Alors là, moi je pige plus rien… :heink: Dans la continuité de ce qu’on disait, ma copine m’a dit : “C’est bizarre ce que t’écoutes, mais, je sais pas pourquoi, j’aime bien…” Quand je vais vous dire ce qui passait, vous allez pas en revenir. Un des groupes les plus barrés que je connaisse :
Meshuggah
Et pas n’importe quel album : “Nothing”
Je rappelle que ma cop’ n’est pas du tout métal à l’origine. Suis sul’ cul :heink:
ouai mais moi les ramsteins c’est pas un groupe de nazi je l’ai tout le temps ca me gonfle
sinon ma cop peut pas éviter le métal puisque des qu’elle monte dans ma caisse elle a le droit a du rammstein (j’essaie de la voncertir avec un peu de succes ) ou autre groupe de métal … par contre les trucs genre tristania, epica, after forever , avrigius, theater of tragedy ou lacuna coil elle aime bien ( a ce qui parait ca fait une bonne petite ambiance pour les fins de soirée a deux [:-zztop-] )
meme genre que les autres nom cités précédement( métal atmo je pense) .j’ai qu’une chanson Dark angel ascension donc je peux pas t’en dire plus mais si tu veux un extrait => MP
Issu de la scène doom Australienne , Avrigus délivre un doom atmosphérique épique, enrichi d’ambiances médiévales et mélancoliques. La voix de la chanteuse rappelle celle de Kari Rueslatten, du groupe norvégien “The 3rd And The Mortal” à ses débuts… (également chanteuse dans Storm pour ceux pour qui ce nom évoque plus de choses).
Après un MCD “The Final Wish” sorti sur Warhead Records en 1998 (difficilement trouvable du à une distribution inadéquate) qui n’a peut-être pas eu la reconnaissance qu’il méritait dans la scène du doom atmosphérique, Avrigus sort en 2001 “The Secret Kingdom” sur le label Hammerheart plus accessible, et se fait doucement remarquer en émergeant d’une scène doom méconnue mais néanmoins excellente qu’est celle de l’Australie.
Je vous recommande chaudement l’EP de Meshuggah : “I”. [:faim]
Un seul titre de 21 minutes. Apocalyptique, sombre, violent, immense.
Rien à dire de plus.
Ah si, à ce qu’il parait c’est la direction musicale qui a été prise pour le nouvel album (pas encore sorti) “Catch 33”. J’espère pas au niveau de la longueur des titres sinon va pas y en avoir beaucoup
Ca promet :miam:
EDIT : La chronique de “Catch 33” du site Obskure :
[i]>> Style >> Experimental Harmful Choatic Metal
Meshuggah nous avait prévenu danticiper Catch 33 par lécoute du e.p « I ». Un comme un seul titre monolithique. Et les suédois de pousser lexpérience au plus loin, plus quaucun autre auparavant, « Catch 33 » comme terrain dexpériences, terreau de souffrances et de tortures soniques. Lexpression épileptique est dune violence cérébrale rare, absorbe lattention de lauditeur pour mieux lui exploser le cortex. Demblée dix minutes radicales reparties en six titres indissociables, riffs évoluant en permanence, si Meshuggah arrête de se mouvoir dans les rythmiques méandreuses dont il détient la clé il meurt.
Si les Mesh cherchent sciemment à nous faire suffoquer, ils savent également que le trop est lennemi du bon : la folie semble sapaiser le temps de lincursion dune voie robotique (« Minds Mirror »), mirage avant le retour de lenfer métallique, la batterie prend le relais pour guider lensemble (« Shed »). Les cordes de guitares et basse, plus nombreuses que dans aucun autre groupe, souffrent le martyr et vomissent leur venin, se tordent sous les soubresauts desprits torturés, bien trop précis. Les incantations coreuses ne sont que ponctuelles, lampleur est suffisamment dure à supporter. Et dentendre des sons clairs, rédemption jazzy pour les pêcheurs depuis bien longtemps condamnés à longer le Styx (« Sum »).
Le tourment causé est trop grand pour être jamais pardonné : Meshuggah inflige une raclée légendaire à la musique, « Catch 33 » indélébile comme une marque au fer rouge. [/i]
Quant au fait que ce soit chiant, bah c’est une question de gouts. Toutes façons Meshuggah, c’est pas évident à écouter, c’est quand même bien barré comme zique. Mais j’adore…