calcul simple : 40 post et 4 réponses > 10%… pas mal pas mal :paf:
Surtout que c’est Chuck :neutre:
Bah c’est à dire que pour glander sur cluclu et a fortiori sur EAPC, il ne faut pas nécessairement avoir trouvé la réponse à la sempiternelle, existancielle et multi-millénaire question “pourquoi vivons nous?”.
Et puis bon, Gertrude ne doit pas avoir tout compris non plus à la vie pour espérer résoudre la plus compliquée des questions philosophiques sur un forum de geek majoritairement agés de moins de 25 ans.
:ane:²
me suis permis :paf: bonne nuit, elle porte conseil 
Faut pas abusé non plus :neutre:
Un ptit coup d’oeil à ma signature ? :ane:
Et 17% des posts sont à toi, bon bref :o
En fait je n’aime pas vraiment cette question “pourquoi vivre”. Comme l’a dit typoo, on ne choisit pas de naître, donc on vit parce qu’on nous a donné naissance. Et tant qu’on n’a pas de grosse raison d’arrêter de vivre, bah on continue.
Ou alors ta question est “pour quoi vivre”, légère nuance. :o
En fait je ne pense pas qu’on ait besoin de but. On peut mener sa vie pour combler ses désirs, pour se sentir utile, pour défendre une cause…
Mais perso je vis un peu au jour le jour, sans trop me préoccuper de ce qui m’arrivera plus tard, en faisant quand même en sorte de m’apporter quelques moments de joie, de m’épanouir. Et en essayant de respecter une règle de vie simple (mais que trop de gens oublient à mon goût), qui est de ne pas faire aux autres ce que je n’aimerais pas qu’on me fasse.
En-dehors de ça, je n’ai pas réellement de but. Et puisque tu parles de suicide, non je ne compte pas me suicider puisque je crois en la réincarnation, donc bon autant profiter de cette vie-là :ane:
un mec comme bliblix qui m’a répondu ce qu’il a répondu au début du sujet, c’est un crétin fini pour moi, c’est tout, même pas conscient du mal que peut faire son humour
quant au reste, faut se rendre à l’évidence même si c’est exagéré :neutre:
j’ai pas parlé de Chuck… je réglais un compte avec un abruti qui m’a blessée
Pourquoi je vis ?
Aucune idée. C’est papa et maman qui ont fait mumuse et qui m’ont engendré, sans doute pour faire perdurer la famille.
Pourquoi vivre ?
Ben tu prends ton ame, tu la mets dans de la chair, et tu est parti pour 80 ans de plaisir éphèmère, de déceptions inoubliables, de pleins de chôses et d’autres dont jamais tu te souviendras, puisqu’au bout du compte tu finiras par mourir.
Alors pourquoi est on la ?
Pour faire avancer les choses ?
Pour se distinguer ?
Certains d’entre nous deviennent des grands hommes qui font évoluer l’homme … d’autres trouvent des moyens de briser les codes de la morale et de la société, d’autres font taire jusqu’à leur coeur dans un acte désespéré …
On se fixe un but qu’on cherche à atteindre après avoir fait mine de réfléchir, en se convaincant qu’il faut l’accomplir à tout prix.
Alors on ne sait plus quoi penser.
Et c’est peut être mieux.
Tu est sur terre pour faire quelque chôse du corps, de l’esprit et des possibilités qu’on t’a offert, qui découlent dans ton attitude par rapport à autrui, au travail.
Le truc c’est de ne pas penser qu’on vit, mais de vivre pleinement chaque instant, consommé comme un instant à “usage unique” et essayer de faire perdurer cela, malgré le bonheur / malheur qui peut en découler.
On vit pour jouer notre rôle, mais est ce que nous sommes indispensables ?
Pourquoi moi je vis alors que lui, qui était peut être plus talentueux / exploitable que moi est mort ?
La vie n’a pas de but.
