Quel est votre dernier film au CINEMA

:lol:

Les indestructibles il y a un siècle… euh… presque :nexath

Trop cher pour les daubes qui passent
Surtout les cht’is, juste bon à regarder à la télé, tant de bruit pour un film banal

bah je voulais aller le voir, et puis j’ai lu un article assez cinglant dans courrier international (la couverture est sur les “françaises”), qui m’a retiré toute envie ! du coup je m’abstiendrai :neutre:

Bin chui pas trop ciné moi

National Treasure (le premier) avec Nicolas Cage…

avec moi ils vont faire faillite :lol:

L’Oeil du mal

on a accroché, des situations improbables, flippantes, de l’action, un peu de suspense etc … il divertit bien :super:

D’un autre côté, si on commence comme cela, la critique de courrier international est valable pour 100% des films… Les pays, régions que l’on voit dans les films sont la vision du réalisateur, scénariste (et de sa culture) et non un cliché ultra réaliste et impartial du pays qu’il décrit genre par exemple “Lost in translation” qui a été très critiqué sur sa vision de la société japonaise alors que ce n’était ni plus ni moins que la vision du scénariste. Idem pour les livres d’Amélie Nothomb qui ne sont pas le Japon tel quel mais le japon tel qu’elle l’a ressenti.
Après, si les gens prennent cela pour argent comptant, on n’y peux rien. :neutre:

je viens de voir qu’ils vont sortir Underworld 3

www.allocine.fr…

Je viens d’aller le voir et ce film m’a vraiment touché :oui:

Certes, l’histoire est un peu longue (pour autant je n’ai pas trouvé le film long ^^), le film est parfois un peu trop mélodramatique (mais bon, ça fait du bien un coup de temps en temps :)) mais c’est là les seuls défauts que je lui trouve.

Autant les personnages m’agaçaient un peu dans la bande-annonce, autant je les ai trouvés nettement plus agréable dans le film :oui: (bon, je suis pas un très grand fan de Kidman en général mais elle colle bien au rôle)
La BO est plutôt jolie quoi que parfois un peu trop envahissante (au fait Lord, tu connais le nom de la chanson qu’on entend un peu tout le film avec Somewhere Over the Rainbow ? Je crois qu’elle fait aussi partie de la bo de Into the Wild mais je suis pas sûr)
Et puis, finalement, les superbes paysages australiens (mais bon, je suis pas vraiment neutre sur le coup ^^)

Par contre, alors que j’ai vu beaucoup de monde écrire que la 1ere partie était trop longue, c’est finalement celle que j’ai préféré. Entre la découverte de l’Australie par l’aristocrate, les déplacements des chevaux ou des vaches (la partie où le troupeau s’emballe m’a aussi bien scotché qu’un film d’action ^^), j’ai vraiment aimé.

En bref, un super film selon moi :super:


Ah, en fait la musique que je cherchais me faisais penser à Guaranteed de Into the Wild, mais je suis pas sûr que ce soit la même :/

je vous ai recopié le fameux article sur Australia. Extrait de The Guardian, Londres.

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« Australia, un film nommé désastre.
Avec ses stars et son gros budget, le dernier opus de Braz Luhrmann ne fait pas l’unanimité. Car derrière le vernis de la superproduction se cache une vision très caricaturale de la société australienne .

The Guardian, Londres.

