Commentaires : GNU/Linux : 10 distributions incontournables pour bien débuter

le mieux est d’opté pour une qui a une grosse communauté et non seulement un gars dans sa cave…

de préférence avec une entreprise dernière…

suse, fedora…

je suis sous linux depius longtemps, le passage a été assez simple

différent matériel que j’avais qui ne fonctionnait pu sous windows, fonctionne sous linux

J’utilise Linux depuis des années, et je suis en dual-boot avec Windows 2019.
Pour ma part, je préfère depuis longtemps Kunubutu, soit Ubuntu avec une interface KDE qui me ravit, Gnome me faisant dégueuler.
En utilisant la distro de base, sans trop tripoter avec des kernels spéciaux, cela fonctionne de manière stable, et les mises à jours suivent très bien sans créer le moindre soucis.
En terme de consommation RAM, cela bouffe moins que WIndows, c’est certain.
Toutefois, en terme de performances, ce n’est pas forcément aussi bon par rapport à la réactivité de l’interface ou le multitâche, et l’expérience utilisateur est similaire même si dans certains elle pêche dans les tâches lourdes, comme la copie de fichiers importants depuis une partition NTFS.
Ceci dit, je pense que Linux va très bien sur les serveurs ou les containers applicatifs, mais je n’y vois aucun sens sur le poste de travail.
Tout d’abord l’offre logicielle est moins riche, même si elle est très bien fournie.
D’autre part, il ne faut pas rêver…
Ce qui donne la puissance au desktop, c’est l’intégration des services Cloud, soit Office, Teams, etc…Et sur Linux, bonne chance.
En fait je crois que le débat Linux est mort et enterré; aujourd’hui c’est Windows ou Mac OS.
L’autre gros soucis de Linux, c’est le nombre invraisemblable de distros, qui fait que l’utilisateur ne sait plus quoi choisir.
Donc sur le desktop, c’est plié, mais il reste les petites bricoles genre Raspberry où cela trouve tout son sens.
Après je dirai que pour avoir essayé un M1 Apple, là aussi c’est plié, 10 d’avance sur l’architecture Wintel, si l’on veut un OS de type Unix super optimisé avec

« Quand chaque superpuissance interdira les produits des autre sous divers prétextes, le seul dénominateur commun survivant seront les système d’exploitation libres. »

Et comme les zombies, cela n’arrivera jamais

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Si Linux peut avoir des drivers pour 50% de notre matos, c’est de la chance.

C’est bon pour les servers et pour les geeks qui n’ont rien d’autres à faire que de taper des lignes de commandes pour configurer leur ordinateur.

Le type moyen n’a pas envie de compiler son OS et veut juste avoir ses bons vieux logiciels Windows et ouvrir ses fichiers offices sans détruire toute la mise en page.

C’est pourquoi Linux est cantonné a être marginal.

Effectivement, Linux apporte surtout des problèmes… C’est le truc à installer si tu veux perdre ton temps à lire des forums pour trouver les lignes de commandes obscures pour gérer tous les problèmes de compatibilités alors que sous Windows tout roule…

Pour ma part, j’utilise Manjaro depuis pas mal de temps. En utilisation classique, il est finalement très proche de Windows (7, car je n’ai que très peu utilisé le 10).
Utilisation normale pour moi : internet, courriel, tableur et traitement de texte, vidéo et musique.
Je ne me suis pas senti dérouté par rapport à Windows 7.
Gros avantages Linux :

  • tout est gratuit pour mon type d’utilisation et, à partir de ces éléments, Windows n’a absolument plus aucun intérêt
  • accessoirement, pas de pare-feu ni d’antivirus nécessaires pour l’instant (faut quand même protéger votre navigateur hein !)
  • pas d’espionnage (sauf Ubuntu)
  • mises à jour rapides et efficaces
    MAIS…
    Dès qu’on veut sortir des sentiers battus, ça peut vite devenir galère. Pour avoir testé quelques autres distributions Linux (Ubuntu et Mint principalement), j’ai trouvé Manjaro plutôt souple et très robuste mais certaines faiblesses apparaissent avec ces Linux.
    La 1ère de ces faiblesses est un choix moins large que pour Windows.
    La 2ème est la disparition de la gratuité de certains logiciels. C’est même plus fréquent qu’on ne le croit. Surprenant quand on nous vante la gratuité de « Linux et de ses applications », même si on comprend que tout travail mérite salaire.
    La 3ème est que, quand on a trouvé ce qu’il nous faut, bah on ne peut pas l’installer car le logiciel en question est construit pour une variété de Linux et pas pour une autre.
    La 4ème découle de la précédente : forcer une installation fait trop souvent passer par des lignes de commande inbouffables.
    La 5ème est… pas de jeu d’importance porté nativement pour Linux (en plus, faudrait que ce soit pour tous les Linux…). Les choses s’améliorent grandement mais on est loin de ce qu’il faudrait pour faire basculer des utilisateurs vers Linux.
    On peut trouver plein de faiblesses encore si on fouille. Comme on en trouverait dans Windows quand on s’y met.
    Ceci étant dit, à mon niveau, les bénéfices Linux sont définitivement plus nombreux que ceux de Windows. Mais ce dernier reste un bon système dont il est difficile de se passer pour certaines applis et globalement pour les jeux.

