Je ne sais pas si les jeux vidéos sont responsables de la violence.Mais il est sûr que les réseaux sociaux favorisent la violence de casseurs.Ce fut le cas avec les gilets jaunes et aujourd’hui avec ces émeutes.Ils contribuent à diffuser de fausses informations et à organiser ces rassemblements qui conduisent à tous ces dégradations destructions de bâtiments publics et accessoirement pillages de commerces.
Mais, je mesure, je mesure. Tiens, j’ai même un télémètre laser sous la main.
Dans le cadre de la discussion, il est quand même nécessaire de savoir ce qui cause la peur de la mort chez le pandore de base, vu qu’il n’y a aucune donnée statistique, MÊME chez le ministère du dedans, qui la justifie.
J’essaie d’avoir la réponse à cette question, mais personne ne veut y répondre.
2 solutions :
- soit c’est du pipeau, et cette prétendue peur est utilisée pour cacher autre chose.
- soit elle est bien réelle, et il FAUT découvrir d’où elle vient¹. Imagine que tous les matins, tu doives confronter ta peur d’aller travailler, sans espoir de soulagement avant la retraite. Le fardeau mental doit être épuisant, et la question de savoir si tu es apte à faire ton travail devient pertinente. Donc, plutôt que d’acheter des grenades lacrymo, on devrait lancer un programme de soutien psychologique à l’échelle nationale. Encore une fois, ce n’est pas moi qui ai écrit qu’ils ont peur et qu’ils se suicident.
¹: on notera que j’ai explicitement posé la question plus haut, à savoir ”qui leur dit d’avoir peur ? ” avec une emphase très importante sur le verbe. À mon avis, les politiques et les médias jouent un rôle malsain dans ce malaise.
Ce n’est toujours pas celle d’Amérique du Nord qui peut prétendre donner des leçons à celles d’Europe. Balayer devant sa porte, tout ça…
Ca je veux bien le croire, j’ai constaté la même chose en Belgique du temps où la gendarmerie n’était pas encore devenue la police fédérale. ^^
Côté police locale, c’était également mieux avant, les agents avaient obligation de résider dans la commune dans laquelle se situait leur commissariat. Du coup, tout le monde les connaissait, ils étaient des voisins et on les croisait aux fêtes de village, on pouvait parler de vraie police de proximité et il n’était pas rare qu’on aille en trouver un officieusement pour lui signaler un problème ici où là.
J’ai vécu longtemps dans de petits villages du centre de la Belgique, et quand on croisait un policier local, ce n’était pas bonjour mr l’agent mais salut Maurice (ou Jacques ou Philippe), comment ça va ?. ^
Oui enfin il ne faut pas faire une généralité d’un cas. Mais ceci étant une bonne partie de ce que tu dis est vrai. Les français ont toujours été des râleurs , je le sais bien… j’en suis un:grin:, mais je crois que beaucoup de gens ont perdu la notion de ce qu’ils ont et surtout… que l’état est mis à toutes les sauces pour éviter de se regarder dans un miroir. Dans une grande majorité les gens sont responsables de leur destin. Mais c’est tellement plus pratique de dire que c’est la faute des autres…
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Et ne parlons pas des aspects politiques de ces émeutes. Car il me semble évident que dans certains cas les jeunes de banlieue ont bon dos. C’était aussi le cas avec les gilets jaunes…
Bref, intérêt de tout ça… 0. A par foutre le bordel…et le pire c’est que ça commence aussi en Suisse et en Allemagne….
Je ne sais pas où on va … mais on y va
On avait ça aussi en France, une police dont le rôle était de faire de la prévention en tissant des liens avec les habitants.
Et ça a été supprimé au bout de 5 ans parce que le nouveau président estimait que le boulot de la police était de faire de la répression, pas de jouer au foot avec les jeunes de quartier…
J’allais le dire.
Ahhhh… Ce monsieur karscher et sa clique, il en font du bien à la France…
Il faut voir le français, surtout en banlieue, comme un enfant, et le pouvoir comme le patriarche, et tout le monde sait que le meilleur moyen d’éduquer un enfant, c’est un coup de pied au cul par ci, une grande claque dans la gueule par là, et si il faut une bonne grosse rouste à base de ceinture en cuir.