Quand Australia, le film de Braz Luhrmann est sorti sur les écrans australiens en novembre, il a trouvé une championne aussi inattendue qu’’omniprésente en la personne de Marcia Langton, professeur d’études aborigènes à l’université de Melbourne. Elle ne tarissait pas d’éloges sur ce « fabuleux film hyperbolique » dans le quotidien local The Age.
Baz Luhrmann a « donné aux Australiens un nouveau passé, un mythe, celui de l’origine nationale, à la fois dérangeant, exaltant, poignant, cocasse et touchant’ », roucoulait-elle. Par définition, les mythes ne sont pas conformes à la réalité. Marcia Langton connaît la vérité, mais elle lui préfère un fantasme trompeur et frauduleux, sans doute parce que celui-ci vise à promouvoir l’actuelle politique gouvernementale de réconciliation, dont elle est l’un des plus ardents défenseurs. La réconciliation est le processus dans lequel les australiens de tous bords pardonnent et oublient les infamies du passé pour devenir une nation heureuse.
Le fallacieux film à grand spectacle de Luhrmann, dont l’action se déroule en 1939, montre les Aborigènes comme un peuple participant étroitement au développement de ce « pays chanceux » ? Malheureusement pour tous ceux qui voient dans la réconciliation le bon filon, le réalisateur ne croit pas à sa propre invention., et cela saute aux yeux. Marcia Langton a aussi félicité Luhrmann pour sa présentation de Darwin, ville multiraciale débordant de vitalité. C’est comme si on pouvait voir à travers le prisme du cinéaste que les Aborigènes recevaient un salaire équivalant à un huitième de ce que toucheraient les Blancs pour un travail comparable ou que les autorités administraient un véritable système d’apartheid.de 1913 à 1938, tous les soirs, les Aborigènes de Darwin étaient tenus de quitter les lieux où ils travaillaient comme ouvriers et domestiques et de rentrer à Kahlin Compound, un complexe de cabanes de tôle sans fenêtres situé à plus de 3 kilomètres de la ville.

Australia a coûté aux studios Fox environ 90 millions de dollars (62 millions d’euros), moins une astronomique ristourne fiscale. Les 40 millions de dollars restants ont été apportés par le Conseil australien pour le tourisme et l’exportation.
Aussi décevant que soit le film, en ce qu’’il ne fouille aucun des rôles d’Aborigènes et qu’’il ne donne à aucun de ces personnages une existence propre, le traitement réservé au grand-père non métissé de Nullah, le jeune métis au cœur du film, est pire encore.
De ce grand-père, on ne connaît que le surnom méprisant donné par les blancs : king george (roi george). La société noire n’a ni monarque ni chef. L’homme blanc a surnommé « roi » un noir âgé et lui a donné une plaque de bronze sur laquelle était gravé le faux titre. King George n’avait droit ni à son propre nom, ni à la moindre personnalité. Au lieu de quoi, on nous le montre doté de pouvoirs surhumains.

King George n’a rien de mieux à faire que de traîner, exécutant de petits rituels et chantant, ne vivant évidemment que d’eau fraîche.
Les Australiens se sont précipités en masse pour voir le film lors de sa sortie, mais le bouche-à-oreille a été mauvais. « Il n’y a qu’’une seule explication rationelle à l’existence d’Australia, l’obèse film à grand spectacle de Baz Luhrmann, qui a pour décor l’arrière-pays », écrit avec désespoir Luke Buckmaster dans le magazine spécialisé Film Australia. « C’est une plaisanterie raffinée. Une ruse. Une farce. Un gag
Un quelconque ivrogne taré a mis le réalisateur au défi de battre des records au box-office en réalisant le film australien le plus incroyablement mauvais de tous les temps. »
Il faut du courage pour se faire ainsi arnaquer. Compte tenu de l’énorme investissement de fonds publics dans le film, le vouer aux gémonies reviendrait à provoquer une panique bancaire.
Outre de l’argent, beaucoup d’espoirs ont été placés dans l’histoire de l’enfant volé pour qu’’il serve de scénario à la réconciliation. Le jeune métis fait le lien entre ses deux héritages, le noir et le blanc., et il les aime autant l’un que l’autre. La façon dont il pourra réconcilier ces irréconciliables va au-delà de la portée d’un film, quel qu’’il soit.

Brandon Walters, le garçon de 12 ans qui interprète Nullah, représente le meilleur atout d’Australia. La production ne fournit guère d’informations sur le jeune acteur, mais il viendrait de la commune aborigène de Bidyadanga, sur la côte septentrionale de l’Australie Occidentale.
Selon le dernier recensement, la population de Bidyadanga appartient à 5 groupes linguistiques différents. On y trouve 70 maisons pour 800 habitants, aux prises avec les habituels problèmes des communautés aborigènes, notamment des taux élevés de maladies rénales et cardiaques chroniques, ainsi que le diabète et une faible résistance aux infections due à des carences alimentaires. Si la famille Walters rentre à Bidyadanga, elle devra partager sa richesse avec ses voisins moins chanceux. Prions pour que Brandon Walters échappe au sort d’autre stars aborigènes. Gulpilil, qui fut la vedette du film Walkabout quand il n’était pas beaucoup plus âgé que Walters, a aujourd’hui 55 ans. Il a une dizaine de films à son actif, mais il vit dans une cabane de tôle à Ramingining, dans un village du territoire nord.
Pour son rôle dans Crocodile Dundee, le film australien le plus rentable de tous les temps, il a reçu 10 000 dollars. Des années durant, il a été en proie à l’alcoolisme et à la dépression, et il a fait de la prison. »