Ca me fait toujours marrer tout ces idées reçues d’un autre temps sur Linux et autres clichés à base de barbus, de compilation de noyaux et de ligne de commande.

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Dès qu’on veut sortir des sentiers battus, ça peut vite devenir galère.

Au contraire, c’est bien plus facile sous Linux pour ceux qui veulent aller plus loin qu’une utilisation de base de l’informatique.

Avec les gestionnaires de paquet et la disponibilité des sources, l’utilisation avancée y est beaucoup plus simple.

La 2ème est la disparition de la gratuité de certains logiciels. C’est même plus fréquent qu’on ne le croit. Surprenant quand on nous vante la gratuité de « Linux et de ses applications », même si on comprend que tout travail mérite salaire.

C’est au contraire relativement rare.

Et la gratuité d’énormément de distributions et d’applications est un argument bien réel.

Cela dit, il ne faut pas oublier que logiciel libre n’implique pas obligatoirement gratuité. Comme on dit, libre, ça veut dire « free speech, not free beer ».

Mais il y a généralement une bonne raison. Par exemple, une distribution payante fournira typiquement du support avec.

La 3ème est que, quand on a trouvé ce qu’il nous faut, bah on ne peut pas l’installer car le logiciel en question est construit pour une variété de Linux et pas pour une autre.

Non.
Toute bonne distribution linux possède des dépots avec tout ce qu’il faut.
Et même des dépots utilisateurs pour ce qui ne s’y trouve pas.
Et si ça ne suffit pas, la plupart des logiciels sérieux offrent les formats de type « appimage » permettant une distribution large : https://appimage.org/

pas de jeu d’importance porté nativement pour Linux

Minecraft, c’est pas un jeu important ? Mieux vaudrait dire qu’il y a beaucoup moins de jeux sous Linux.

Pour ma part, je solutionne ce problème avec un simple dual boot.

Et quand on y réfléchit, cette séparation entre l’univers de Linux et celui de Windows n’apporte que des avantages.

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Tous les jours, je réponds à mes appels téléphoniques en ligne de commande entre deux poignées de chips dans ma cave et je recompile mon noyaux pendant qu’il recharge la nuit et que je cherche sur des forums des scripts pour envoyer des SMS et lire des tweets.

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Assez souvent, dès que j’ai un pc, j’ajoute un deuxième ssd (installer deux os sur deux disques différents est mieux que de partitionner), sur lequel j’installe une distribution linux (l’amorceur de linux se charge de lancer les deux os au démarrage). Je n’ai pas de parti pris, je n’aime pas me couper de windows non plus, j’apprécie les deux os (même les trois). Donc je garde les deux, les navigateurs se synchronisent, il n’y a pas de coupure. Et vous profitez des deux mondes. Et pourquoi pas, un harmony 0S pour pc suffisamment mature (il sera open source, et est compatible posix, mais ce n’est pas pour demain). Avec un pc format petite tour (smff), on peut y caser trois ssd sans soucis (surtout si c’est des M2 nvme).

GNU/linux donne plus de liberté, ne fera jamais chauffer excessivement les ventilateur, il est solide comme un rock (héritage unix, comme macOSX), maintenu très longtemps sur du matos un peu ancien. Les macbook pro 2011 abandonnés par Apple ont une deuxième jeunesse sous GNU/linux. J’ai un macbook pro 2011 inutilisable parce que Apple a décidé qu’il ne devait plus exister. Et il tourne comme une horloge sous deepin qui est un os chinois. C’est assez ironique.

En plus des dépôts officiels, il y a des stores comme flathub ou le controversé snap.
Avoir un GNU/linux donne une sécurité en cas de souci sur windows.

