Trolls de tests

Resident evil 5

Je m’attendait a un jeu de shoot alors j’ai pas eu la surprise de changement avec les précédents opus ( cad pas d’énigmes ). Rythme d’action bien tendu avec quelques breaks où on a le temps de récolter du matériel et gérer son inventaire. jolis graphismes, animation réussie, bonne ambiance ( mais fait pas peur ). Quelques passages de coop intéressants qui pourraient de plus entrainer de le refaire.

Mais le problème dans ce jeu c’est la jouabilité qui est a chier, le coup de main ( euh non, de doigts ) est dur a prendre, pas possible de tirer en ce déplacant, mauvaise précision de la souris je passe souvent la sensibilité entre 3 et 4. La vue caméra épaule est mal placée, ça fait un gros angle mort à gauche régulierment pénible, dans le 4 où dans dead space par exemple c’est bien fait la caméra épaule.

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  • Splinter Cell : Pandora Tomorrow

Sam Fisher revient dans un second volet affublé d’un sous titre digne d’un James Bond. Mais surtout, il faut noter que le jeu est développé par Ubisoft Shangaï pour le mode solo et Ubisoft Annecy pour le mode multijoueur. De quoi ? Un mode multijoueur dans un Splinter Cell ? Laissez-moi vous expliquer.

* Chuck Norris is back !

Toujours aussi nanardesque, le scénario de Pandora Tomorrow est tout de même un peu plus étoffé que celui du premier Splinter Cell. Attention, j’ai dit un peu plus, pas de quoi
non il faut que je trouve une expression autre que casser trois pattes à un canard. Ah voilà, pas de quoi non plus entamer une réflexion philosophique sur le besoin des hommes de faire la guerre (vous avez deux heures).
Sam défend comme toujours les intérêts de l’oncle Sam (il fallait bien que je la case à un moment ou un autre) et se retrouve parachuté au Timor oriental, où l’ambassade américaine a été prise en otage et la base militaire que l’US Army avait posté là bas pour aider la plus jeune démocratie du monde (selon le jeu). Et cette fois la menace à un visage : Suhadi Sadono, chef de guérilleros à la solde du méchant chef d’état major de l’Indonésie communiste ! Chuck Norris n’étant pas disponible, c’est Sam qui sera chargé de régler la situation

Mais toute l’aventure ne se situe pas au Timor Oriental, Sam fera des virées exotiques comme toujours, en passant par Jérusalem et la France (entre autres). Passé ces détails, il est temps d’examiner le cœur du jeu : le gameplay.

  • Mission : Pas Possible.

Sam Fisher est bien entendu toujours soumis aux règles de la NSA : il n’a toujours pas le droit de tuer tant qu’il n’en a pas reçu l’ordre. Remarquer, c’est beaucoup plus marrant comme ça. Concernant le game design, force est de constater que le jeu est toujours aussi linéaire : impossible de vraiment sortir des chemins balisés. Cependant, Sam a étoffé sa palette de mouvements. Il peut faire un demi-saut écart maintenant, aussi classe que le grand écart du premier, mais toujours aussi inutile. Un des mouvements les plus intéressants est sans aucun doute un mouvement à 360 degrés, permettant à Sam de passer d’une cachette à l’autre furtivement, sans se faire repérer par un ennemi qui trainerait dans les parages. Toujours dans le registre infiltration, il faut noter que désormais, Sam a l’âme un peu mélomane et peut siffler pour attirer ses adversaires, afin de mieux les éliminer. Et ça c’est une grande avancée, car je rappelle que dans le premier épisode, pour attirer les ennemis, il fallait sauter sur place. Pas très pro tout ça

Sam est aussi désormais plus précis avec son pistolet, équipé désormais d’une visée laser, permettant enfin de voir où les balles vont toucher, ce qui évite de gâcher des munitions pour éclater une simple ampoule. Bien sur, les lunettes de vision nocturne sont toujours d’actualité et servent toujours à la même chose : voir dans le noir, ou bien voir la chaleur corporelle qui émane des gens dans les environs

Mais voilà, toutes ces améliorations sont mineures. Le jeu n’a pas changé d’un iota, et pire, les bugs sont plus nombreux que dans le précédent épisode. L’IA n’a toujours pas évoluée, et est toujours aussi bipolaire, et la majorité des niveaux est insipide. Sauf un, très court : le TGV Paris-Nice. Dix minutes grand maximum pour le boucler, mais terriblement intense et immersif, plein de détails qui font qu’on s’y croit. Mais cela ne sauve pas le tableau, le mode solo de Pandora Tomorrow n’est pas aussi prenant que celui de son prédécesseur, c’est bien dommage.

  • Virtucon : organisation du Mal.

Le mode multijoueur, voilà un concept très étrange pour un jeu d’infiltration. Deux équipes de deux membres chacun s’affronte autour de divers objectifs.

Les gentils espions de la NSA devront voler, détruire, pirater divers objectifs protégés par les méchants mercenaires (ou bien est-ce l’inverse et que les mercenaires sont les gentils ? Je ne me souviens plus). Et nous avons là une partie multijoueur de grande classe et pour cause : le gameplay Sam Fisherien est disponible pour les espions, capable alors de se mouvoir tout en finesse et en grâce.

En contrepartie, ils ne possèdent pas vraiment d’armes létales, à part le combat à mains nues. Mais ils ne sont pas tout puissant contrairement à ce qu’on pourrait penser. Les mercenaires, bien que pénalisés par la vue FPS, possèdent des armes pour lutter contre la menace furtive. Un détecteur de mouvement, des mines de proximités, un détecteur de signature énergétique (très utile lorsqu’on sait qu’elle repère un espion qui utiliserait un gadget) et une trouvaille fort utile au cas où les espions utiliseraient un micro : le mercenaire peut intercepter les transmissions. Et ça c’est la classe !

Bien équilibré et fort de maps aux aspects bien différents, ce mode multi est une pure merveille, qui offre alors une expérience de jeu très forte et très intense. Que l’on soit dans un camp ou dans l’autre, on s’amuse et c’est bien le plus important !

* Sam Fisher 1.5

Pandora Tomorrow ne bouscule pas beaucoup les choses dans son mode solo. On a même tendance à dire qu’il se repose sur ses lauriers (moteur graphique inchangé, mécaniques de jeu à peine révisées, IA toujours à la ramasse). Néanmoins il est divertissant.

La vraie qualité de Pandora Tomorrow, c’est son mode multijoueur. Fun, intense, il possède toutes les clés pour des parties endiablées tellement plus posées qu’un UT 3 ou un Quake 3 (non pas CS
)

Et bon, ne boudons pas notre plaisir, quand une partie du jeu est fun
c’est mission accomplie. Sam Fisher a encore sauvé les USA et peut savourer une bonne bière !

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J’ai à peu près eu le même avis sur ce Splinter Cell : trop proche du premier. Par contre, l’ayant eu après que les serveurs multi ont été fermés, je n’ai jamais pu tester le mode versus.
Si jamais vous voulez faire des ptites parties (via Hamachi ?) ou alors sur le multi de Chaos Theory je suis partant :stuck_out_tongue:
Par contre j’ai paumé mon manuel de CT (je l’ai vu trainer sur une étagère en juin dernier mais il a évidemment disparu :riva: ) donc faut que je le retrouve pour activer le multi :ane:

Si y’a des intéresses, ici, ça peut se faire. Ça me manque :stuck_out_tongue:

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1er Troll :

King s bounty 1er du nom sortit en 1990 sur Commodore 64 et Amiga. En 1991 une version console voit le jour sur la Megadrive de Sega. C est d ailleurs cette version la que j avais connu a l epoque. Par nostalgie j ai donc decide de ne parler que de cette version. A cette epoque, King s bounty est un jeu New World Computing distribue par Electonic Arts. Pour l anecdote les plus anciens d entre vous se souviennent peut etre de la petite languette jaune qui caracterisait la plupart des cartouches Electronic Arts de l epoque. EA (soupir)… un grand nom de l epoque devenu aujourd hui un grand “non” pour beaucoup de joueurs. :ange:

1er contact :

Deja a l epoque King s bounty est un jeu d un genre un peu particulier sur console puisque NWC melange avec audace et dans une alchimie presque parfaite, strategie temps reel, combats au tour par tour et quelques aspects du jeu de role, le tout dans un univers medieval fantastique directement emprunte a la serie des Might and Magic. La formule est efficace et l asservissement du joueur est totale tant le jeu est captivant. Sans etre irreprochable, le jeu remporte un franc succes d estime. King s bounty a du potentiel et NWC l a bien compris. C est donc tout naturellement que le studio democratisera le genre quelques annees plus tard avec, comme vous le savez, la serie Heroes of Might and Magic, veritable “spin-off” de King s bounty et de l univers des Might and Magic en general.

Si le concept est attirant, NWC n a pas fait appel aux plus grands scenaristes de l epoque pour composer le scenario, jugez plutot :
Le roi Mongolius 1er s est fait vole son sceptre de l ordre par un dragon ! C est cet artefact puissant qui maintenait le roi en vie ainsi que l equilibre du royaume. Et blablabla situation desesperee blablabla le roi se meurt blablabla il fait appel a vous blablabla.

Vous incarnez donc un des 4 heros proposes qui aura pour quete principale de recuperer le sceptre. Attention, le temps vous est compte : vous beneficiez par exemple de 900 jours si vous jouez en mode facile et seulement 200 jours si vous choisissez le mode impossible. Pas de temps a perdre donc. Pour mener a bien votre quete, vous jouissez d une armee que vous pouvez renouveler a tout moment en cas de pertes, pour peu que votre tresorerie vous y autorise. Vous recrutez dans le chateau du roi mais egalement d autres types de creatures parmis les nombreux batiments que vous trouverez un peu partout dans le royaume. C est d ailleurs dans votre interet de recruter parmis ces batiments car les troupes du roi sont loin d etre les plus efficaces sur le long terme. Assurez vous toutefois de recruter des unites ayant un alignement proche voir identique, sous peine de voir le moral de vos troupes affecte et de rendre ces dernieres moins efficaces au combat.

Des points de “leadership” (que vous recoltez a foison lors de vos explorations) vous permettent d enroler plus de troupes et donc de devenir plus puissant. Pour chaque type de creature le cumul des points de vie ne doit en aucun cas exceder vos points de “leadership” sans quoi vos troupes n en feront qu a leur tete et attaqueront la cible la plus proche, soit elle ennemie ou amie.
L argent a aussi un role tres important a jouer et vous en obtiendrez a mesure de vos victoires sur l ennemi. Le roi augmentera egalement vos revenus hebdomadaires pour chaque artefact ou autre relique que vous lui trouverez. Vos adversaires sont plutot nombreux et varies, selon les normes d un bestiaire qui ne surprendra personne : nains, ogres, trolls, elf en dentelle et autres barbares assoiffes de conquetes. Si la plupart des beligerants sont visibles et sillonnent le terrain, d autres en revanche se terrent dans leur chateau. Ces derniers ne sont pas a negliger car leur tete est mise a prix. Assiegez leur chateau, debusquez ces vilains et vous obtiendrez une belle recompense. Ces contrats peuvent etre obtenus dans une des multiples villes du royaume.

Voila, il me semble avoir parle de l essentiel et en guise de conclusion, je vous laisse apprecier les screenshots.

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On peut voir que certains elements ont ete repris plus tard pour la serie des Heroes of Might and Magic :
A : la semaine des astrologues.
B : les informations sur l ennemi a conquerir
C : les coffres aux tresors qui vous laisse le choix de donner l argent aux paysans en echange d experience.
D : la “puzzle map” : a vous de decouvrir les pieces manquantes pour decouvrir l emplacement du sceptre.

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Le combat au tour par tour.
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A noter qu une version du jeu voit le jour sur PS2 en 2001 sous le nom de “Heroes of Might and Magic : quest for the dragon bone staff.” Remit aux gouts du jour graphiquement, le jeu serait l exacte copie de la version 1990. Je n ai jamais eu l occasion d y jouer donc je n en parlerai pas. Si gens parmis vous y ont joue, n hesitez pas a donner vos impressions. :slight_smile:

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Les + :

on ne peut plus s arreter de jouer
les combats ne s eternisent pas
les musiques epiques de l epoque
bestiaire Might and Magic

Les - :

on ne peut plus s arreter de jouer
la duree de vie
graphisme sommaire, meme pour l epoque
ce jeu est a vous degouter du vert
combats relativement simplistes
synopsis qui assure le minimum syndical

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2eme Troll :

6570 jours plus tard et beaucoup de choses ont changes. A commencer par une bien mauvaise nouvelle puisqu en 2003 3DO met la clef sous la porte, entrainant dans son malheur la branche New World Computing. La serie HoMM ne reste pas orpheline longtemps car (et ca c est un autre coup dur) Ubisoft saute sur l occasion pour s approprier les droits de la serie. :o(
Voila que presque sortis de nul part, les russes de 1C Company s octroient les droits de King s bounty, licence presque oubliee, et confient (de canard) la lourde tache du developpement du jeu a Katauri Interactive, une boite russe egalement. Alors King s bounty version slave, ca donne quoi ?

Un contexte historique honnete :

Une introduction modeste nous met au courant de la situation : Carl, a qui la couronne etait destinee, refusa de monter sur le trone pour consacrer sa vie a la science. C est donc son jeune frere Mark qui prit les renes du royaume de Darion. S en suivit une periode prospere ou les relations avec les allies etaient au beau fixe. Cependant, le roi etait malheureux car celui ci ne pouvait pas avoir d enfant. Ni la science, ni la magie etaient en mesure de lui venir en aide. Alors les Dieux d Endoria lui envoyerent un bebe que le roi decida d appeler Amelie. C est a partir de cet evenement que les choses commencent a s assombrir dans le royaume : les relations entre les peuples se degradent, les morts vivants sont de plus en plus agites, la magie devient instable et Darion est frappe par de terribles tremblements de terre et de violentes tempetes. Un mal inconnu semble desormais tourmenter le royaume.

Armee et faune locale :

Comme vous pouvez vous en douter, les changements sont nombreux. Meconnaissable graphiquement, le jeu n en a pas pour autant perdu son essence et les principes de base ont ete respectes : il s agit toujours d un jeu de strategie en temps reel avec des combats au tour par tour, le tout dans le meme univers. Vous procedez toujours de la meme facon pour recruter vos troupes a condition bien sur de respecter la regle du “leadership”. En plus du chateau du roi vous avez egalement la possibilite de recruter dans les chateaux de ses vassaux, ce qui vous offre un choix nettement plus large puisque les troupes ne seront pas forcement les memes. D ailleurs, d une facon generale le bestiaire est considerable que ce soit chez les humains, les nains, les elfs (toujours en dentelle), les demons ou les orcs, vous ne saurez plus ou donner de la tete. Sans parler de ces innombrables creatures qui peuplent le royaume de Darion : des loups, des serpents, des plantes carnivores, des ours et bien d autres encore. De quoi vous constituer des tas d armee disparates. A ce propos faites tres attention a l alignement de vos troupes ou vous serez penalises de la meme facon que dans le 1er KB. A noter qu il est possible de poser des troupes en garnison dans les chateaux, ce qui peut etre tres interessant tactiquement.

Fortement inspire de HoMM, toutes les unites ont au moins une abilite et certaines ont meme 1 talent voir plusieurs (3 maximum). Pour exemple, l abilite des paysans augmente de +1 l attaque tous les 30 paysans qui composent votre armee. Mais ces derniers n ont pas de talent. D autres en revanche peuvent avoir plusieurs abilites et un talent, comme par exemple les chevaliers dont l une de leurs abilites leur donne un bonus d attaque sur les dragons et dont le talent leur permet de porter une attaque sur toutes les cases adjacentes. A vous d activer ces talents quand bon vous semble.

Toute la difficulte de King s bounty reside dans l art de menager ses troupes aux combats. Les garnisons sont loin d etre inepuisables pour la plupart et seuls les paysans sont en nombre illimite des le debut du jeu. Bien plus tard d autres unites seront en acces illimite, mais cela concerne une minorite de creatures. Alors soyez tres au point tactiquement pendant vos combats et limitez vos pertes autant que possible, surtout si vous decidez de jouer en mode impossible. Vous etes votre pire ennemi en quelque sorte.

Quetes :

Il est important de visiter les chateaux car les seigneurs de Darion peuvent vous vendre de l equipement et vous donner pas mal de quetes. Ces dernieres sont nettement plus nombreuses et surtout plus interessantes que dans le 1er KB. Les dialogues ne manquent souvent pas d humour et les quetes sont reparties en 2 categories :

  • Les quetes principales : ces quetes sont plus longue car constituees de plusieurs etapes (plus de 10 etapes pour certaines). Elles participent a la progression du scenario et une fois completees, permettent au hero de prendre du grade aupres du roi et meme parfois d acceder a de nouvelles unites.

  • Les quetes secondaires : nettement plus courtes et souvent plus amusantes (“l auberge de la dent de dragon”, “un amour enchante” entre autres), celles ci agrementent le jeu de fort belle maniere tant les petites histoires du royaume sont captivantes. Certaines peuvent etre echouees, alros reflechissez bien avant de les resoudre.

Magie :

La gestion des sorts est originale : vous recoltez des parchemins un peu partout et ceux ci s ajoutent a votre livre de sort. Vous pouvez cumuler les meme sorts dans votre grimoire sans aucun probleme. A mesure de leur utilisation pendant un combat, ces parchemins disparaissent tout naturellement de votre livre de sorts. Toutefois, vous avez la possiblite de memoriser ces parchemins de facon definitive mais il vous en coutera des cristaux (que vous trouvez aleatoirement dans le royaume ou en recompense de certaines quetes). Ces memes cristaux sont egalement utilises pour ameliorer vos sortileges. La encore, pas de precipitations, reflechissez bien aux sorts que vous voulez ameliorer car les cristaux ne poussent pas a chaque croisee de chemins.

Le plein d idees neuves :

Les gens de Katauri ne se sont pas contente de copier les grands principes de la version 1990, mais ont su egalement enrichir le jeu avec quelques nouveautes tres interessantes :

  • Le mariage : au cours de vos aventures vous rencontrerez certaines femmes un peu partout dans le royaume, et chacune de ces demoiselles pourra potentiellement devenir votre epouse, a condition bien sur de lui avoir prealablement rendu service. Princesse, femme demon, femme pirate, zombie et meme… grenouille. Une fois mariee, votre femme pourra vous donner jusqu a 4 enfants, et chaque lardon vous apportera un bonus (attaque, defense, plus d experience au combat etc etc). Vous pouvez divorcer a tout moment et vous remarier avec une autre dans la foulee. En revanche, vous perdrez vos marmots.

  • “Le chest of rage” : veritable boite de Pandore que vous obtenez en recompense de quete. A l interieur se trouvent 4 esprits de rage qui vous aideront pendant les combats. Vous les debloquerez un a un et tout comme vous, ces entites prendront de l experience et donc des niveaux, debloquant ainsi de puissants sortileges de combat. Leur intervention necessite des points de rage que vous obtenez a mesure que vos troupes infligent ou subissent des degats. En plus de votre mana personnelle, vous avez donc une jauge de rage.

  • Les objets ensorceles : certains objets sont habites par des esprits tres puissants. Vous pouvez a tout moment, et d un simple clique droit sur l objet, affronter ces esprits. Si vous remportez le combat, l objet sera ameliore de facon permanente. Certains objets pourront etre ameliores de la sorte plusieurs fois. Evidement, les combats seront de plus en plus difficiles. Je dirais meme que ce sont parmis les combats les plus difficiles du jeu.

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Le jeu des 7 differences : etes vous capable de les trouver ?

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Vous trouverez un peu partout dans le royaume et de facon aleatoire des tas de bonus qui feront progresser votre personnage.
En bas a gauche : les 4 esprits
En haut au centre : la femme et les 4 bebes
Sur la partie droite : 3 arbres de competences correspondants aux 3 classes de personnage du jeu (guerrier, paladin et mage).

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Ail Ail Ail !! Des vampires !

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Paladin ! Maintenant que tu as termine le tutorial, tu peux aller warrior si j y suis !

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Tout le monde sait que je suis le plus grand paladin de tout l etang.
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Conclusion :

L excercice etait delicat pour le jeune studio Katauri et il fallait une bonne dose de discernement pour ne pas tomber dans le piege du plagiat. La serie HoMM etant sortit entre temps, il fallait faire des choix judicieux en evitant certains details pour ne pas faire du HoMM bis et ainsi eviter au serpent de se morde la queue. Ces ingredients qui paradoxallement etaient la propriete du King s bounty de l epoque tel que les coffres ou il fallait choisir entre or et xp, la semaine des astrologues qui conferait des bonus aux creatures, la “puzzle map” etc… Autre absence remarquee et contestee par beaucoup : le mode multijoueur. La encore je trouve le choix pertinent que de faire l impasse sur ce mode la. Quel aurait ete le but ? Se courir apres dans tout le royaume ? Le concept de King s bounty ne se prete pas au multijoueur et pour rendre la chose plus interessante il aurait fallu implementer des elements a conquerir et donc se rapprocher a grand pas du concept de HoMM.

En plus d avoir evite ces quelques pieges, les russes ont superbement enrichi le jeu avec des idees fraiches et de ce fait, ont donne une nouvelle identite a cette licence tout en conservant les principes d origine. Cette tendance devrait etre largement confirmee aux vues des dernieres annonces de la tres prochaine extension : King s bounty : armored princess.

Les + :

le graphisme
les animations
les nouveautes
le scenario a rebondissements
les combats tres tactiques
la difficulte croissante bien dosee
duree de vie
musique de qualite
l humour omnipresent
la qualite des quetes
jeu chronophage
interface tres soignee et intuitive

Les - :

les themes musicaux pas assez nombreux
jeu chronophage
ou sont les options de combats ?

http://nsa09.casimages.com/img/2009/09/26/090926085028454613.png[/img][/URL][URL=http://www.casimages.com][img]http://nsa09.casimages.com/img/2009/09/28/090928101137601788.png
Edité le 28/09/2009 à 23:16

Manque la médaille pour King’s Bounty :ane:

Bin j ai mis une medaille d argent pour King s bounty… elle apparait pas ?

Apparemment non, tu as oublié de mettre le lien :slight_smile:

EDIT: je parle du remake.
Edité le 28/09/2009 à 22:04

Voila c est regle. Je pensais que la mention “Clubic JVPC approved” dispensait de mettre une medaille. :slight_smile:

C’est justement la mention qui est facultative :wink:

J’ai faillis m’étouffer avec un Bounty une fois :sweet:

C’est bon les bounty pourtant :miam:

Oui je sais :smiley: Faut juste pas les manger en montant un escalier en se marrant comme un tordu, ça passe par le mauvais trou après :ane:

'tain, je serais clamsé, on aurait pu écrire sur ma tombe “le révulsé du Bounty” [:peur]

[][:skyos]

Desole de t avoir traumatise. La prochaine fois j ecrirai un test de : Attack from Mars.8)

On dirait du Mérine :paf:
Tu nous caches quelque chose Cassin ? :whistle: :ane:

On ne m’a pas aussi facilement :o

Non non, mais moi c’est véridique :smiley:

Sam fisher est une sous-merde, son maître :

Ce message n’était pas conforme aux règles d’utilisation du nouveau forum :

:MDR

Liste des tests mise à jour.

  • Splinter Cell Chaos Theory

Toujours plus loin dans les titres Nanadesque, Splinter Cell 3 revient en forme. Après Pandora Tomorrow, Chaos Theory a la lourde tâche de nous faire oublier le solo pas mirobolant de son prédécesseur, mais aussi de son magnifique mode multijoueur. Alors, pari réussi ?

* Fisher, Sam Fisher
Il est de retour, toujours aussi classe, toujours aussi furtif
et un poil plus cynique qu’avant. Oui c’est lui, le super espion de la mort qui tue. Et comme Chuck Norris n’est toujours pas disponible pour botter le cul des vilains terroristes, c’est à lui qu’on va faire appel : Sam Fisher.
Cette fois, il est chargé d’empêcher une guerre en mer du Japon. Difficile mission. Périlleuse mission. Impossible mission. Mais pas pour Sam !
Ainsi, les dialogues plus que dans tout autre épisode sont drôles du début à la fin, tout en restant dans le contexte guerre imminente. C’est là que l’on voit qu’un effort a été fait : fini le sérieux militaro-militaire des deux premiers, place au coté encore plus nanar avec un Schwarzy tout en finesse.