Et surtout, jamais, au grand jamais, dire « je t’aime » à son enfant, ça pourrait lui faire virer sa cutie !
Bah voilà, on sait que ça marche, et on se demande pourquoi les syndicats de policiers ne poussent pas pour relancer ça. C’est un peu l’enjeu de la discussion que j’ai eu plus haut sur le bien-être au travail.
Et je ne l’ai pas fait, je voulais juste souligner que tous les français ne sont pas des râleurs et qu’il y en a qui sont lucides sur la situation sociale dans leur pays. ^^
Et tout à fait d’accord avec le reste de ton message.
Un sujet important qui mérite d’être nuancé. Les jeux vidéos, le cinéma, la tv, bref les images ne rendent pas forcément plus violent mais tout cela réunis banalise la violence et aseptise les gens, certains en tout cas.
A force, on n’est plus choqué, on devient indifférent sans qu’on s’en rende compte. On ne réagis plus, ou moins, donc il en faut toujours plus pour nous choquer. Le seuil de tolérance monte.
Mon exemple, quand j’avais 12 ans je fus choqué par Rambo, Alien ou Prédator, aujourd’hui ça ne leur fait plus rien ou presque. Il est là le danger de l’insensibilisation, on perd en humanité petit à petit. En plus de créer chez certains enfants un traumatisme et certains rejouant les scènes pour évacuer les tensions, le traumat.
Dans les années 70 le héros ou le gentil avait un comportement de gentil : Zorro, Rintintin, Les Mystères de l’Ouest… Quand le méchant meurt, c’est de loin, c’est suggéré donc pas encore de gros plan ou d’effusion de sang plein l’écran (en dehors des films d’horreur).
Aujourd’hui le gentil, n’hésite plus à frapper, torturer et tuer, j’ai vu le changement avec Stallone, Schwarzy, Norris…
Il y a même une graduation entre les années 80 et les années 2000, soit entre Van Damme et Statham ou Liam Neeson. Ou entre le Died hard 1 et le 5, les exemples sont nombreux.
Le gentil se comporte comme un méchant, c’est source de confusion chez les plus jeunes. Le héro se venge donc il peut tout se permettre, comme dans John Wick.
Et un môme qui voit ces images violentes tout on long de son enfance fini pas trouver cela normal, banal.
Un môme de 12 ans qui a déjà vu 1500 fois des gens se faire frapper ou tuer dans des séries, des films ou autre, trouvera normal de frapper à son tour puisque tout le monde le fait. C’est partout donc c’est normal, c’est donc admis, je fais juste comme les grands. Certains ont déjà vu Heat ou Scarface 10 ou 15 fois à même pas 15 ans. Il est là le risque avec la banalisation de la violence sur autant de supports…
L’éducation à l’image et aux écrans est donc importante dès le plus jeune âge (lire Serge Tisseron) d’où la signalétique jeunesse du CSA.
Chez certains adultes (donc déjà structurés, éduqués et construit) le jeu peut canaliser la violence et on ne verra pas de changement de comportement.
Mais certains faits divers récents devraient nous alerter : chats, chevaux ou chien torturé, notamment chez des influenceurs, divers animaux à Leforest… L’autre ou l’animal n’existe plus, il devient un objet/ma chose dont je peux abuser, jusqu’à la mort. 30% de hausse depuis 2016 pour la maltraitance animale.
Et je ne parle même plus de la hausse des incivilités dans les commerces, les transports et services publics. On s’invective de plus en plus pour un oui ou pour un non.
Moins on a de mots pour dire les maux, plus les coups partent vite, lire ou écouter sur le web Marshall Rosenberg.
Donc si ça ne nous rend pas tous plus violent, ça en coupe certains (pas tous) de leur humanité et/ou de leurs émotions. Il faut donc rester attentif, c’est notre devoir de vigilance.
« Jusqu’ici tout va bien. »… mais l’important c’est pas la chute : c’est l’atterrissage. »
Je vous cite :
Moi, ce que je disais, et que vous n’avez pas compris, c’est qu’ils ne savent pas ce qui les attend quand ils partent en intervention, mais que malgré tout cela, ils enfilent leur uniforme et partent en intervention (d’où mon « ils partent la boule au ventre »).
Si vous résumez le travail d’un policier/gendarme à de la verbalisation, c’est effectivement réducteur, mais si vous prenez en compte qu’ils partent sur :
-des agressions à main armée
-des braquages avec parfois des armes lourdes
-des personnes en état d’ébriété, drogués, qui peuvent se servir de n’importe quoi comme arme (comme un tesson de bouteille)
-des contrôles qui dérapent et où le véhicule peut servir d’arme
-des guet-apens organisés
Bref, tant de situations diverses et variées qui font que vous ne savez pas si vous rentrerez le soir, et ça c’est factuel. A l’époque, mon père n’avait pas de mobile pour nous dire pourquoi il ne rentrait pas le soir.
Rajoutez maintenant à cela :
-le mépris de la hiérarchie
-le mépris d’une partie de la classe politique
-le mépris de certains citoyens.
Si avec ça, vous ne comprenez pas…Je vous invite à faire leur travail si vous pensez que c’est un métier sans risque, où la peur n’existe pas. Comme je l’ai dit, ces hommes et femmes y vont, mais ils sont comme vous humains, et c’est légitime de ressentir de l’appréhension quand vous savez que vous allez devoir faire face à une potentielle menace durant la journée (je ne pense pas qu’on vous appelle dans la journée pour intervenir sur un forcené qui menace de tuer sa femme avec son fusil de chasse).
Et bien vous avez mal compris, mais vraiment mal, dixit ce que je viens de vous dire. Si maintenant vous essayez la rhétorique sur moi, c’est mal barré, car comment pourrais traiter « les flics » de trouillards, alors que je soutiens toutes les forces de l’ordre (quand elles font correctement leur travail), sans pour autant tomber dans le cliché : « je soutiens les forces de l’ordre, donc je vote extrême-droite » (perso, je vote à gauche, mais je ne suis pas censé me justifier).
Etrange, deux autres liens et je retrouve les gendarmes :
Et je me suis même amusé à chercher à l’international :
Les policiers (13 sur 18) arrivent avant les conducteurs routiers (14 sur 18).
Pour répondre une seconde fois, sur cette peur que vous semblez nier, voici un très bon article sur ce qui se passe réellement, et sur ce que moi, j’ai pu vivre :
Pour l’anecdote, alors que j’étais en primaire, un élève dans la même classe que moi m’a envoyé un coup de poing dans le ventre en sortant de cour. Son père avait reçu la veille une contravention pour excès de vitesse, par la brigade que gérait mon père.
Trouvez-vous cela normal, oui ou non?
Et pourquoi partez-vous sur une généralité? Combien de fois ont-ils dû utiliser leur arme pour éviter un drame, et en faire usage dans un cadre légitime. Savez-vous ce que cela implique de faire usage de son arme?
Personnellement, je reconnais qu’il y a de sérieux problèmes dans les forces de l’ordre, je ne peux nier les bavures, le racisme de certains. Je déplore sincèrement les récents événements, et souhaite de tout cœur que justice soit faite, dans la plus grande transparence. Pour l’instant, l’enquête est en cours, et cette vidéo résume parfaitement la situation :
Une chose est sûre, je me sens meurtris quand on généralise à outrance sur une profession, sur une couleur de peau, sur une religion, sur une sexualité, etc… Faire de cas isolés une généralité, avec tout ce que cela implique (et comme je l’ai cité, des effets de bord sur la famille de ces hommes et femmes), je ne peux le cautionner. Celles et ceux qui utilisent ce procédé utilisent les mêmes armes que l’extrême droite : la généralisation et l’appel à la haine.
Personnellement, je préfère fédérer.
Non, vous ne citez pas. Relisez bien ce à quoi cette phrase répond. C’est un sarcasme en réponse à vos commentaires.
Donc, on n’est pas dans le top 10.
