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Dans la ferveur et l?exaltation du début de la guerre, Demachy, encore étudiant, répond à l?appel sous les drapeaux. Il rencontre Sulphart, Bréval, Bouffioux et les autres, autrefois ouvrier, boulanger, cuisinier, désormais unis sous le nom de soldat.
Ensemble, ils vont rire, ensemble ils vont se battre, ensemble ils vont perdre espoir, noyés sous une tempête de feu, d?acier et d?absurdité. Dans la brume des tranchées défigurées par les canons, les soldats font face à la cruauté de la vie quotidienne, l?attente du courrier qui déchire les coeurs, la terreur des mines cachées, les camarades qui tombent. Tandis que fleurissent les croix de bois sur les tombeaux à ciel ouvert, Demachy finit par perdre ses idéaux.
Les acteurs ont connus les tranchées, ça ne pouvait qu’être réaliste.
On voit les personnages mourir les uns après les autres pour des bouts de terre. les aspects de la vie des poilus et parfaitement bien faite et pour cause!
Les décors sont les vrais tranchées…durant les tournages ils ont côtoyé les obus non explosés et les cadavres qui remontaient à la surface 14 ans après!
Une vrais photographie de l’époque!!!
Le film a été restauré en 2014…
10/10 sur l?Espérance!
Edité le 19/06/2016 à 21:07
En gros, des Russes dans un char traversent l’Afghanistan dans tous les sens suite à la perte de leur carte ( la guerre de 79/88 ) avec toutes les horreurs que cela comportent de part et d’autres.
Je te dis tout de suite… c’est pas Rambo 3, c’est beaucoup plus fin que ça.
Étonnamment, c’est un film américain de K. Reynolds sans partie pris, y’a pas les bons Afghans et les vilains Russes, juste des soldats qui ne savent pourquoi ils se battent… enfin, si mais c’est beaucoup plus psychologique que le bien et le mal.
Edité le 20/06/2016 à 19:36
1945, détroit de Sambalang. Un officier japonais qui avait tenté de rejoindre les Alliés est retenu prisonnier sur une petite île. Six hommes sont envoyés pour le retrouver le plus rapidement possible…
La spéciale unité Z a vraiment existé pendant la WWII et elle s’est illustrée.
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Que s’est-il réellement passé au milieu du lac de Quetico ? Que fait un vampire quand il a mal aux dents ? Voulez-vous vraiment rencontrer le Bogeyman ? Toutes les réponses et bien d’autres dans cette sélection de 17 courts métrages en cgi, horrifiques, drôles, ou poétiques, venus des quatre coins du monde…
Des cours métrages animations, horrifique, fantastique et parfois bien marrant.
[i]Rockwell “Rock” Torrey est un commandant de l’US Navy qui a sacrifié sa vie familiale à sa vie militaire et a divorcé 18 ans plus tôt en laissant à son ex-épouse son fils Jeremiah âgé de 4 ans. Il commande le croiseur Old Swayback qui est en mer lors de l’attaque de Pearl Harbor. Il est mis à pied pour ne pas avoir respecté le règlement qui demandait de faire des zigzags (afin d’économiser son mazout qui baissait) et de ce fait avoir été torpillé par un sous-marin japonais.
Blessé dans le torpillage (bras cassé), il fait connaissance de l’infirmière Maggie Haines pendant sa convalescence.
La marine finit par reconnaître le bien-fondé de sa démarche et le nomme contre-amiral et lui confie une première opération difficile contre les japonais. Il rencontre son fils qu’il n’a pas vu depuis 18 ans et qui lui réserve un accueil glacial. Celui-ci est arriviste et affecté sur une vedette lance-torpilles uniquement pour progresser rapidement et être affecté à un poste d’état-major avec l’aide de l’influence de sa mère. Par son exemple, et non par des discours, il réussira à le remettre dans le droit chemin et même à se sacrifier.
Paul Eddington est le commandant en second de Rock Torrey. Trompé par sa femme tuée en galante compagnie pendant l’attaque de Pearl Harbour, il sombre dans l’alcool, mais Rock Torrey le prend comme son chef d’état-major.[/i]
Un grand moment de cinéma avec une ribambelle de bons acteurs dont John Wayne qui est dans son élément, Kirk Douglas qui vient de fêter ses 99 ans et ici dans un rôle assez grave.
Un film militariste , sentimental avec les retrouvaille d’un père et de son fils, les sacrifices ultimes, la morale et l’honneur.
de 2H30 de film, quelques longueurs mais dans l’ensemble bien fait et je me suis régalé de revoir ces grands bonshommes!
Dans une Amérique rongée par une criminalité débridée et des prisons surpeuplées, le gouvernement a donné son accord pour qu?une fois par an, pendant 12 heures, toutes activités criminelles, meurtres inclus, soient légalisées. La police ne peut intervenir. Les hôpitaux suspendent leurs services. Une nuit durant, les citoyens sont à même de définir leurs propres règles et de faire leur propre loi, sans avoir à craindre de sanctions. Au cours d?une telle nuit hantée par la violence et le crime, une famille va devoir faire un choix ? bourreau ou victime ? ? face à un inconnu venu frapper à sa porte.
Dire que ça partait d’une assez bonne idée…:neutre:
Ca tourne vite au grand guignol et aux clichés.
