Purée c’est quasi la même introduction qu’il y a 15ans et la croisade de famille de france contre les jeux de roles sur table.
Alors niveau imagination, les jeux de roles apporte beaucoup, même si le contexte est figé (WWII, fantasy tolkienne, contemporain,…)
A différent niveau, les jeux vidéo peuvent être considéré comme une drogue, et je suis le premier drogué :ane:
Mais aussi, le joggueur qui le soir ne peut plus rien faire si il n’a pas passé 1H à courir autour de chez lui, ou bien le fou de maquette en allumette… Mais aussi la chatteuse folle de msn… Bref nous sommes tous des drogués à différent niveau dans chaque activité…
La vie actuelle, boulot, metro dodo, nous oblige à trouver des compensateurs à notre formatage social (religion pour certain, foot pour d’autres, et jeux vidéo pour les derniers).
Le problème est la diabolisation d’activité que d’autre ne comprennent pas. Les jeux vidéo sont pour moi foncièrement laic, vu que l’on peut prendre tout et n’importe quoi comme religion… le soucis, c’est que cela gène les religions officielle. d’ou l’envoi d’association bien comme il faut du style Famille de france pour lancer la croisade.
Regarder le reprotage, et peut être que vous aurez la chance d’avoir une interview d’un membre de cette gentille association
Faire abstraction d’un JV c’était une image (où est donc passée ton imagination :ane:). Mais par exemple, tu peux parfaitement ré-imaginer un scénario qui correspond plus à ce que tu es en train de faire à l’écran que celui qui t’es proposé par défaut.
Un JV peut donner des émotions. Seulement, il y a des gens plus sensibles que d’autres à ce genre de média. Tu ne fais pas partie de ceux là apparemment, c’est ton choix. Mais rien ne te permet d’affirmer que le Jeu vidéo ne sollicite pas l’imaginaire, donc au final, tu vas tourner autour du sujet sans me prouver que j’ai tort (et réciproquement).
Edité le 01/10/2009 à 16:21
Moi j’ai un rant sur un thème un peu décalé, mais pas forcément HS.
En quoi une passion, un hobby, pratiqué comme tel (et pas juste de manière occasionnelle) devrait-il obligatoirement être créatif/constructif pour être “valable” ?
Le culturisme, c’est du hobby de top niveau, peut-être ? Pourquoi on tape pas sur les gens qui bronzent à la plage ? Ils foutent rien après tout !
Pourquoi un mec qui aime jouer serait-il “juste un grand gamin” ou un évasionniste ? Pourquoi obligatoirement, considère-t-on qu’il a un problème ?
Pourquoi relègue-t-on sans les considérer les aspects positifs des jeux au second plan (avec un exemple flag signé vashfole) ?
Si vous avez une réponse constructive à me fournir, merci d’avance.
[quote="Compte supprimé"]
J'connais pas les jeux que tu cites :o
Et fais pas ton craneur avec tes références :na:
[/quote]
C'est bien le problème principal : tu critiques un ensemble à partir d'un échantillon limité.
Edité le 01/10/2009 à 16:47
Pourtant, c’est très pertinent ce qu’il a dit…suffit juste de lire et de comprendre ce qu’il a dit. :neutre:
(et tu vois mes références…ben ça prouve juste que je suis allé plus loin dans le jeu vidéo que toi et que je peux affirmer que tu te trompes en disant que le jeu vidéo ne fait pas appel aux émotions et à l’imagination)
moi je trouve que si, ça fait travailler l’imaginaire… c’est une base pour imaginer encore plus… ne serait-ce que chercher des solutions pour évoluer dans ton jeu…
la créativité lorsque tu as des éditeurs de cartes/niveaux/monstres/aventures…
un jeu de rôle sur ordi ou sur table, c’est tout un monde imaginé pour toi, et toi tu dois évoluer à l’intérieur, le continuer, t’y adapter… Imaginer ton personnage :neutre: et des moyens de contrer les méchants (en général)…
On avait clos le débat sur pourquoi le jeu vidéo n’est pas une drogue. Et monsieur Vashfole essayait de dire que jeu vidéo et créativité n’allaient pas de paire…
Donc HS total en effet :jap:
Cela dit, je n’essayais pas de prouver que j’ai la plus grosse loin de là, je défendais le fait que le jeu vidéo est une activité créative au même titre qu’un tableau, une sculpture, un film, un livre etc…