
C’est la loi du Talyon.

je disais ça par rapport à l’autre dans le 20 minutes
“Le suspect, Jean-Louis P., avait déjà été condamné en correctionnelle deux fois pour exhibition et deux fois pour agression sexuelle. Dans les années 1990, il avait avoué une cinquantaine d’agressions sexuelles, mais seules deux victimes avaient pu être entendues. Sa dernière con­damnation à dix-huit mois de prison remonte à 2005”

malgré tout je reste sur ce que j’ai dit, pour moi je ne laisserai pas vivre la personne qui aura détruit la vie de ma progéniture

Affaire grégory, une grande histoire. :jap:

:jap:
Malré tout, si c’était du bon sens, il serait partagé par l’ensemble de mes concitoyens et j’ai bien peur que ce ne soit pas le cas ! :sarcastic:

c’est juste que parfois entre la théorie et la pratique, ben c’est pas facile :neutre: