Mais pourquoi donc "vivre" ? - philosophie time

horrible FQ :pfff:

public nan ? [:shy]

+1 [:eveden]

Merci, merci :o

ah c’est une histoire de moelle, encore plus grave que ce que ces 2 intenses minutes de rencontre m’ont offertes :jap:

Raisonnement imparable :paf:

Un forum constitué à 95% de geek, ne posséde plus le label public :o

je sais plus quoi dire :neutre:

Moi je vis pour être premier à au moins un Benchmark sur Clu² :jap:

Troll sent [:shy]

:non:

98% [:shy]

ben ne dis rien, continue dans la voie qui est la tienne :jap:

Moi je ne suis pas geek [:eveden]

[:shy]

Clubic est un repère de geek, tu es sur clubic… donc ? :o

Je ne poste pas assez :whistle:

Cet argument est réfutable :o Une personne qui met la config de son PC dans sa signature ne peut etre pris au sérieux :o

D’ailleurs je dois la mettre à jour :miam:

Un homme averti en vaut deux, et avec Internet, beaucoup plus :o

encore faut-il qu’il soit averti :smiley:
pas sûr que la population des bacs à sable soit très mature :whistle:

1 : L’homme peut bien avoir des fonctions sociales mais l’existence n’est pas une fonction. Se reproduire n’est pas une finalité quoi que… mais j’y reviendrai.

2 : Le bonheur est une finalité en soi. On peut débattre de sa définition mais c’est un absolu, un peut comme une valeur morale. Je pense que le bonheur pour certaines personnes c’est tous les jours et pour d’autres c’est jamais, mais pour beaucoup ce sont des moments ponctuels plus que du quotidien et que l’on se bat et que l’on avance pour s’offrir ces moments.

3 : Je crois que l’espoir est quelque chose de profondément ancré dans chaque être humain et que la possibilité du bonheur, la façon dont on imagine demain, etc, font de l’Homme un être résolument optimiste et nous donnent une raison d’avancer.
(Un exemple à la con que je donne parfois sur le topic ordi portables à propos des extensions de garanties: quand il y a 1 chance sur 4 que le portables tombe en panne, les forummeurs pensent toujours qu’ils seront dans les 3/4 qui n’auront pas de problèmes. Par contre, 1 chance sur xxxx de gagner au loto, tout le monde joue et pense avoir une chance).

4 : On ne choisit pas de vivre ou de ne pas exister. On nait puis ensuite on peut faire le choix d’arrêter de vivre. C’est évident mais souvent, face à une sitation les gens pensent avoir le chois entre 2 options et à force de ne pas se décider, il finisse par emprunter une voie sans l’avoir vraiment choisi. Je pense que la vie, tant qu’on a pas décidé de se suicider, on continue à vivre même si certains se demandent pourquoi. Ainsi, le nombre de personnes qui songe au suicide ou à une autre vie mais continue à vivre et à vivre leur vie parce qu’ils ne prennent pas la résolution de changer de cap.

5 : Le sens de l’existence est une question quasi-exclusivement humaine donc raisonnée. Or, L’homme est aussi un animal, la vie est un reflexe biologique, un truc largement inconscient. Les réflexes, l’adrénaline, etc sont autant de manifestations non-raisonnées qui nous sauvent et donc nous font continuer à vivre. Il existe de bons tarvaus scientifiques là-dessus. pour ma part, je me rappelle d’avoir lu quelque chose sur ça dans un bon bouquin mais qui ne traite pas spécifiquement de cette question : l’amour est une drogue douce… en général (Michel Reynaud).

6 : A la dimension biologique s’ajoute des raisons sociales comme tu le dis. En particulier, je songe beaucoup ces temps-ci à la question du désir de reconnaissance qui est un moteur extraordinaire dans le conditionnement des actes de chacun.

7 : Vivre pour le bonheur c’est une chose mais on peut aussi avoir pour sens à sa vie quelque chose de moins idyllique et de plus motivé par le sens que l’on donne à vie par rapport à un but social. Par exemple, un policier qui n’a pas de famille et qui est obsédé par la lutte contre les criminels qui pourrissent le monde. Ce n’est pas seulement de l’altruisme, c’est aussi un phénomène de “haine”. Son opposition à certains agissements est un but en soi et sa principale motivation dans la vie. On peut avoir pour principale raison de vivre un sentiment d’utilité sociale en luttant contre quelque chose ou en voulant apporter quelque chose à la société.

8 : Je n’ose même pas parler de la religion.

Voilà, ce qui me passe par la tête en voyant le titre de ce topic. C’est sans argument et sans exemple parce que j’ai la flemme d’écrire un bouquin maintenant. C’est de la petite philosophie du lundi soir mais ça peut donner des pistes. :neutre:

je vous ferai remarquer que vous n’aidez pas beaucoup Gertrude qui se pose des questions existentielles , alors que là vous nous faites une dissertation sur ki ka la plus grosse entre chuck norris ou le geek de base :o