Et les militaires ne s’occupent pas d’ordre public, donc c’est extrêmement malhonnête de donner une postion qui regroupe militaires et gendarmes mais pas policiers. On a eu plus d’un militaire mort en service ces dernières années, donc ces chiffres ne veulent rien dire en ce qui concerne les forces de l’ordre. Et les policiers ne sont pas cités. Donc policier ne rentre même pas dans le top 15 des métiers les plus dangereux. Merci de confirmer ce que j’avance.
De plus, les statistiques mondiales n’ont aucun intérêt dans ce cadre. Flic dans un pays soumis aux cartels est plus dangereux que flic en France. Flic en Islande peut-être moins. Mais est-ce que le flic en Islande part la peur au ventre. Parce que la question est là, mais vous continuez à l’éluder.
Les gens qui pratiquent ces métiers autrement plus dangereux ne chouinent pas qu’ils ont peur tous les matins.
C’est vous qui parlez de boule au ventre en partant tous les matins. Les statistiques ne justifient pas cette peur. Cette peur n’a aucun sens.
Or, on ne trouve pas de témoignages répandus pour ces autres métiers de peur d’aller au travail. Jamais depuis que je conduis je n’ai entendu un collègue ne serait-ce que l’évoquer.
Vous avez VRAIMENT un déficit de compréhension en lecture. Je n’ai pas nié que les flics avaient peur (j’ai même dit que c’étaient des couards comme vous le mentionnez plus haut), je veux savoir d’où vient cette peur.
Intéressant, donc, que ce soit le figaro qui leur dise d’avoir peur. Ça supporte mes hypothèses de peur manufacturée. Examen de conscience, tout ça …
Non, mais en quoi est-ce pertinent ?
Abattre quelqu’un sans pouvoir justifier la légitime défense, après avoir menti sur les circonstances du coup de feu, trouvez-vous cela normal oui ou non ?
Et que ces 2 collègues l’ai soutenu dans son mensonge, trouvez-vous cela normal, oui ou non ?
Vous voulez savoir pourquoi il y a de la haine anti-flic. La raison est là, devant vos yeux. Mais c’est sûr, ’va falloir songer à les ouvrir.
Non. Mais vu que je n’ai même jamais tiré, je ne suis pas concerné. La question est plutôt ”est-ce que le flic de base sait ce que cela implique de faire usage d’une arme (que ce soit une arme à feu, un flashball, une grenade, etc) ?”
Vu le nombre de gens qui ont été tué ou mutilé par la police française ces dernières années (dans des proportions BIEN PLUS IMPORTANTES que chez nos voisins européens), la réponse est clairement non aussi, et c’est extrêmement inquiétant.
Tiens, surprenant, encore une raison pour expliquer la haine anti-flic.
Dans le figaro ? Non mais laissez-moi rire. Et oui, je lis parfois des articles dans ce torchon, dont le biais idéologique saute aux yeux.
La hiérarchie ? Laquelle ? Avec Darmanin, Valls, Sarkozy et les autres, je ne vois pas le mépris, bien au contraire. Et on est au plus haut de la hiérarchie.
Ouais, et ? Le forcené, il est pas là pour tuer du flic, et d’ailleurs, qu’est-ce qu’un flic peut faire face à ce type de forcené ? C’est de psychologues et de travailleurs sociaux qu’on a besoin dans ces cas-là. Pas de cowboys imbéciIes.
Pareil.
C’est quoi exactement le but de cette discussion ?
Policier, un métier pas dangereux ? En Belgique qui n’est pas un pays des plus dangereux et en peu de temps, deux policières attaquées à la machette et blessées devant un hôtel de police, une jeune policière qui venait tout juste de terminer sa formation abattue de sang-froid par un cambrioleur, un policier poignardé mortellement dans sa voiture de patrouille par un homme qui prétendait demander un renseignement, un autre pris pour cible par un tireur retranché chez lui et qui n’a du la vie sauve qu’à un mince poteau qui a arrêté la balle…tu crois que des psychologues ou des travailleurs sociaux auraient évité tout ça ?
Là va venir le sujet d’importance : qui laisse libre accès à du contenu déconseillé aux moins de 16 ans (qui pour certains devraient être plutôt interdits aux moins de 18) à des enfants ou pré-ados.