* Finesse ? C’est quoi ça ?
J’ai dit finesse ? Hum
plus tellement dans ce volet. Fini la frustration des précédents, car comme le dit Lambert, le boss de Fisher après que ce dernier lui ait demandé combien d’alarmes il peut déclencher pendant une mission : « Voyons Fisher, ce n’est pas un jeu vidéo
». Une phase qui prend tout son sens quand on voit ce qu’on peut accomplir.
Oui Fisher peut maintenant avancer comme un bourrin. Cependant, il encaisse toujours aussi mal les balles, et au fur et à mesure qu’il déclenche des alarmes, les ennemis se protègent. Gilet pare-balles, casque, mode alerte constant
Bref, ce n’est clairement plus une partie de plaisir, et jouer furtif reste alors la seule option viable. Une fausse bonne idée cette liberté ? Non, au contraire, c’est plutôt bien pensé de la part d’Ubisoft : laisser le joueur agir comme il veut pour au final, lui faire comprendre que la furtivité c’est cool. Et pour conforter le joueur dans cette optique, Sam possède maintenant un argument de choix : le couteau. Et je vois les yeux des psychopathes en puissance qui se mettent à briller, plein de larmes.
Sam est désormais en mesure de prendre ses ennemis par surprise non plus avec le pistolet, mais le couteau et c’est déjà plus classe. On peut aussi faire sauter les serrures quand on n’a pas envie de s’embêter à les crocheter, on peut percer des générateurs électriques, faire des entailles dans les câbles, bref, le couteau, c’est la vie !
De son coté, l’IA ennemie est un peu moins idiote. Désormais, elle est plus méfiante, et ira même confirmer ses doutes en allant vous chercher. Sam n’est plus totalement invisible dans le noir et c’est un vrai plaisir de jouer au chat et à la souris avec de vrais adversaires.
Les missions sont bien ficelées avec des objectifs secondaires pour les plus téméraires, un scénario un poil plus inspiré que les deux volets précédents, on sent qu’Ubi Montréal possède plus de talent qu’Ubi Shanghai

* Schwarzy + Stallone
L’orgie ne serait pas orgasmique si le mode multijoueur ne faisait pas son retour. Coup de bol, il est encore là, toujours aussi jouissif en versus.
Mais encore mieux : un mode coopératif fait son apparition. Et là sous les lunettes de vision nocturne vertes, le plaisir. A deux, on n’arrête pas de dire que tout est mieux. Dans un Splinter Cell, en effet

Mais non vous n’êtes pas des Sam Fisher, et il faut souvent se mettre à deux pour faire des actions que Sam fait tout seul comme un grand. Cela ajoute à la difficulté, car l’IA est aussi cruelle qu’en mode solo. Un micro est largement recommandé pour pouvoir coordonner les actions et il faut noter aussi que les missions coopératives sont indépendantes de la campagne de Chaos Theory. Une nouveauté qui fait plaisir et qui apporte un réel plus à l’expérience Splinter Cell. Sachez cependant que vous devez vraiment coopérer
et j’insiste sur ce point. Vous séparer de votre équipier, c’est diviser par 10 vos chances de survie.
Un petit hic tout de même : la difficulté parfois de se connecter à un autre joueur, à cause d’un portail assez moisi (qui n’existe plus à ce jour je crois
).

* Moteur ? ACTION !
L’UE 2 est une nouvelle fois mis à contribution, mais recodé depuis zéro par rapport à Pandora Tomorrow. Le résultat est bluffant (et encore aujourd’hui, il reste une référence), le détail des visages et des textures est pour le moins frappant.
Coté son, rien à redire, à part souligner l’excellent travail d’un maître de la musique électronique : Amon Tobin. La BO est d’ailleurs sortie en disque laser (ha ça fait mal de dire ça :ane : ) et je vous dis juste : savourez

Jesper Kyd, un autre compositeur de musique de jeux vidéo s’est quant à lui occupé des musiques additionnelles et on ne sent pas la différence de style tellement c’est bien fait.
Rien à redire non plus sur le netcode, propre et sans bavure, pour des parties multijoueur endiablées.

* Théorie du Chaos
Splinter Cell Chaos Theory, c’est un jeu quasi parfait. Oh bien sur il y a des défauts, quelques bugs d’IA, une réactivité aléatoire. En revanche, on ne peut pas critiquer sa difficulté, qui malgré le « laxisme » laissé au joueur pour finir les missions, place la barre très haute.
Ajoutez à cela un multijoueur fun et un mode coopératif qu’on attendait depuis Pandora Tomorrow et vous obtenez meilleur Splinter Cell depuis le premier. En ces jours où l’infiltration se fait rare sur PC, c’est le moment de vous le procurer ou de dépoussiérer vos boites !

http://img196.imageshack.us/img196/2420/15445495.png[/img][img]http://img21.imageshack.us/img21/5169/approuved.png
Edité le 01/10/2009 à 20:21