Tout simplement parce que l’eau risque de :
1- Faire gripper les pompes d’injection
2- D’exploser les injecteurs et de faire de la découpe a l’eau sur les pièces d’en face (Les injecteurs sont fait pour injecteur du kero (ou avgaz), pas de l’eau)
3- Et enfin, vu que l’eau sera dans une phase séparée, quand tes pompes vont pomper d l’eau, elle ne pomperont que de l’eau… du coup le moteur va caler. (Et meme purger le circuit en vol jusqu’a retrouver un peut de carburant, faut pas top rever…)
Edité le 26/07/2007 à 07:14
Ben quoi
oui en plus le problème était qu’il ne constataient pas d’amélioration sur les HDI, du coup, le temps qu’ils industrialise le produit, tout le mond est en HDI
bref tout ça pour dire que les invetion qui restent dans les cartons, il n’y a pas besoin de chercher de conspiration, c’est soit trop risqué financièrement pour qu’un industriel s’y lance, alors que les techno actuelle sont assez rentable pour lui, soit qu’ils n’ont carrément plus connaissance des découvertes “anciennes”.
edit: et c’est normal: un indutriel aujourd’hui cherche le plus rentable à court ou moyen terme, la loi du marché.: c’est fini les entreprise familiale qui se lance dans du très long terme.
Pour que les industriel fasse de l’cologique, il faudrait un minimum de pression politique.
Dans les tehcno de moteurs originales, il y en a quelques unes:
les moteurs rotatif Wankel: révolutionnaire à l’époque, aujourd’hui seule une voiture de série en est équipée: la RX8
le moteur Stirling dont Philips est propriétaire du brevet, totalement inutilisé dans l’automobile, et un peu sur les bateau je crois. mais dont le rendement est supérieur au moteur classique, et utilisable avec de l’énergie solaire (donc plutôt en fixe)
tous les systèmes pila à combustiblae+moteur électriques.
Il y avait eu un topic sur clubic sur un moteur de type turbine aussi, plus 1 ou plusieurs autres surjet sur le Pantone. Bref il y a pas mal d’invention dans les cartons, moi je trouve le Pantone le moins efficace et le plus abisque, il se contente d’ajouter une alimentation dopée sur des vieux moteurs. :neutre:
Edité le 26/07/2007 à 09:23
Clair que les moteur turbine ont de bien meilleurs rendements que les pistons… avec en plus une grande fiabilité… c’est ce qui a fait leur succès des turboprop dans l’aéronautique. Le problème c’est que c’est aussi notablement plus chèr à construire (et donc difficile a rentabiliser sur des petites conso), et aussi que pour être efficace cela doit rester dans une plage de régime assez réduite (Pour une auto, ca ne peut réellement fonctionner que comme générateur pour alimenter un moteur élec)
Egalement utilisé sur la mythique Mazda 787B… Mais bon, y’a eu pas mal de problèmes d’entretien, de fiabilité et d’étanchéité… D’ailleurs, sur la 787, le moteur est bridé pour pouvoir tenir 24h, de 900+hp@10500 tr/min à 700 hp@9000 tr/min…
Sans compter que Mazda a fait beaucoup de progrès seul, et a posé un nomtre incalculable de brevets, donc les autres constructeurs s’aventurent pas sur ce terrain.
Le moteur Stirling, je connais bien, pour avoir bossé dessus.
Les avantages sont ceux des machines à combustion externe, donc les mêmes que ceux de la machine à vapeur. On pense immédiatement à “locomotive à vapeur” et “centrale thermique”.
Comme sur une centrale thermique, tu peux faire fonctionner au fioul, au charbon, au gaz, à l’uranium ou même au solaire (centrale Thémis), ta partie “conversion thermique-mécanique” sera la même (au dimensionnement près), y’a que le “moyen de chauffage” qui change… Donc le moteur Stirling, tu peux le faire tourner avec du charbon, du solaire (centrale Sandra). Ou du plutonium… J’déconne pas, la NASA est déjà sur le coup pour remplacer ses panneaux solaires sur les satellites, et c’est une alternative TRES SERIEUSE dans les centrales nucléaires à caloporteur sodique, parce que circuit primaire au sodium + secondaire à l’eau, s’pas top, étant donné qu’en cas de double fuite, sodium + eau = boum. (c’est pour ça que superphénix a été fermé…)
Or, un circuit primaire au sodium est beaucoup plus sûr qu’un circuit à eau pressurisée (si on excepte ce léger inconvénient de sodium+eau=boum), pour la simple raison que les sels fondus sont à l’état liquide à pression atmosphérique… Donc pas besoin d’avoir des pressions de plusieurs dizaines de bars. Et en cas de fuite, même importante, le circuit primaire continue de fonctionner en attendant l’arrêt du réacteur.