Germaine Greer.
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Merci :jap:

Mais bon, si l’article parle d’un film orienté, il l’est encore plus :confused:
(je précise que je rale contre l’article ^^)

On a vu le même film ? Parce que moi je n’ai vu que des aborigènes qui servaient des blancs :confused:

Ouais, enfin, c’est ce qu’on appelle des seconds rôles :neutre:

Juste comme quelqu’un qui connait sa terre et qui n’a pas les mêmes repères que les blancs :neutre:

Enfin, Gulpilil, pour avoir vu un reportage sur lui est parfaitement heureux dans sa cabane et c’est son choix de vie. Il a également fait une tournée spectacle en Australie où il racontre l’histoire de son peuple et la sienne. Pour son alcoolisme je n’étais pas au courant.
On est loin de l’espèce de loque humaine que la journaliste essaye de décrire.

Dans cet article j’ai l’impression de voir une vieille anglaise qui n’accepte pas que le rôle de son pays dans la colonisation de l’Australie soit montré ainsi et qui essaye de casser à tout prix le film. Il n’y a qu’à voir le vocabulaire employé :confused:

Et pour être resté deux mois en Australie (du côté de Perth, côte ouest), la reconciliation des aborigènes et des “immigrés” est plus une facade politique qu’une réalité. A Perth, les seuls sans-abris que j’ai pu voir étaient des aborigènes ; ils sont totalement exclus par le reste de la population, un copain en famille d’accueil me racontait que la maitresse de maison l’avait prévenu de changer de rame si des aborigènes montait dans le train. On voit également très peu d’aborigènes intégrés.
C’est bien là la seule chose qui m’avait déplu en Australie. Comment une population si tolérante avec tous les immigrés (africains, asiatiques, …) peut-elle se montrer aussi dure avec la population qui était là avant elle ? :confused:

Haggy, ils vont sortir un autre film avec des vampires mais avec des enfants cette fois


j'ai pas accès du taf :grrr: mais j'ai vu qq extrait, et il n'a pas pas l'air d'être un film drôle

Titre : Morse
Edité le 13/01/2009 à 23:10

Madagascar 2 avec la petite, tout pourri, pas rigolo pour un sou, enfin… elle a bien aimé. >_<

Normal tu devais crever de chaud en armure au cinéma :confused:

C’est trop rigolo :o

ho punaise l’année prochaine Fast & Furious 4 avec le retour de Vin Diesel, Paul Walker et Michelle Rodriguez

www.allocine.fr…
Edité le 13/01/2009 à 23:53

Ça marchera pas vu que la licence des NFS tunés est morte :o

quoi ?

Ah oui désolé ChrysPie. Je parlais d’un jeu-vidéo de voitures, ici Need For Speed (NFS), qui ces dernières années était tourné vers le tuning suite à la sortie du tout premier Fast & Furious. Sauf que suite aux ventes médiocres du dernier opus, EA (la boîte de distribution) a décidé de fermer le studio de développement du jeu Need For Speed.
Et vu que la série est provisoirement arrêtée je faisais de l’humour en disant que si le jeu est mort le film le sera aussi vu que je trouve qu’ils sont très liés.

J’espère avoir été clair :ane:

C’est une fille cherche pas , elle comprendra dans 5 jours

Largo Winch avec Tomer Sisley

Je n’ai jamais lu la BD mais regardé quelques episodes de la serie.
Ma fois c’est un bon films d’action qui se laisse regarder. Surtout que j’aime assez l’actrice Kristin Scott Thomas.