On t’impose à la naissance un environnement : la société.
On t’apprend des valeurs.
On te dis que cette société est régie par la justice, même qu’il y a des hommes qui l’appliquent partout.
On t’apprend qu’il y a de l’argent qui coule, et qu’il va falloir faire son possible pour travailler et vivre sereinement.
Puis on ton corps t’apprends d’autres choses. Qu’il aime bien les êtres de chair rebondis et doux, souriants, démoniaques de l’enfer infayrnal.
Puis t’est partagé entre ton apprentissage et ton attirance.
Puis tu te décides à te stabiliser, car tes amis (qu’on t’a appris à avoir) on fait de même.
Tu vis pour toi, entouré de règles. pour vivre une expérience dont toute ta vie tu te souviendras, mais plus après.
Pourquoi on vit ?
J’en sais rien. A vrai dire je m’en fous.
La question serait plutot : pourquoi meurs-t-on ?
-
Rien n’indique qu’il répondait à toi, d’ailleurs vu son post à mon avis il répondait à Gertrude (qui parle beaucoup de suicide dans son post)
Puis son post “Voilà une corde mon ami” c’est une citation du Donjon de Naheulbeuk, donc à but purement humoristique. -
Règle ce problème par MP avec lui si tu veux :neutre: Le sujet c’est pas bliblix…
Pour que la vie continue ! :paf:
Edit : Tout se qui “nait” “meurt”, loi universel
Ce qui veut dire que même l’univers va … ?
[:woohoo]
[:shy]
hé ben il t’en faut peu :sarcastic:
Bah dans ce cas pourquoi on vit si c’est pour mourir ?
Pourquoi on a pas tous été immortels des le départ ?
Parcequ’on risquait de vivre avec des troglodytes :paf:
Donc dans ce cas l’évolution aurait pas forcemment eue lieue.
Mouais.
Bon bah rien en fait :paf:
Cay pas d’ma faute ! :neutre:
Je “subis” comme tout le monde !
Sinon peut être que la vie (conscience ?) va au dela de la chair… ? :neutre:
Mon c*l dieu cay moi :o
Pan je te foudroie et j’envoie chuck répandre tes entrailles au travers du Texas
Cordialement
Erf…
J’ai manqué d’humilité sur ce coup…
chuck est notre dieu à tous !
Glooooria !
edit : [:paysan]
Ca expliquerait bien ce merdier monumentale n’empêche…
reedit : Si ca se trouve on est juste les bactéries d’un caca cosmique… :pfff:
T’es pas encore mort toi?
Dois-je douter de mes pouvoirs?
Tel est la volonté de Chuck :jap:
Sinon, l’auteur du topic s’appelle vraiment Gertrude ? Parce que ça c’est une bonne raison d’arrêter de vivre.
ça me rappelle la chanson de Lynda Lemay : Alphonse
Sinon, la réponse à la question du topic a été traitée au début des années 1980 par Pierre Desproges le jour où il reçut Robert Charlebois dans le tribunal des flagrants délires : en voici un extrait, ça recoupe "mon testament" du même auteur :
"Je vais mourir ces jours-ci. Il y a des signes qui ne trompent pas :
1°) Quand je fais ça, j’ai mal ici, voir figure 1, et quand j’appuie là, ça m’élance d’ici à là, ouille, figure 2.
2°) Le docteur est venu hier. En m’auscultant, il a dit : « Oulalalala ! mon pauv’vieux. »
3°) J’ai mon jupiter dans le poisson.
4°) Ma femme chante plus fort dans la cuisine.