Les dialogues sont excellents: “Maman que se passe t’il ?” “Papa?” " Maman?" " Ma chérie!" " Ou est ta soeur? Pourquoi?.."
Pffff!! On souhaite presque que cette famille de crétins se fasse zigouiller!
On a droit à des comptines sensée rajouter de l’horreur, avec des rires diaboliques et des masques.
Le scénario est bourrée d’incohérences, les personnages se comportent de façon débiles, on sous entends d’interdire les flingues mais de les utiliser quand c’est nécessaire… :neutre:
Bref mal ficelé malgré des acteurs célèbres qui ont du bien se faire chier à tourner ça!
J’ai vu hier soir le spectacle de Jeff Panacloc.
Si vous ne l’avez pas vu, je vous le conseille fortement. C’est vraiment une tuerie.
J’ai pleuré de rire du début à la fin. :MDR
Sur la route des vacances, David Bower, sa future épouse Rosemary et sa fille Judy sont surpris par un violent orage, qui les contraint à s’arrêter sur le bord de la route. Ils trouvent refuge dans une maison aux murs décrépits où vit un couple de vieillards, collectionneurs de poupées. Pendant la nuit, les hôtes dévoilent leur vraie nature et entreprennent de châtier ceux de leurs invités qui ont perdu leur âme d’enfant…
Sortie en 87 et vue au ciné à cette époque.
J’en avait gardé un bon souvenir et c’est encore le cas.
Stuart Gordon avait depuis les re animator su cultiver l’horreur et le fantastique. Ici le scénario est convenu et les dialogues un peu insipides mais on se prends au jeu de ce conte avec des poupées diaboliques.
C’est bien imaginé et gothique à souhait…les FX un peu dépassés mais le film a 30 ans!
En 2176, la Terre a fait de Mars une colonie minière où 640 000 personnes tentent de vivre dans un environnement hostile.
A Chryse, la capitale de la vallée sud, le lieutenant Melanie Ballard et son équipe reçoivent l’ordre de transférer James “Desolation” Williams, un criminel de la pire espèce, à la Cour de justice. Ils débarquent alors dans la ville abandonnée de Shining Canyon. Seuls Desolation et une poigné de détenus, enfermés dans leur cellule, semblent être les rescapés d’une terrible catastrophe. Des cadavres mutilés jonchent les couloirs de la prison.
Au même moment, au fond du cratère de la mine à ciel ouvert, un étrange rituel se déroule. Des milliers de guerriers en transe s’adonnent à des rites barbares et sanglants. Le Bien va s’allier au Mal pour combattre le Pire.
De John Carpenter qui est un Maître dans le Fantastique et l?épouvante suffit de regarder ses réalisations.
Là on a un mélange horreur/sf.
Des personnages machos, un univers mélangeant Mad Max et le death métal pour les fringues des méchants, les Fx ne sont pas terribles mais bien gore et l’histoire est tout en flash back.
pour ma part j’ai vu une fois et se sera la seule!
Par contre la zique est d’ENFER!!!
6/10 sur les fantômes façon Cladle of Filth et Immortal!!!
Edité le 26/06/2016 à 22:45
serieux, vous en etiez vraiment fan, je trouvais les films ennuyeux, ouiii on voyait quelques fessiers avec un peu de chance, mais ca avait tout du vulgaire stereotype des trucs pour camionneur :o
Et dans 50 ans on en parlera dans les écoles de cinéma… scénario indigent, running gag (pets, baffes dans la gueule avec bruitage qui va bien et gamelle de fayots à la tomate), jeu d’acteur atypique (c’est clair lui et son compère n’ont pas fait l’Actor Studio).
Mais dans le genre Western Spaghetti, ils ont laissé leur marque.
Je leur ai même filé des sous en allant voir au cinéma : Salut l’ami, Adieu le trésor…
Une histoire de navigateur solitaire sponsorisé par une marque de confiture (d’ailleurs, il a que ça à bouffer sur son bateau) et qui s’échoue sur une île déserte avec un jap. oublié depuis la dernière guerre (histoire vraie) et des narco-marxistes à la Castro… tout simplement culte.
Je souligne au passage que l’on se souvient toujours de Terence Hill et Bud Spencer mais jamais des réalisateurs de leurs films, c’est comme Laurel et Hardy, c’est débile mais en couleur.
Edité le 28/06/2016 à 19:42
Trinita et Bambino sont deux demi-frères aux physiques et caractères diamétralement opposés. L’un est longiligne et séducteur, l’autre massif et bougon. Ensemble, ils repoussent les assauts de bandits mexicains qui souhaitent attaquer une colonie de mormons.
parodie du western Spaghetti…ça cogne, ça tire, c’est poilant, couillon…bref un bon moment!
10/10 sur un duo qui marche bien!
Edité le 28/06/2016 à 21:50
Deux flics à miami et leurs westerns c’était super drôle, moi ado j’adorais quand ils foutaient des baffes aux méchants pour sauver la veuve et l’orphelin.
C’était très naïf ces histoires finalement, et j’aimais bien pour la simplicité et l’efficacité Surement qu’aujourd’hui je trouvais pas tout aussi fun (encore que trinita à mon avis c’est indémodable).
