Bonjour,
Je vous raconte quelque chose qui mest arrivé car en temps quinformaticiens vous avez tous le droit de savoir. Vous et moi sommes amenés à manipuler des logiciels développer par différents constructeur.
Je disposais dune licence Windows XP Pro SP2 perso. Tous les 6 mois, je refais une installation propre sur deux PC. Comme vous le savez probablement tous, Windows requiert une activation sous 14 ou 30 jours.
Pas plus tard quhier, je réorganisais mon disque dur en modifiant mon partitionnement. A cet effet, jai réinstallé XP Pro. Au moment de lactivation, jobtiens un écran inhabituel « Vous avez atteint le nombre dactivations autorisées. Veuillez contacter
à ce numéro de téléphone pour plus dinformations » (un message du genre). Au téléphone, on ma informé que si je voulais activer Windows, il fallait que je machète une autre licence.
Pour moi, daprès de ce que jai pu entendre dire, lactivation permettait de vérifier lauthenticité (copie originale) dun système pour être que ce ne soit pas pirate et quon nutilise pas la licence sur plus dun certain nombre de machines.
Cette expérience me laisse un peu amer. Je ne vois pas lintérêt de vendre un produit si cest se retrouver au bout de 5 validations bloqué. Bref, vendre un produit pour quon ne puisse plus linstaller je trouve que cest du vol. Je suis un petit peu sur limpression « Microsoft = boite à fric ».
La licence (clé) est tout à fait légale, et quand je lai eue cétait avec le cd original et la clé navait jamais été utilisée. La bonne nouvelle dans tout ça, cest que javais ce XP Pro SP2 à titre gracieux donc ce nest pas non plus comme si javais dépensé beaucoup dargent, mais la même chose me serait arrivée
De plus, je ne fais pas du tout confiance aux versions pirates.
Comme je lai dit au début, le but de ce message est dinformer. Il est probablement intéressant de sinterroger sur la moralité de vendre (!!) un logiciel quon ne peut déverrouiller quun nombre de fois limité. Utilisation limitée
Voilà un message qui laisse à réfléchir. Conclusion : Microsoft, cest mal !
J’avais déjà entendu des personnes me raconter cette histoire. Cette fois c’est du vécu. Je ne suis pas le seul à qui ça arive, hélas !
Bertrand