Sur le plan purement clinique, le signe irréfutable de ma fin prochaine m’est apparu hier à table : je n’ai pas envie de mon verre de vin. Rien qu’à la vue de la liqueur rouge sombre aux reflets métalliques, mon coeur s’est soulevé. C’était pourtant un grand Saint-Emilion, un Château-Figeac 1971, c’est-à-dire l’une des plus importantes créa tions du génie humain depuis l’invention du cinéma par les frères Lumière en 1895. J’ai soulevé mon verre, j’ai pointé le nez dedans, et j’ai fait : « Beurk ». Pire, comme j’avais grand soif, je me suis servi un verre d’eau. Il s’agit de ce liquide transparent qui sort des robinets et dont on se sert pour se laver. Je n’en avais encore jamais vu dans un verre. On se demande ce qu’ils mettent dedans : ça sent l’oxygène et l’hydrogène. Mais enfin, bon, j’en ai bu. C’est donc la fin.
C’est horrible : partir comme ça, sans avoir vécu la Troisième Guerre mondiale avec ma chère femme et mes chers enfants courant nus sous les bombes. Mourir sans savoir,qui va gagner : Poulidor ou Hinaut ? Saint-Etienne ou Sochaux ?
[b]Mourir sans avoir jamais rien compris à la finalité de l’homme. Mourir avec au coeur l’immense question restée sans réponse : Si Dieu existe, pourquoi les deux tiers des enfants du monde sont-ils affamés? Pour quoi la terre est-elle en permanence à feu et à sang ? Pourquoi vivons-nous avec au ven tre la peur incessante de l’holocauste atomi que suprême ? Pourquoi mon magnétoscope est-il en panne? Je ne sais pas ce qu’il a, quand on appuie sur « lecture », ça marche. Mais, au bout de dix secondes, « clic », ça se relève tout seul ! Alors, bon, j’appuie sur le bouton « retour rapide ». La bande se recule au début. Je rappuie sur « lecture ». Et là, ça marche ! .
Pourquoi, pourquoi, pourquoi ? Oui som mes-nous? Où allons-nous ? D’où venons- nous? Quand est-ce qu’on mange? Seul Woody Allen, qui cache pudiquement sous des. dehors comiques un réel tempérament de rigolo, a su répondre à ces angoissantes questions de la condition humaine; et sa réponse est négative : « Non seulement Dieu n’existe pas, mais essayez de trouver un plombier pendant le week-end. »[/b]
J’en vois d’ici qui sourient. C’est qu’ils ne savent pas reconnaître l’authentique déses pérance qui se cache sous les pirouettes verbales. vous connaissez de vraies bonnes raisons de rire, vous ? vous ne voyez donc pas ce qui se passe autour de vous? Si encore la plus petite lueur d’espoir nous était offerte ! Mais non : c’est chaque fois la même chose : j’app.uie sur le bouton « lec ture », ça marche. Mais, au bout de dix secondes, « clic », ça se relève tout seul! Alors, bon, j’appuie sur le bouton « retour rapide ». Ça se recale au début. Je rappuie sur « lecture ». Et là, ça marche ! Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ?
Comme le disait si judicieusement mon amie Eva l’autre jour, alors que nous ten tions de travailler ensemble : « Si ça se relève chaque fois que tu appuies sur le bouton, on n’est pas sortis de l’auberge. »
Avant de mourir, je voudrais remercier tout particulièrement la municipalité de Pantin, où je suis né, place Jean-Baptiste- Vaquette-de-Gribeauval. Et, comme je suis né gratuitement, je préviens aimablement les corbeaux noirs en casquette de chez Roblot et d’ailleurs que je tiens à mourir également sans verser un kopeck. Écoutez- moi bien, vampires nécrophages de France : abattre des chênes pour en faire des boîtes, guillotiner les fleurs pour en faire des cou ronnes, faire semblant d’être triste avec des tronches de faux-cul, bousculer le chagrin des autres en leur exhibant des catalogues cadavériques, gagner sa vie sur la mort de son prochain, c’est un des métiers les moins touchés -par le chômage dans notre beau pays.
Mais moi, je vous préviens, croque-morts de France : mon cadavre sera piégé. Le premier qui me touche, je lui saute à la gueule."