Quelques fois ça marche
:ane:
Penny…
Penny…
Penny…
:ane:
Personnellement, je préfère, et de loin, Bernadette !
Elle a ce petit côté… Enfin bref :ane:
Po moi !
Penny devient vraiment vulgaire au fur et à mesure des saisons et j’en viens à la trouver moche dans la 6. Franchement, elle fait pas le poids. Et puis, et je parle en connaissances de cause, les femmes à lunettes sont sacrément plus coquines…
tu parles de ses poumons ?
Je saurais pas te dire je n’ai pas regardées toutes les saisons. :jap:
[quote="[sz]gazton"][quote=“Gwenichou”]
Personnellement, je préfère, et de loin, Bernadette !
Elle a ce petit côté… Enfin bref :ane:
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tu parles de ses poumons ?
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Aussi oui, et puis son regard qui crie brag****
:ouch: non mais… pt1 la mairie est grave mais alors les flics qui vont gaiement ramasser la petiote dans la cantine ils sont totalement abrutis :pfff:
Edité le 10/01/2013 à 12:04
Affaire du viol à Delhi : “Jamais je n’ai vu de viol d’une femme respectée”
Ca va mal se terminer cette histoire… s’ils sortent du tribunal, leur existence se comptera en minutes…
Putain…
Plainte contre la mairie. Contre la pouffe qui est venue chercher la gamine.
L’histoire ne dit pas s’ils lui ont fait cracher ce qu’elle avait dans la bouche. :neutre:
[:skyos]
Pis elle a même pas dû finir son Kiri avec tout ça :sweet:
Elle a eu un petit rôle dans la saison 3 de True Blood, sans les lunettes et la voix moins perchée
J’espère qu’ils lui ont mis les menottes à cette délinquante :oui:
:paf: :pfff:
Choqué !
+1000 y’en a qui desservent leur cause d’une puissance affligeante :sarcastic:
Epic fail :paf:
Ils l’ont eu dans Montcuq :paf:
Ce n’est que le début de la fin. Les gens ne se reconnaissant plus que comme membre d’une communauté (personnellement, je suis humain pus européen puis français, dans cet ordre) plutôt que comme êtres humains, la situation ne va pas aller en s’arrangeant et le futur ne sera que censure/poursuite/politiquement correct.
Je reviens sur l’histoire de la cantine: :o
Une policière sort une fillette de cinq ans de la cantine pour un impayé
Une petite fille de cinq ans a été extraite mardi de la cantine municipale d’Ustaritz (Pyrénées-Atlantiques) par une policière, en raison d’un impayé de 170 euros, et la scène n’est passée devant ses camarades éberlués qui ont cru qu’elle serait emprisonnée.
“C’est un procédé irresponsable (…) on ne prend pas les enfants en otage de cette manière”, a fustigé le directeur de l’école Saint Vincent, Laurent Aguergaray, précisant que Léa et ses camarades avaient été traumatisés: “Quand Léa est revenue (mardi) dans l’après-midi, ils étaient étonnés. Ils pensaient qu’elle était en prison. La maîtresse a discuté avec toute la classe pour tenter de dédramatiser”.
“Léa a pu tout imaginer à ce moment la, y compris le pire”, a estimé de son côté, furieux, le père de la fillette. Celui-ci a cependant indiqué jeudi soir qu’elle “va bien”.
Le ministre de l’Education nationale s’est également insurgé contre cette mesure “scandaleuse”. “Je désapprouve fortement cet acte. Je crois que l’ensemble des Français auront la même considération et de la peine qu’un élu puisse avoir un comportement de cette nature”, a commenté Vincent Peillon.
“Tous les enfants de France doivent être dans leur cantine et manger, et ne pas être victimes d’actes, qui, de cette nature, sont des actes de violence”, a-t-il estimé.
“Il peut y avoir des difficultés avec les parents, jamais on ne doit s’attaquer aux enfants”, a dit le ministre.
Selon le père de Léa, la policière municipale est entrée “en plein déjeuner des enfants” dans la cantine située à quelque 200 mètres de son école, pour ramener Léa au domicile de sa mère. Mais dans le même temps, celle-ci était partie la chercher à l’école et la policière l’a alors conduite dans les locaux de la police où “elle a été nourrie”.
Le maire sans étiquette de la commune Dominique Lesbats a regretté “le déroulement des événements” mais souligné que "la mère avait été avertie mardi qu?elle devait venir chercher sa fille, qui ne pouvait pas déjeuner à la cantine" et que cette dernière n’est finalement “pas venue”.
