@brousse_ouillisse
Sauf que les fusées sont tellement fragile que fabriquer une aile de la même façon qu’une fusée est impensable, ça résiste très mal au charges latérales, sans parler de l’emport d’oxygène, à moins de faire un moteur atmosphérique, mais ce genre de moteur est bien plus complexe qu’un réacteur facilement instable, et ce n’est pas prévue pour une utilisation continue ou intensive.
Que ce soit la navette spatiale, la future SLS qui utilisera les même moteurs, ou les Falcon et Starhopper et Starship de SpaceX, les moteur nécessite un très gros entretien entre chaque vols, c’est pas aussi simple que de juste refaire le pleins et repartir.
Entre les batteries qui utiliseront bientôt des matériaux en quantité très abondante (Sodium, graphène et n’en passe), les batteries quasi entièrement recyclable, l’avenir qui est clairement le minage d’astéroïdes, on n’as pas trop de soucis à se faire, contrairement au pétrole qu’on n’as qu’en quantité limité et dont, même sans utilisé de carburant à base de pétrole, on a quand même d’autre utilisations.
Et justement les pile à combustible sont faire elles aussi avec des matériaux rare.
Et il ne faut pas oublier que non seulement les pile à combustible ne sont pas un moteur, c’est un générateur, le véhicule reste électrique, il remplace juste les batteries par de l’hydrogène et un moyen de le transformé en énergie électrique.
Mais l’hydrogène est polluant à créer, pas l’électricité qui peux être créer de façon très propre, de l’outil utilisé (générateur utilisant le vent et meilleur que les éoliennes, panneau photovoltaïque en matériaux à base de carbone, fusion nucléaire, four solaire, etc) à l’énergie en elle même, et disons que finir d’utilisé certain matériaux nous forcera juste à utilisé une autre technologie, par contre finir de polluer la planète ça, ça ne pardonnera pas.
@Martin_Penwald
Si il ne vole pas dans sa configuration actuelle, les changement mineur nécessaire pour le faire fonctionner seront fait, il faut arrêter de penser qu’on est encore dans les années 60 ou les vols d’essaies sont la seul façon de savoir si un appareil vole ou non, de nos jours on maîtrise suffisamment l’ingénierie, la simulation informatique et on a largement assez d’expérience pour connaitre le comportement en vol d’un appareil avant qu’il ai fait son premier vol, et même en cas de problème, c’est seulement des changement mineurs et non un redesign complet.
Ça ne change pas qu’on a quand même, de façon technique, déjà au moins un prétendent, après blamer les avions électrique par ce que un à brûler…
Combien d’avions non électrique ont brûlé ?
SURTOUT lors de tests, car là c’était un test ou le réseau électrique était amené à saturation, et pour ce qu’on sait, l’appareil orrait quand même pu offrir un excellent niveau de serviabilité malgré l’incendie, après tout l’incendie électrique du vol Air France 346 d’un A380 n’as pas fait de victimes et ça n’aurait pas était la première fois qu’un appareil en feu n’en fait pas.
Pareillement, simplement isoler les cables, l’électronique et les batteries avec quelque chose de léger et très résistant au forte chaleurs, comme de l’aérogel (c’est qu’un exemple) dans ce style :
https://www.amazon.fr/dp/B01FVW5XQC/
Avec les batteries réparties en petit « packs » partout autour du fuselage et dans les ailes, chacune dans un compartiment, permettant de faire utilisation d’une structure nie d’abeille particulièrement solide, tout en profitant de l’espace disponible pour y mettre les batteries, chaque compartiment qui est donc totalement isolé des autres de façon ignifugé aurais la possibilité, en cas d’incendie, de simplement se laisser « percer » vers l’extérieur par la surpression si nécessaire, comme ça, si une ou deux batteries pendent le vol venez à brûler, l’appareil et les autres batteries resterais intact.
Puis ça permettrait de faire de la maintenance sur un pack unique de batterie plutôt que de remplacer un énorme machin dont beaucoup de cellules serrait encore potentiellement en très bon état.
Cet appareil reste que l’un des premiers du style, mais son existence même prouve qu’un appareil électrique avec des caractéristique plus que correcte peux existé.
Et ça c’est sans les batteries à électrolyte solide qui sont largement plus difficile à faire brûler et qui ont une densité énergétique largement supérieur.