Commentaires : Streaming : est-ce que le piratage est en train de tuer Netflix?

Hé non, ça n’a strictement rien à voir, dommage pour toi.
Le fait d’avoir un protagoniste principal qui ne soit pas nécessairement un homme blanc cisgenre, au physique avantageux, d’un âge situé entre 20 et 40 ans et hétérosexuel, et que les protagonistes secondaires de sexe féminin ne soient pas toutes des bombasses sans aucune autre ligne de dialogue que d’être en pâmoison devant le héro, ne se fera absolument pas au détriment du scénario.

On est là exactement dans la même rhétorique que ceux qui, lorsque le gouvernement français s’est penché sur la question du mariage pour tous, ont vociféré qu’il y avait plus important et plus urgent. Comme si le gain d’une minorité ne pouvait être synonyme que de perte pour d’autres.

Le fait d’ajouter plus de représentativité dans un film ou une série ne ne va ni améliorer sa qualité intrinsèque ni la dégrader. Mais, étonnamment, on a plein de personnes qui s’offusquent à grands cris que, lorsqu’une oeuvre récente est de mauvaise qualité, c’est forcément parce qu’elle est « woke », et que si elle ne l’avait pas été ça aurait été une franche réussite. Ou comment vomir son intolérance sous couvert de vouloir protéger l’art… :nauseated_face:

Mais tu reponds a cote. Tu ne prends pas l’exemple que je t’ai donne. Personne ne parle « d’ajouter de la representativite », moi je pointe du doigt les scenars totalement incoherents parce que fait pour forcer du contenu woke. Encore une fois, personne ne se plaint des films de Denzel Washington, et personne ne t’a attendu pour avoir du contenu plus representatif avant.

Je t’ai donne l’exemple de Batwoman, tu l’ignores. Pourquoi?

Aussi:

Je suis en train de te dire que, dans bien des cas, depuis quelques annees je trouve que si. C’est mon opinion. Tu viens m’insulter parce que tu penses autrement. Moi pas. C’est toi l’intolerant.

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Ça a beau être des chiffres beaucoup plus gros, ça reste ridiculement faible

Pour résumer,

Quand on trouve des chiffres contradictoires, ça veut dire qu’on ne pas les tenir pour fiable. Donc il est évident qu’on ne peut pas construire un raisonnement dessus. Et je me répète : tout ne passe pas par eux, d’ou la conclusion qu’il est impossible d’avoir ne fut ce qu’une idée vague de l’ampleur des condamnations.

D’ailleurs ce que j’affirmait au départ sur les danger du piratage et des contrôles ne viens pas d’informations discutables trouvées sur le web, mais de mon réseau relationnel avec des entreprises qui étaient, on va dire « très utilisatrices de gros logiciels » dépassant de très loin le cadre de la bureautique.
Et je peux vous dire que ça « tapait sec » à une époque et que les coup de putes étaient courants. Ca n’est pas du tout une légende.

S’il n’y avait aucun danger à pirater, comment pensez vous qu’on serait passé de la situation des années 80/90 ou tout le monde piratait bon train, y compris les grandes entreprises et les administrations à une situation ou le piratage est beaucoup plus limité ? C’est simple, il y a eu pas mal de contrôles, des entreprises se sont mangé de gros « pions ». Et ça s’est su, parce que les entrepreneurs se parlent entre eux.

Sinon vous pensez bien qu’ils auraient tous continué à pirater vu les sommes que représentent le prix des logiciels.

Sauf que si tu regardes les solutions qu’ils proposent, concernant la « traque » du piratage, ça se limite essentiellement à constater (et non à trouver…) par agent assermenté les violations de droits SUR INTERNET. Donc par exemple, si sur mon site, je diffuse une copie pirate d’un logiciel, l’éditeur qui s’en est rendu compte par lui même, peut contacter l’APP pour faire constaté le fait par un agent assermenté avant de lancer une action en justice contre moi. Il n’y a visiblement rien pour lutter contre l’utilisation de logiciels pirates en entreprise.

Vous pensez bien que ceux qui luttent contre le piratage ont intérêt à rester discrets sur les méthodes qui sont utilisées. C’est d’ailleurs mentionnés dans beaucoup d’articles parlant du sujet.
Pour ma part, j’ai toujours soupçonné que certains éditeurs utilisaient des mouchards, soient diffusés dans certains logiciels piratés, soient inclus dans le code d’origine (détecteurs de hack).