Bref, sur les réacteurs de 5e génération, on verra très probablement des moteurs Stirling. :oui:
Mais y’a les inconvénients, et ce sont les mêmes que la machine à vapeur: faut chauffer le moteur… Bah oui, le Stirling ne fonctionne que quand un côté est chaud et l’autre froid. Donc faut faire chauffer le métal du moteur, ça peut prendre quelques secondes… Autrement dit, pas d’accélérations brusques. Comme sur une loco à vapeur… Et inversement, ça freine pas en claquant des doigts, puisque quand tu coupes le brûleur, bin le métal de ton moteur est encore chaud… On peut faire un freinage d’urgence (en ouvrant une soupape de purge du cylindre par exemple), mais freiner doucement, on sait pas faire…
Et en plus, à cylindrée égale, un moteur stirling sera beaucoup moins puissant qu’un moteur à vapeur… Parce qu’une machine à vapeur, tu peux balancer des pressions considérables dedans sans aucun problème…
A mon avis, c’est ça, la solution. :jap:
En attendant bien évidemment d’utiliser l’hydrogène en tant que vecteur énergétique. Dans des piles à hydrogène, ou même dans des moteurs à combustion à hydrogène.
Edité le 26/07/2007 à 18:10
L’hydrogène en tant que vecteur énergétique… j’ai encore de sacré doutes. Il présente trop d’inconveignants au stokage : dangereux, hautes pressions, très faible concentration d’énergie. Je pense que l’on passera directements à des carburant liquides synthétisés à partir d’hydrogène ou huiles et alcools… Ca permétrait de garder l’autonomie et la simplicité du plein actuel, en restant avec des reservoirs de taille comparable.
impressionnant tout ça, et c’est bien sur des centrale que je le voyait utilisé en effet, sans compter qu’on peut l’exploiter même pour de faible température (avec un rendement moindre évidemment) mais ce qui signifie qu’il pourrait déjà l’utiliser avec les perte de chaleur de systèmes de condensation de centrales actuelles, enfin à mon avis.
Oui, enfin c’et surtout la pile à hydrogène qui a un intérêt qui la place au dessus de tout moteur à combustible: son rendement au moins 2 x supérieur (de 40% pour un moteur à plus de 80%, voir près de 100% pour la PAC)
Rendement qui permet largement de compenser les inconvénients de l’hydrogène dont parle Jayce:
Je pensais ça aussi, mais on est finalement capable de produire l’hydrogène à partir de méthane et de méthanol (des hydrocarbures à chaines courtes contenant plus d’hydrogène) et ce directement avant la pile à combustible, ce qui permet de ne pas avoir à stocker l’hydrogène.
à l’heure où on parle d’utiliser de l’'éthanol comme carburant avec le faible rendement de nos moteurs actuel, pourquoi ne pas passer directement au méthanol, aussi simple à produire, utilisé avec une PAC dont le rendement est comme je disais au moins 2 x supérieur…
(NB c’est PAC pour Pile A Combustible, ne pas confondre avec Pompe A Chaleur)
Edité le 27/07/2007 à 09:41
Pour ce qui est du rendement de l’hydrogène, tous les proto actuels que ce soit a PAC ou thermique, ont des autonomie réduites du fait de la dificuleter de stoker cette énergie… c’est tout juste s’ils font mieux que des voitures elec sur battries.
Après, en effet, pas mal d’autre carburants peuvent êtres utilisés (avec PAC ou autres)… faut juste avoir une bonne source. Refaire un carburant de synthèse en recréant de chène a partire d’hydrogène est une des voies explorée pour le cas où on saurait faire de l’hydrogène en grande qt et pas chère avec les prochènes générations de centrales nucléaires.
Ce que j’essayait de te dire, c’est qu’on peut stocker du méthane ou méthanol sans problème, ce qui résoud les problème de stockage d’hydrogène si l’hydrogène est produit en temps réel à partir de ces carburants.
L’hydrogène est en effet quasiment pas stockable:
-sous forme liquide uniquement à -200°C sur les fusée (irréalisable pour les voitures)
sous frome gazeuse sou des pression énormes pour atteindre des quantités assez faible de gaz par rapport à la taille des réservoirs.
Donc c’est juste que les protos actuels sont has-been
Quand à générer des carburants de synthèse à partir d’hydrogène, on n’a pas de source naturelle d’hydrogène, il est forcément obtenu à partir d’hydrocarbure ou d’hydrolyse de l’eau, alors c’est surement possible, mais j’ai du mal à comprendre l’intérêt :??:
Quand aux centrales à fusion, si je ne m’abuse, ce n’est pas de l’hydrogène, mais de l’hélium qu’elle produiront.
J’ai bien compris… mais encore faut t’il savoir produire en quantité du méthane ou du méthanol en grande quantité de facon propre, et pour pas trop chère.
Sinon, entre la 3eme génération et la fusion, il y a la gen4 qui est dans les cartons… en particulier le HTR (Réacteur Haute température), qui doit pouvoir dissocier l’eau avec un bon rendement et pour pas chèr.