Selon lui, les services de la mairie étaient engagés “depuis plus d’un an” dans une procédure pour une dette de cantine avec les parents de Léa, qui sont selon lui dans “une mésentente terrible”. Mais malgré “quatre convocations en 2012”, ces derniers ne se sont “jamais présentés”, a-t-il affirmé.
“S?ils avaient fait l?effort de venir, nous aurions mis en place avec les services sociaux une procédure pour que Léa puisse continuer à prendre ses repas à la cantine”, s’est-il défendu.
La Fcpe-64 a jugé “totalement injustifiable” cette intervention policière. “S’il y a des impayés, la solution doit être trouvée avec les services sociaux ou par les voies de recouvrement légales”, a ajouté l’association de parents d’élèves.
Choquée, la responsable d’un autre établissement scolaire de la ville a pour sa part assuré, sous couvert de l’anonymat, que la policière était une femme “très gentille”. “La question est de savoir qui lui a demandé de le faire”, a-t-elle déclaré.
Le Snpm-FO, syndicat national des policiers municipaux, par la voix de son secrétaire général, a indiqué que “la policière avait reçu un ordre direct de la mairie” et a “ensuite rédigé une main courante et un rapport selon lesquels elle a agi sur instruction”, a ajouté Frédéric Foncel, selon lequel “on est tenus de dénoncer un ordre illégal”.
Le père, allé à la rencontre de la policière municipale, estime que celle-ci a “obéi a sa hiérarchie” et a “fait au mieux pour sa fille”.
La cantine, qui est gérée par la municipalité d’Ustaritz, se trouve en dehors de l’établissement catholique privé sous contrat d’association avec l’Etat.
Les parents ont la garde alternée de la fillette. Mais le père a engagé une procédure pour récupérer la garde de l’enfant.
En attendant la décision du juge aux affaires familiales, y compris sur les modalités financières de cette garde, aucun des deux parents n’a pour l’instant réglé la dette auprès de la cantine - dont le montant fait par ailleurs l’objet d’une constestation - et Léa ne fréquente plus la cantine, a indiqué son père à l’AFP.
Evidemment, je désapprouve la méthode, mais comme d’habitude on a des gens qui doivent de l’argent et qui font les morts…
Je ne parle pas de gens qui ne peuvent pas payer mais qui se déplacent quand même pour trouver une solution, mais bien de gens qui n’ont peut être pas les moyens mais qui laissent courir…
Ca rappelle un peu l’histoire de la maison de retraite.
Autre sujet, c’est long mais lisez le quand même.
Comment les Anonymous tentent de venger une adolescente américaine violée
Les “anonymous” se mêlent d’une sordide affaire de viol collectif qui a eu lieu lors d’une fête d’étudiants aux États-Unis. Depuis que le groupe d’activistes du net a mis à exécution sa menace de publier les preuves récoltées, les médias se déchaînent et c’est l’Amérique toute entière qui se divise.
Cette triste affaire qui prend aujourd’hui d’énormes proportions, suite à l’implication des Anonymous, commence le 11 août 2012 à Steubenville, une petite bourgade en apparence sans histoire de l’Ohio. Ce soir là, un membre de l’équipe de football américain du lycée local, Cody Saltsman, s’apprête à faire vivre un véritable enfer à son ex-petite amie. “Personne ne rompt avec moi, je détruirai cette garce”, aurait-il envoyé à plusieurs de ses amis selon le site d’Anonymous LoveLeaks. Une bien triste promesse qu’il aurait malheureusement tenue.
Une soirée effroyable
Selon les informations compilées par les hackers ayant permis de reconstituer la soirée, le calvaire de la jeune fille commence lorsqu’elle est récupérée en début de soirée dans une autre fête par la copine de l’un des joueurs de l’équipe de football, explique la version américaine du Huffington Post.
Droguée à son insu dès son arrivée à la fête organisée par l’équipe de football, elle est alors remise, inconsciente, entre les mains d’un groupe d’amis dont Cody fait parti. Réunissant un petit nombre de footballeurs célèbres de l’école, ce groupe est connu pour ses excès en matière de drogue, d’alcool et surtout pour leur comportement outrageux avec les filles. D’où leur surnom tristement célèbre auprès de leur camarades lycéens : “The Rape Crew” (l’équipe du viol), explique le New York Times.
Tout au long de la nuit, Cody est alors transportée de fêtes en fêtes, subissant à répétition, viols, attouchements et humiliations les plus sordides, jusqu’à ce que ses bourreaux l’abandonnent, couverte de leur urine et toujours inconsciente, sur la pelouse devant la maison de ses parents.