Pour les débutants, ubuntu est un effet une bonne base même si j’ai du mal avec gnome. On peut aussi installer kubuntu.
Pour des distributions plus pros, il y a opensuse (pour kde, nécessite plus de connaissance sans que cela soit la fin du monde).
Pour une distribution très orientée utilisateur, qui se rapproche de la philosophie windows ou mac, la meilleure est la distribution chinoise Deepin V20 dont l’environnement de bureau est très travaillé et bénéficie des moyens colossaux d’institutions chinoises qui veulent en faire un os domestique (UOS)

Sinon, il y a aussi Chrome OS, qui est une sorte de distribution GNU/linux bridée. Il semblerait que chrome permette son installation hors OEM. Je n’ai jamais essayé mais j’y vois peu d’intérêt par rapport à une distribution GNU/linux « classique ».

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Un truc chiant avec linux c’est que pour la plupart des distros il faut se taper une install (ou grosse update) tous les 6 mois- 1 an, à chaque nouvelle version.
Du coup pour moi manjaro sinon rien (seule distro rolling, maintream, avec une assez grosse base utilisateur, que j’ai réussi à trouver jusque là)

Utilisant Ubuntu depuis 4 ans j’ai eu des soucis : impossibilité d’imprimer des photos en bonne qualité, modem non reconnu, carte wifi non reconnue, SSD non utilisable entièrement. Le pire est les problèmes de nouveaux drivers graphiques qui vous laisse avec une ligne de commande au démarrage, vaut mieux avoir un autre pc avec internet à côté. Une fois cela surmonté, un avantage est que la problématique des licences n’est plus et ça c’est tout de même très plaisant.

Ouais, c’est aussi plaisant que de construire ta propre voiture en pièces détachées et ou la plupart des pièces ne fonctionnent pas (n’ont pas de drivers)

La dernière fois que j’ai installé Linux sur un laptop plusieurs fonctions ne marchaient pas car pas de drivers.

Bref, c’est bon pour le type qui aime compiler des noyaux pour le plaisir, qui veut se battre a programmer des drivers, ou qui est trop pauvre pour se payer une license windows… ou bien pour des serveurs,

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Oui, mais est-tu capable d’ouvrir un document office le moindrement complexe sans que ta mise en page soit détruite? Une tâche aussi simple avec OpenOffice et compagnie sur Linux est souvent un misérable échec.

Une licence OEM Windows ça se trouve sans difficulté et légalement à 10€ ou moins … À quoi bon s’embêter avec tout ça …

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Alors soyons clair, pour une utilisation classique d’un PC, Windows et Linux c’est pareil et pour utilisation avancé Linux est mieux pour une simple raison, quand tu as un problème sous Linux tu le règle et quand tu as un problème sous Windows, tu réinstalle tout et si c’est pas le cas, tu garde des erreurs qui vont te faire chier sur le long terme.
Sous Linux c’est toujours « possible de… » et pour les personnes qui parle de simplicité sous Windows, c’est un non, vous êtes juste soumis à vos habitude et un peu de fainéantise, soyons sincère x)

Exemple, j’ai des amis qui ont mis les PC de leurs enfants sous Ubuntu. Quand tu leurs parle de Windows, les enfants trouvent ça compliqué. C’est une question de logique, standard et habitude, si vous passez le pas de la fainéantise pour arriver au changement ou à l’évolution alors vous serez gagnant mais ne justifiez pas votre fainéantise pour critiquer des choses que vous comprenez pas.

Moi même, je maîtrise Windows 10, Windows Serveur, CentOS, Ubuntu, Debian et ArchLinux autant serveur que terminal mais aussi leurs interfaces et commande.

J’utilise actuellement Windows 10 pour la simple et bonne raisons que tout les jeux y sont compatible alors que sous Linux il faut faire des concession à ce niveau là même si des projets comme Steam Proton aide les développeurs à rendre leurs jeux compatible. Sans ça je serais sur CentOS ou Ubuntu.

Et c’est pas pour rien que la majorité des serveurs tournent sous Linux, car les serveurs doivent tourner 24H/7J sans s’arrêter et Linux est le candidat idéal pour cela. Windows regagne du terrain à ce niveau là grâce à la popularisation de la virtualisation qui permet d’avoir la main sur la machine de manière plus simplifié mais cela est plus lourd. Encore une fois, les gens et même les informaticiens sont soumis à la fainéantise de changer et cela s’applique à beaucoup d’autre chose ^^

Pour les serveurs, Linux fait les deux contrairement à Windows qui a 2 OS distinct.
Mais sur serveur ont utilise dans la majorité des cas Centos / RHL et en deuxième Debian.
Centos est préférable car par défaut il bloque plus de truc, il est donc considéré comme plus sécurisé que Debian mais au fond les deux sont les mêmes. Ses deux OS sont stable et ont une communauté technique très active.