D’accord, il s’agit peut-être de disssocier l’eau à très haute température, mais je ne suis pas fan d’un point de vue écologique d’utiliser les sources d’énergies électrique pour faire du carburant, de même qu’utiliser du carburant pour faire de l’électricité, j’ai l’impression qu’à empiler des transformation successive, on perd en rendement, et on va finir par gaspiller les énregies fossiles.alors
Pour le méthane: pas de problème: c’est du gaz de ville, il y a des sources naturelles!
pour le méthanol, c’est de l’alcool de bois, il faut un peu d’industrialisation pour le produire, mais ça a l’air réalisable. Un des inconvénient est qu’il est neuro-toxique, mais entre écologie et sécurité il faut choisir
Le méthane : Energie fossile : Quid de la polution et des ressources à long terme. Je dout que ca puisse remplacer le pétrole.
Le méthanol a partir du bois : Ok pour des petites quantités… en grandes quantités je doute que cela soit réalisable. Il y a bcp de filières qui s’intéresse au bois… et les prix risque d’exploser a un niveau indécent pour faire avancer une voiture si il y a une très forte demande.
De toute facon, le futur est surement a un panel très élargit d’énergies… et a des moteurs qui seront capables d’accepter égallement un panel de carburant étendu. Dans le meme principe (et encore bien plus étendu), que de pouvoir avoir des mélanges de 0% à 85% d’éthanol/essence sur le motorisation actuelle E85
Edité le 27/07/2007 à 11:11
Oui, c’est vrai que pour des grosses quantités, c’est un problème le méthanol, mais ce n’est pas pire que l’éthanol (même technique de production), alors si on envisage ce dernier, pourquoi pas aussi ce premier?
Quand au méthane, même s’il ne peut pas remplacer le pétrole, il peut le compléter comme c’est déjà le cas pour le GPL. Il est d’ailleurs un petit peu utilisé sous la dénomination GNV.
exactement, il faut diversifier les énergies, non plus penser au tout pétrole come aujourd’hui. Mais réduire les consommations est également important, en adaptant l’energie au type de consommation.
Edité le 27/07/2007 à 11:45
Oui, mais la PAC coûte cher à construire et est extrêmement polluante à la fabrication. Une turbine à hydrogène, c’est un rendement 3 fois moindre, mais c’est “que du métal”. :neutre:
Sans oublier qu’un 1irbus à moteurs électriques, j’y crois pas trop. Un Airbus avec des turboréacteurs à l’hydrogène, c’est plausible (dans longtemps).
Oui, mais…
Les technologies évoluent. Ce qui est dangereux aujourd’hui le sera moins demain… Entre l’avion des Wright fait pour 1 casse-cou et un A380 qui transporte des centaines de passagers en toute sécurité, il y a un monde!
Le méthanol comme l’éthanol ont l’inconvénient de contenir du carbone. Donc émission de CO2. Pour ne plus émettre de gaz carbonique, il faut recourir à l’hydrogène…
En utilisant la pile à combustible comme une pile à combustible et pas comme une pile à hydrogène
Donc l’utilisation de l’hydrogène en tant que vecteur énergétique n’est pas si stupide que ça. Déjà parce si on dipose de la fusion, c’est une énergie “propre”, qui permet l’électrolyse de l’eau sans pollution au CO2…
Ca entre donc en concurrence avec les batteries pour le transport d’électricité à destination des véhicules. Avec un rendement probablement très inférieur aux batteries futures, mais faudra comparer par rapport aux autres facteurs (poids, coût, pollution…)
Le problème de l’hydrogène ce n’est pas seulement le danger, c’est sa faible qt d’énegie volumique (sauf a arriver à le conserver liquide à très basse t° dans un réservoir). Sinon, l’avion devra avoir des réservoirs avec bcp plus de volume qu’actuellement (ou se retrouver avec des autonomies réduite).
Pour les méthanol, éthanols, ou autres synthèses a partir “d’hydrogène carboné”, si le carbone provient de l’air (ce qui est le cas si sa source est végétale, et que sa transformation est faite avec des énergies propres), leur bilan CO2 est nul.
Déforestation pour faire des plantations de canne/maïs, notamment en Amazonie…
Appauvrissement des sol à cause de la monoculture intensive… Plus pollution par les engrais…
L’hydrogène en face, n’a “que des problèmes purement techniques”, et à priori (à priori…) pas de problèmes d’ordre environnementaux comme les biocarburants.
Electrolyse de l’eau… Ecologiquement parfait, mais le rendement est pas top…
Sinon, crackage des hydrocarbures… Mais là, autant rester avec le bioéthanol… Puisqu’on rejette toujours la même quantité de CO2 au final… Et que si on obtient de l’hydrogène par ce procédé, on se tape les inconvénients de l’hydrogène (stockage) plus ceux des hydrocarbures (pollution)
Edité le 27/07/2007 à 16:30