Et pour cause, les moyens d’actions légaux dans ce contexte sont quasiment inexistants. Il n’y a quasiment qu’une dénonciation qui peut déclencher une procédure, et la procédure sera très vite limitée, faute de pouvoir aller faire un contrôle. Il faudra déposer plainte, sur la base de cette seule dénonciation. Base bien faible pour actionner toute la machine judiciaire…

La machine judiciaire n’a pas besoin d’une plainte pour déclencher des investigations.
Il suffit d’informations suffisamment crédibles pour convaincre la police ou un juge qu’il y a un soupçon raisonnable de trouver quelque chose d’illégal quelque part. A ce moment la, il peuvent déclencher des investigations et s’il le faut, une perquisition. C’est leur travail.
Au besoin, dans ce genre de domaine technique, ils se font aider par une expertise tierce.

Non mais vraiment, arrête avec le logiciel libre. Tu dis n’importe quoi, et là tu es même limite insultant envers les vrais valeurs du monde du logiciel libre, qui sont à des années lumière du piratage…

Du calme, vous avez le droit de ne pas partager mon opinion, mais je pense que vous avez mal compris. Permettez moi de discuter de vos affirmations qui sont à la fois vraies et fausses.

D’abord, je connait parfaitement les valeurs du libre.

Ce que vous dites est vrai, car il n’y a pas du tout dans le logiciel libre de volonté de transgression de la loi. Le respect de la législation, de la loi et de la volonté des auteurs et des licences sont au contraire un pilier majeur du logiciel libre. C’est une différence fondamentale avec le piratage.

Et cela est faux, car il y a bien dans l’idéologie du logiciel libre l’institution d’un droit inalienable a certaines libertés qui sont similaires à celles que s’arrogent ceux qui piratent. Je vous donnes celles résumées par la FSF :

  • la liberté d’utiliser le logiciel
  • la liberté de copier le logiciel
  • la liberté d’étudier le logiciel
  • la liberté de modifier le logiciel et de redistribuer les versions modifiées

Etant donné que ces libertés donnent le droit de copier et de partager, je ne vois pas pourquoi il serait scabreux de faire le parallèle avec une forme de « piratage légalisé », c’est à dire le droit de copier et de partager, sans l’illégalité ni la transgression. Même s’il faut quand même préciser que si les auteurs donnent le droit de copier, il y a tout de même des termes de licence à respecter. Donc ce n’est pas non plus un droit de faire tout ce qu’on veut avec les oeuvres.

Bonjour,
Il y’a de la place pour tout le monde libre, propriétaire, open source,…
Une entreprise, un développeur à le choix d’offrir son code, son logiciel compilé ou de vendre des licences. Ce n’est pas à l’utilisateur à choisir la manière dont il utilise le logiciel. Personne n’oblige les consommateurs à consommer.

Je suis tout à fait d’accord avec cela.

Le piratage n’est pas un droit.
Si un auteur ne veut pas qu’on copie son oeuvre ou qu’on la diffuse, il faut le respecter car c’est son droit. La création de son oeuvre à représenté de l’argent. Son argent.

Avec le libre, en revanche, on peut copier et diffuser. Mais c’est justement parce que l’auteur de l’oeuvre est d’accord pour ça : ce n’est pas un droit que l’on se donne soi même contre la volonté de l’auteur. L’auteur vous donne le droit de le faire. Et même, il souhaite que vous le fassiez.

Maintenant, en tant que consommateur, vous devez respecter les auteurs. Mais vous pouvez aussi choisir entre les deux systèmes par le choix de l’oeuvre. Si vous préférez le paradigme du libre, consommez des oeuvres libres.

Mais si vous choisissez le libre, il faudra aussi changer d’état d’esprit. Si une oeuvre libre n’avance pas assez vite à votre goût, vous ne pourrez pas juste « râler contre les auteurs ». Il faudra songer à aider le projet à avancer, par exemple en apportant votre contribution ou en faisant des dons. On trouve dans le libre ce que nous y mettons.

@Dahita insister lourdement n’est jamais une bonne idée et reposter des messages supprimés n’a jamais été bénéfique pour personne…encore moins quand on traîne un historique de modération pareil. Tu fais incontestablement partie de ceux qui aiment jeter de l’huile sur le feu pour n’avoir ensuite pour arguments que le sarcasme et la mise en doute de l’intelligence d’autrui. Continue comme ça et ce sera les vacances forcées. jap

Netflix ne peut pas augmenter son nombres d’utilisateurs ET ses tarifs… ce n’est pas possible !