Il y a un gros problème de laxisme de l’encadrement, parents en première ligne.
Non, par contre des psychologues pourraient aider les policier à gérer leur peur, et ainsi leur éviter d’abattre des gens au moindre geste « de travers ».
Pour avoir pas mal suivi le cas des bavures aux USA, la « peur », qui doit bien être réelle à un certain niveau pour ce métier dans lequel on s’engage en sachant qu’on va forcément devoir faire face à des situations graves, est systématiquement brandie par la défense comme l’origine du (ou des) coup de feu mortel, même quand de toute évidence, il est clair, vidéo à l’appui, que le tireur n’était pas en danger.
De là à penser que les cowboys en question on là un argument tout trouvé pour pouvoir s’en sortir et donc ils en abusent au dépens de ceux qui réellement ont tiré dans de réelles situation de danger et de peur, il n’y a qu’un pas.
Et sinon, pour la gestion de la peur légitime, on fait quoi ?
Rien, alors que de tels métiers devraient faire l’objet d’un suivi et d’une aide psychologique régulière, plusieurs fois par an (trop cher, surement…).
Aller travailler chaque jour la peur au ventre, ce n’est pas acceptable, tant pour la personne concernée, que pour le citoyens qui peut finir avec du plomb dans l’aile sans que ça soit justifié.
Oui, mais que TOI tu ne souhaites pas répondre correctement, ça ne signifie pas que tous les font (ou même la majorité, ou même une grande partie). Ici si je prends le premier lien, c’est un sodnage Ipsos, qui se base don sur une inscription à une banque de donnée de sondage. Jj’ose espérer que les gens qui s’inscrivent par exemple à IIS (i-Say), le font dans l’optique de répondre sincèrement.
Si toi ce n’est pas ton cas, libre à toi. Mais n’utilise pas TA situation, pour l’appliquer à d’autres, au point de douter de la véracité. D’ailleurs, il serait amplement plus honnête de te désinscrire de ces sondages, ou dire que tu ne souhaites pas y répondre, car au final si c’est pour mentir lorsqu’on t’interroge, je n’y vois absolument pas quelconque intérêt, ni honnêteté.
Pour rappel aussi, les sondages d’intentions de vote sont généralement très proche de la réalité (voir les sondages présidentielles par exemple)
Vi. Moi je pense même que ça aurait été plus pertinent de prendre le TOP1 pour conclure que tous les autres ne sont pas dangereux . Surtout quand après tout il n’y a pas de pondération. Peut-on avoir le nombre de métier différent en France, histoire de juger si 10 ou 15 c’est suffisant pour juger de la dangerosité ?
Car étrangement si on étend, on commence à trouver dans les top 20 : Policier ou gendarme
Car la majorité de ces métiers « autrement plus dangereux » sont basés sur des règles de sécurités (élagueur, agriculteur, couvreur, bûcheron, manutentionnaire …), dés lors, même si il y a des aléas, tout est basé sur ces consignes de sécurité, et même si il y a toujours des éléments extérieur, ils ne sont en rien comparable à la réaction de l’humain qu’un policier fait face. Oui, surprise, quand on est ouvrier en bâtiment, le bâtiment va rarement prendre ses poings pour t’agresser, ou avoir une arme pour te tirer dessus.
Dés lors, ces métiers sont « contrôlables » au maximum par les personnes qui le font.
Quelles statistiques ? Peut-on les avoir ? Et attention de ne pas vous limiter qu’aux accidents graves ou mortels. N’oubliez pas tout ce qui peut engendrer de la peur, comme par exemple : les agressions basiques, les peurs de représailles pour les familles (ex : Des CRS et leurs familles visés par des lettres de menaces : « Il y a un sentiment de peur »), ou tout simplement le climat actuel où même des pompiers se font agresser pour rien, etc etc.
Histoire d’être complet, visiblement vous avez ces statistiques, moi je ne les ai pas
Mais oui, je pense qu’en réalité les policiers n’ont pas à avoir peur, c’est quelqu’un qui leur dit d’avoir peur, donc ils ont peur. Tout est factice. Ils sont si manipulables ces policiers
Je reprends vos propos, point. Vous faites d’un témoignage un dénigrement (« pleurnichard », c’est bien de vous?)