RHL, c’est pour Red Hat Linux, c’est CentOS mais que tu paye pour avoir un support avec, c’est tout

Bonjour,

Tes réponses laissent songeur.

Gestionnaires de paquet, disponibilité des sources : pour celui des windowsiens qui comprendrait les avantages indéniables de Linux, rien que cette terminologie peut rebuter. Gestionnaire de paquets : c’est un système super bien pensé, je pense qu’on est d’accord là-dessus. Mais pour quelqu’un qui voudrait s’y lancer, ça ne peut qu’être déroutant car Windows n’a pas ce genre de système.

La gratuité : pour une utilisation lambda, elle est réelle. Pour le reste, désolé, ça devient rapidement du pipeau. Même si je comprends les motivations économiques réelles et sérieuses.

Logiciels exclusifs à certaines distributions Linux et pas d’autres : là aussi, ta réponse me laisse dubitatif car l’exclusivité est réelle entre distributions et avec une terminologie, des mots « dépôts » et « appimage » qui peuvent faire repartir en sens inverse ceux qui auraient souhaité venir vers Linux. Quant aux dépôts eux-même, ils ne contiennent pas tout ce qui pourrait nous intéresser en-dehors des clous. Dire le contraire est un mensonge. Il ne devrait pas y avoir de honte à admettre certaines faiblesses, surtout quand le potentiel de Linux est, je pense, largement supérieur à celui de Windows (et Mac).

Pour les jeux : tu donnes la réponse toi-même, en citant une exception (il y en a d’autres intéressantes) et fournissant la solution du dual boot (que j’utilise aussi). Mais… dual boot !!! Demande à des non aguerris voulant se convertir à Linux ce que c’est… Explique-leur de faire seul une double installation… Justifie la raison de mettre en place 2 systèmes d’exploitation pour tirer bénéfice de chacun. Toi et moi y trouvons notre compte, mais les utilisateurs sont en droit de se demander l’intérêt, alors que Windows finalement, fourni tout, et sans difficulté.

Je ne pense pas qu’on soit fondamentalement en désaccord sur les avantages majeurs de Linux et de son potentiel. Mais pour que ce système s’impose, il doit être intellectuellement accessible à n’importe qui, c’est à dire 95 % de la population. En bref, ceux qui ont un autre système d’exploitation.
Or des erreurs et des mensonges sont bien là : une terminologie nouvelle et peu parlante pour n’importe quel quidam (gestionnaire de paquets par exemple : pourquoi parler de paquets au lieu de logiciels ? 95 % de la population sait ce qu’est un logiciel, mais un paquet…). La gymnastique cérébrale est réelle et pas forcément facile.
Pour simplifier, il existe un Windows (si on veut jouer sur les mots, on peut dire plusieurs en incluant le 10, le 8, le 7,etc.). Mais il existe une foison de Linux et, quand on veut s’y intéresser, on tombe sur Arch, Ubuntu, Fedora, Mageia, Debian. Pire ! On tombe sur Mint basé sur Debian, sur Ubuntu. Ubuntu qui a (avait ?) mis en place une collecte d’informations personnelles comme Windows. Et j’en passe.
En face, on a le dernier Windows. Le 10. Il est seul, solide, tourne bien. Et les gens s’arrangent de son immixtion dans la sphère personnelle.

Je comprends que l’on puisse choisir la facilité, après Ubuntu s’améliore avec le temps et les soucis ont tendance à devenir plus anecdotiques. Au-delà de la somme c’est plus l’aspect logiciel libre auquel j’adhère.

Ah mais chacun fait comme il le souhaite, je réagi à la base simplement car certaines personnes dénigrent Windows en sortant des absurdités ou des défauts vieux de Windows XP ce qui est énervant. (Non pas que j’ai des parts chez Microsoft mais c’est juste lourd) et c’est souvent le cas de personnes supportant Linux corps et âmes et qui j’imagine se sentent seuls.

Après que certains utilisent Linux peu importe la distrib (je n’y connais pas grand-chose à cet OS) tant mieux libre à chacun de faire comme bon lui semble. Moi j’ai fait le choix de payer un peu pour avoir des softs complets et performants comme Office ou Photoshop quand certains se contenterons d’OpenOffice ou Gimp …