Oui enfin, un service de streaming vidéo avec de nouvelles séries ou de nouveaux films sans dvd avec de l’adsl a 512kbits en 2002 c’était clairement pas au point, sachant que l’adsl venait d’émerger. J’accorde bien volontiers, que je me suis trompé sur l’histoire de Netflix mais pas sur sa sortie en France. Et il est bien parvenu en France avec l’intention de limiter le piratage vu que cela permet avec un unique abonnement de voir plusieurs films ou séries. Je dis pas que c’était l’objectif interne de l’entreprise mais cela a convaincu la France de proposer le service en pleine période d’hadopi ou alors c’est juste parce que c’est américain.

par ailleurs wikipédia peut nous faire de l’histoire révisé sur d’autres aspects bientôt il prétendra que l’adsl est sortie 1992 et que l’ensemble de la France était fibré en 2008. Car du streaming en 2002 … Sur windows Xp sp1. Via une combine avec vlc oui et encore c’était des chaînes indépendantes sur le net le plus souvent.

Non, il est arrivé en France avec l’intention de gagner de l’argent. C’est complètement stupide de considérer qu’un acteur économique a pour intention de lutter contre ce qui le plombe…

C’est comme si tu disais que quand un nouveau magasin ouvre, c’est pour lutter contre le vol de produits…

Mais y a jamais eu à « convaincre la France de proposer le service » hein… Netflix a pas besoin de « convaincre » un pays pour venir y proposer son offre, et c’est pas le pays qui propose le service, ça ne veut absolument rien dire ça, c’est Netflix qui propose :roll_eyes:

Non, tout simplement directement dans l’interface des box. Free a bien lancé son offre de VOD en 2005. C’est pas Wikipedia qui le dit, on retrouve des articles qui en parlent. Et le premier en France c’était Orange en 2002 (après, c’était peut-être pas du vrai streaming sur ADSL, peut-être qu’il y avait un délai de téléchargement, mais par contre il y avait du streaming sur le câble, qui a toujours eu des canaux dédiés à ça… c’était rigolo d’ailleurs, parce qu’à une époque c’était tellement mal sécurisé que si tu te calais sur le même canal avec un décodeur trafiqué, tu pouvais regarder le film qu’un voisin s’était payé).

Et autre point qui est sûr et certain, c’est que quand Netflix est arrivé en France, il y avait déjà aussi le service VOD de Canal (en vérifiant l’historique, on voit que « Canal+ à la demande », pour les abonnés Canal, a été lancé en 2008, et qu’à l’époque il y avait aussi déjà CanalPlay depuis 2005, pour la VOD à l’acte). Ça c’est facile de s’en souvenir, parce que plein de gens ont été déçus que Netflix arrive en France sans les premières saisons de House of Cards, qui était sa série phare à l’époque, parce que Canal+ avait les droits pour la France.

Vraiment, quand on regarde l’histoire, ce qui a fait le lancement des offres de streaming, c’est avant tout la possibilité technique de les faire… La VOD par Internet c’est l’évolution logique et évidente de la location de films sur supports physiques, et le streaming et l’aboutissement logique de la VOD à partir du moment où le débit de la connexion est supérieur au bitrate du film.

Bref, pour la fin on est d’accord, et pour le streaming web et non le flux vidéo décodé via les box tv c’était à précisé. Car dans ce sens la tv fait du streaming depuis que les ondes hertziennes existent.

Voilà donc streaming en 2011 en Europe (j’ai 2012 un an de retard ok mais de mémoire c’est pas mal), house of cards 2013. Sinon je me serais pas emmerdé a aller sur des sites de streaming alternatifs comme Dpstream pour me regarder des saisons complètes de série. Effectivement les états unis vu que ce sont les Français qui leur ont tout vendu : la fibre optique et les clés mp3 alors qu’on avait tout pour être en avance sauf des politiciens pilotés par Washington.

Sauf que c’est pas à la demande, contrairement aux offres de VOD apparues au début des années 2000.

on appelle ça le « politiquement correct ». car aujourd’hui les artistes qui ne se conforment pas au dogme du libéralisme ne sont pas des artistes et sont lynchés sur les médias publics et jeter à la foule qui voit du racisme et autres discriminations partout.

quand un artiste, auteur, scénariste pourra de nouveau s’exprimer librement Disney sera mort et star wars sera entièrement refait.