Pour partir 1 ou 2 fois par an je me pose même pas la question fait pas abuser quand même.
Et non je vais en corse et c’est bateau voiture ou avion
Vivre pollue aussi. Je suis pour le juste milieu. Pas les extrêmes escrologistes
Tout à fait, et c’est pour ça que je garde ma méchante thermique qui pollue quand je ne prends pas les transports en commun pour aller bosser.
Mais pour mes vacances, c’est uniquement le train + voiture que je loue sur place si besoin, car même si c’est pour seulement 1 ou 2 fois par an, je me pose quand même la question, question de bon sens.
En moyenne, peut-être, mais beaucoup plus quand le taux de remplissage de l’avion est insuffisant, ça reste une moyenne. C’est un peu le même principe que pour le conducteur seul dans sa voiture ou avec 4 passagers en plus.
En même temps il faut relativiser cette logique car plus la voiture sera lourde, plus elle va consommer et l’avion n’échappe pas à cette règle.
Sur des vols longs… Des distances qu’on ne pourrait pas faire en voiture.
Sur les vols courts, c’est beaucoup plus, car les phases de vol où l’avion consomme le plus, c’est le décollage et l’atterrissage. Ce qui sur un vol court représente quasiment tout le vol…
Mais l’impact du taux de remplissage est plus faible sur un avion que sur une voiture je pense, puisque la charge utile est, proportionnellement au poids à vide, beaucoup plus faible.
Par exemple, un A350-800, c’est 170 tonnes à vide, maximum 248 tonnes au décollage et maximum 190 tonnes à atterrissage. Ça fait donc 20 tonnes de charge utile, qui représente entre 8 et 12% du poids total selon la quantité de carburant embarquées.
En voiture, ça peut dépasser les 30% (par exemple sur mon véhicule, qui n’a vraiment pas la meilleure des charge utile par rapport à son poids, c’est 496 kg de charge utile pour 1564 kg à vide… et en pratique y en a sans doute qui dépassent ces 496 kg, avec 5 personnes à bord et le coffre plein…).
Tout à fait, une grande partie du kérosène servira surtout à faire voler l’appareil plus que pour transporter de la charge utile, en l’occurence des passagers.
Yep, surtout pour aller bosser à 40 km de chez soi…
On se doute qu’on n’est qu’à l’aube des véhicules wattés, et que donc ces fameux 2 000 km seront atteints grâce à de nouvelles découvertes (plus de densité, moins de poids de batteries, d’autre systèmes de recharge…)… pour enfin en finir avec ce fameux pétrole qui finit cramé dans un moteur.
Mais n’oublions pas les carburants synthétiques. Ce serait le comble qu’ils nous sortent un truc ne crachant aucune particule.
Mais quel intérêt ? Personne n’a besoin de 2000 bornes d’autonomie… Faut rouler quasiment 20h non stop pour faire 2000 bornes !
Même si ça devient techniquement possible, ça serait vraiment une aberration de faire ça, ça reviendrait à monopoliser bêtement pour un véhicule des ressources qui permettraient d’en équiper 2-3 « routiers » ou 4-6 « citadins », et sans que ce véhicule n’exploite vraiment ces ressources mobilisées… En prime, le véhicule consommerait plus, serait plus cher et offrirait moins de prestations à poids/taille égale qu’un véhicule avec une batterie assurant 700 bornes d’autonomie.
Pouvoir recharger en 10 minutes 700 km d’autonomie avec des batteries bien moins lourdes serait déjà une découverte bien plus utile, surtout sans hydrogène.
Sinon y a toujours la propulsion nucléaire, comme pour les sous-marins, 1 million de km garantis par le constructeur (compteur Geiger offert avec le véhicule)
Hélas les investisseurs sont tout sauf d’accord avec vous. Et le Chiffre d’Affaires est lui bien concret (54 Mrds $) et le Résultat net aussi (5.5 Mrds $). 2022 semble bien parti pour être encore meilleur (5.6 Mrds de RN sur les 6 premiers mois) Après libre à vous de penser qu’il ne sait pas ce qu’il fait mais pour l’instant cela ne reste que votre propre opinion.
Oui, mais M. Trucmuche bien que ne faisant que 50 km par jour pour aller bosser, s’en fait pour ses vacances d’été ! (longues distances, bornes d’autoroutes prises d’assaut…) donc il préfère trimballer chaque jour plusieurs centaines de kg de batteries et être tranquille l’été.
Pour le faire changer d’avis, va falloir que le nombre de bornes soit largement multiplié et que ces bornes fonctionnent réellement et avec un système universel (pas 36 types d’abonnements).
Bravo à ceux qui essuient les plâtres actuellement en roulant en électrique.
M’enfin même pour ses vacances, il fait pas 2000 bornes en une fois…
Ben oui, mais forcément, avec pour l’instant moins de 5% du parc en VE, y a pas encore beaucoup de bornes, puisqu’il n’y a pas les usagers pour qu’elles soient rentables. Mais avec le développement du parc de VE, le parc de bornes se développera, et tous les gros acteurs de l’énergie sont désormais en train de se positionner pour que le marché ne leur échappe pas. Suffit d’aller regarder la carte des bornes VE dans des pays où le parc est plus développé pour comprendre que le parc et le réseau grandissent ensemble.
Alors ça, pour info, c’est déjà une obligation légale pour toutes les nouvelles bornes depuis un peu plus d’un an. Le paiement à l’acte doit être possible, sans avoir à souscrire à un abonnement, même gratuit. Concrètement, j’ai vu deux façons différentes de gérer ça : sur les nouveaux modèles de bornes, c’est directement un lecteur CB intégré, sur les bornes de conception plus ancienne, c’est un QR à flasher sur la borne, qui donne accès à un site web pour payer en ligne en saisissant son numéro de CB.
À terme, les bornes existantes proposeront sans doute ça aussi (pour le fonctionnement par QR, il suffit quasiment d’ajouter un autocollant sur la borne, la borne n’a pas besoin d’être mise à jour matériellement ou logiciellement, à part l’autocollant tout le reste se gère côté serveur), et en attendant il y a des badges multi-réseau gratuits qui donnent déjà accès à quasiment tous les réseaux.