Un viol raillé sur le web et c’en est trop pour Anonymous
Non content d’avoir “détruit” leur jeune victime, certains des jeunes hommes présents au moment des faits prennent des photos et se filment pendant le viol, mais aussi après, raillant la victime du crime auquel ils viennent de participer. Certaines de ces photos et vidéos seront même publiées sur internet le lendemain.
Sur Twitter aussi ils s’en donnent à c?ur joie, multipliant les messages sordides, comme “La chanson de la nuit, c’était définitivement ‘Rape me’ (viole-moi) de Nirvana”, publié quelques instants après les faits, tweetant et retweetant d’autres messages des heures durant, en utilisant des mot-clés comme “#fillebourrée” ou encore “#viol”.
Le lendemain, c’est évidemment la justice qui prend l’affaire en main. Mais là où le scandale atteint des sommets pour Anonymous, qui décide alors de se mêler de l’affaire, c’est que seuls deux membres de l’équipe sont inculpés de kidnapping et de viol, un duo dont Cody ne fait même pas parti. Il était pourtant accusé de viol en réunion, mais les charges ont été “mystérieusement abandonnées”, raconte Anonymous, à la suite d’une “réunion privée entre Cody, son père, le shérif et M. Teramana (un riche citoyen de Steubenville)”. Pour ce qui est du reste des protagonistes de l’affaire, aucune charge n’a non plus été retenue.
La chasse aux sorcières d’Anonymous
C’est alors une véritable chasse aux sorcière que lance Anonymous et Knightsec le 24 décembre dernier. Piratant le site internet de l’équipe de football, ils y publient une vidéo annonçant qu’ils ont à leur disposition toute les informations permettant d’identifier les coupables, les appelant à se dénoncer eux-même et à s’excuser publiquement à la jeune fille et sa famille. “Toutes les personnes présentes étaient coupables”, affirment-ils.
Si tel n’était pas le cas avant le 1er janvier 2013, alors les activistes promettaient de dévoiler toutes les preuves récupérées sur les réseaux sociaux et lors d’attaques menées contres des sites internet (de l’école de Steubenville ou encore de l’équipe de football), ainsi que sur les boîtes mail des différents protagonistes concernés par cette affaire. Évidemment, la menace n’a pas l’effet escompté et les informations ont été dévoilées.
Anonymous, plus vite que la justice
Les informations divulguées par les “cyber-activistes” font alors l’effet d’une bombe. Disponibles sur le site LocalLeaks, elles semblent mettre en lumière un véritable réseau criminel, dévoilant la face sombre du sport étudiant aux États-Unis.
Sur cette page, Anonymous met en cause le shérif de Steubenville, le coach de l’équipe et ses assistants, un avocat général du comté, un tenancier de bar, un dealer, un supporter qui est aussi le webmaster du site de l’équipe de foot et évidemment les jeunes membres du “Rape Crew”. Le long texte publié nous explique l’organisation de tout un réseau à travers la ville qui fournirait de l’alcool, de la drogue et une immunité totale pour une partie des joueurs de l’équipe de foot. La raison? L’équipe représenterait une grande source de revenus pour la ville.
Dans cette affaire, Anonymous passe encore une fois outre la justice et fait même pression sur l’ensemble du système judiciaire de manière plus que violente. Soulevant bon nombre de questions de société à travers cette affaire, le groupe aura au moins réussi à créer un débat gigantesque sur le viol et son traitement judiciaire au, débat qui aujourd’hui, a contaminé l’ensemble des États-Unis.
Autant je comprends tout à fait les réserves émises par rapport à des vengeurs masqués mais entre débordements et étouffements des affaires qui dérangent par le jeu des connaissances et des influences, à un moment ça peut avoir du bon…
Et j’imagine assez bien ces gros porcs sûrs de leur impunité.
Edité le 10/01/2013 à 18:23
Evidemment, je désapprouve la méthode, mais comme d’habitude on a des gens qui doivent de l’argent et qui font les morts…
Je ne parle pas de gens qui ne peuvent pas payer mais qui se déplacent quand même pour trouver une solution, mais bien de gens qui n’ont peut être pas les moyens mais qui laissent courir…Ca rappelle un peu l’histoire de la maison de retraite.
:oui: clairement les parents sont fautifs mais enfin, ils auraient pu essayer de se démerder pour chopper la gamine à la sortie de l’école plutôt qu’à la cantine… effectivement ça ressemble à l’histoire de la maison de retraite.
Vous avez entendu aussi l’histoire de la famille séquestrée par le cinglé de mari sans qu’aucun organisme social ne s’en inquiète ? :fou:
Edit : www.charentelibre.fr…
Edité le 10/01/2013 à 19:40