Ironique, car quand vous avez employé ce terme, j’ai tout de suite pensé à l’ouvrage éponyme de Jean-Claude Grumberg.
Donc pour vous ne pas être dans le top 10 signifie qu’on ne doit pas prendre en considération? Bien! Heureusement que ce n’est pas un top 3.
Pardon???
Pour l’instant je vous vois en train de vous raccrocher aux branches et justifier votre mépris d’une profession.
Un petit rappel de la charte Clubic :
**3. Échangez vos idées**
Donnez votre opinion en étayant votre propos et soyez ouverts aux idées des autres membres de la communauté, même si elles sont radicalement différentes des vôtres.
**4. Faites preuve de tolérance**
Qu’il s’agisse de rédacteurs professionnels ou amateurs, de lecteurs experts ou passionnés, vous devez faire preuve de tolérance et vous placer dans une démarche d’entraide.
**5. Restez courtois**
Particulièrement lorsque vous exprimez votre désaccord, critiquez les idées, pas les personnes. Évitez à tout prix les insultes, les attaques et autres jugements sur la forme des messages.
Une fois encore, vous résumez une profession à des faits (que je déplore et condamne), et légitimez votre mépris de la profession, et des conséquences que cela peut avoir, que j’ai cité plus haut.
L’expliquer oui, mais cela justifie t’il de mépriser l’intégralité d’une profession? Est-ce nécessairement une fatalité?
Vous savez, il y a plusieurs niveaux dans la hiérarchie.
Une fois encore, vous ne faites pas vraiment preuve d’objectivité (après « la flicaille », « les poulets », voici les « cowboys imbéciles »).
Je ne compte pas changer votre point de vue, je n’en ai pas cette prétention. J’espère juste que ce mépris d’une profession, vous n’allez pas le communiquer à votre progéniture, avec tout ce que cela impliquera comme conséquences (et dont j’ai donné un témoignage, un seul sur de multiples dont j’ai été moi, et aussi d’autres par le passé et encore aujourd’hui).
La cagnotte gofundme pour le présumé assassin a atteint le million. C’est effectivement méprisable de voir ça :
Soutien pour la famille du policier de Nanterre, Florian.M qui a fait son travail et qui paie aujourd’hui le prix fort.
Donc, faire son travail, c’est pour une bonne partie de la population, c’est pour un flic d’abattre des jeunes. Tous les policiers, sans exception, devraient sortir de leur mutisme et clamer à quel point cette rhétorique est inadmissible. Il y a ce tweet de France Police aussi …
Gna gna gna, c’est pas un syndicat majoritaire, gna gna gna. Sauf que c’est tout le problème : ce type de personne ne devrait pas avoir le droit d’être membre des forces de l’ordre. Mais non, toujours pas d’examen de conscience.
Bah oui, mais il faudrait peut-être éviter de généraliser en sous-entendant que tous les policiers de
France utilisent leur arme à la moindre occasion. Et puisque tu parles des USA, ce n’est pas vraiment comparable. Par rapport à la France, tu as 20 x plus de risque d’être abattu par un policier aux USA, chiffres ci-dessous.

Il y a 225.000 policiers en France. Nombre de personnes tuées lors d’opération de police en France en 2017 : 14, en 2018 : 15, en 2019 : 19. Il y a 796.000 policiers aux USA, soit 3,5 x plus. Mais y a-t-il 3,5 x plus de décès dus à la police, soit en théorie une cinquantaine en 2017 ? non, il y en a 20 x plus. Nombre de personnes tuées lors d’opération de police aux USA en 2017 : 1089, en 2018 : 1140, en 2019 : 1097. Ca relativise les choses. [neutre]

Bah oui, mais il faudrait peut-être éviter de généraliser en sous-entendant que tous les policiers de
France utilisent leur arme à la moindre occasion.
Je n’ai jamais dit ça, ni sous-entendu.
Si tu l’as compris comme ça ce n’était pas mon intention.