Humour noir

effectivement, très fraiche :smiley:

:fou: :stuck_out_tongue: :lol:

Qu’est-ce qu’il y a de plus dangereux qu’un pitbull malade du sida?

  • Le gars qui lui a refilé

Ce sont deux frères au soir de Noël. Le premier enfant a une montagne de cadeaux alors que le deuxième n’a qu’un seul jouet. Le premier dit a son frère d’un air moqueur :

“T’es pas dégoûté que j’aie autant de cadeaux et que toi tu en aies qu’un seul ??” le deuxième lui répond

“Moi je m’en fous j’ai pas le cancer !”

Un petit handicapé, un enfant de la Thalidomide avec ses petites mains collées à son torse qui va a la piscine avec sa classe. Quand le maître-nageur demande à la classe qui sait nager le petit répond :
" Moi monsieur, moi monsieur … "
" Mais non mon petit ne dis pas de bêtises "
" Si si monsieur "
Et le petit saute a l’eau pour prouver ses dires. Une fois dans l’eau il arrive à nager et se débrouille même plutôt bien. De retour sur le bord, le maître-nageur lui demande :
" C’est bien petit, mais où t’as appris à nager ?"
" C’est mon papa, toutes les semaines il m’amène à la mer et me jette dans l’eau , il faut que je revienne à la nage"
“Et c’est pas trop dur ? "
" Non, le plus ch*ant c’est d’arriver à sortir du sac plastique …”

Elles sont probablement connues, mais spa grave [:phil512]

Il Sont drole nos admins :love: :stuck_out_tongue:

:lol: :lol: :lol:

désolé, je n’ai pas pu m’en empêcher :wink:
Mettre des s où il faut, c’est un minimum :wink:

Quel animal possède 4 pattes et 2 têtes ?

Un pitbull dans un jardin d’enfants…

Ouai je sait mais j’apprend juste a écrire la, faut pas m en vouloir j’ai que 18 ans après tout j’ai encore du temps pour sa :kaola:

:wink:

Mais bon, tu fais comme bon te semble :wink: je n’ai rien à dire après tout [:______]

Encore encore !!!

koman j’adore ces blagues, c excellent !

bon je sais pas si c’est bien noir comme humour…mais elle m’a fait rire…

Un mec lit dans un magazine qu’il est possible de faire durer l’acte sexuel si on se masturbe avant.

Il décide de faire un petit essai le soir même. Problème : ou le faire ?

  • Il pense aux W-C. Non, trop fréquentés.
  • Derrière son bureau ? Non, trop risqué.
  • Dans le jardin public ? Non, trop d’enfants autour.

Et puis, en rentrant chez lui, il trouve la réponse : il va s’arrêter, se garer sur le bas côté, se glisser sur le dos sous sa bagnole (un 4x4) et faire semblant de vérifier en dessous.Il y va, baisse son froc, ferme les yeux et pense très fort à sa copine. Juste au moment crucial, il sent quelqu’un tirer sur le bas de son pantalon. Ne voulant pas perdre son rythme si près du but, il garde les yeux fermés et continue. On tire encore sur le bas du pantalon. Toujours les yeux fermés et s’activant, il crie : Qui c’est ?

  • Gendarmerie, lui répond-on. Qu’est-ce que vous faites ?
  • Je vérifie l’essieu arrière, répond-il. Je pense qu’il est foutu.
  • Bon, ok, dit le gendarme. Et puisque vous y êtes, vérifiez aussi le frein à main : Votre voiture est à 200 mètres d’ici.

quoique après reflexion si la bagnole s’était retrouvée à 200m de là et vu la position du type, il se serait fait ecraser par sa tuture
[:shinnya] et ça pour rotchitos

recherche google…
I. Humour

II. L’humour noir (PJ)

II. L’humour noir (PJ)

André Breton jette les bases de sa conception de l’humour noir en 1940 dans son Anthologie de l’humour noir (1940, publication différée par la censure jusqu’en 1943). Les auteurs ont tenté de définir l’humour noir tout en reconnaissant la difficulté; Breton le dit «borné par trop de choses, telles que la bêtise, l’ironie sceptique, la plaisanterie sans gravité…»; «l’énumération serait longue» croit-il bon d’ajouter. Encore faut-il mettre en évidence des bornes plus essentielles: le comique, l’humour et le nonsense qui sont souvent assimilés.

«D’emblée, il ne faut pas confondre humour et comique. Dans le premier, nous rions de nos propres mésaventures alors que dans le second, nous rions des mésaventures d’autrui, (Tristan Maya, «La politesse du désespoir»). C’est en effet la première distinction qu’on doit dégager : le comique et l’humour n’ont pas la même cible. Dans son Petit traîté des grandes vertus, André Comte Sponville affirme qu’il «est essentiel à l’humour d’être réflexif ou, à tout le moins, de s’englober dans le rire qu’il entraîne ou le sourire, même amer, qu’il suscite». On peut donc déjà sentir, a priori, que si humour et comique sont liés, l’humour se détache, prend son envol. Il sera donc de qualité supérieure : «l’idée du comique lui est définitivement associée, mais non de n’importe quel comique. L’intuition shakespearienne d’un rire masqué par un air triste, donc d’un rire volontaire, intelligent, supérieur en qualité, a fait son chemin. (R. Escarpit, L’humour)»

On peut aussi, et c’est là que la confusion peut apparaître confondre humour noir et une entité mal définie que l’on pourrait désigner comme «comique noir» qui, bien souvent, n’est que de l’ironie que André Comte Sponville, dans Le petit traité des grandes vertus, qualifie d’«arme - tournée presque toujours vers autrui - […] [de] rire mauvais, sarcastique, destructeur, le rire de la moquerie, […], [de] rire de la haine, [de] rire de combat». Mais, là encore, l’analyse de la cible visée apporte la réponse. On pourrait objecter que l’ironie peut-être, elle aussi réflexive mais se «retourne-t-elle contre le moi (c’est ce que l’on appelle l’autodérision), qu’elle reste extérieure et néfaste (1).

Le nonsense ne doit pas, lui non plus, être confondu avec l’humour noir. Il n’est, avant tout, pas une absence de sens : au contraire il en possède un, mais qui marche à rebours. Il allie dans un absurde qui se cache derrière un faux bon sens des éléments inconciliables comme chez Woody Allen dans des phrases telles que «Toujours obsédés par l’idée de la mort, je médite constamment. Je ne cesse de me demander s’il existe une vie ultérieure et, s’il y en a une, peut-on m’y faire la monnaie de vingt dollars?» Nous sommes ici en présence d’un cas limite entre humour noir et nonsense mais le «phénomène-Allen» va plus loin puisque certaines de ses pensées sont au carrefour du nonsense, de l’humour noir et de l’humour juif. Il n’est donc pas si facile de fixer avec exactitude des frontières strictes entre les différentes formes du «risible».

Il est maintenant utile de faire la différence entre humour et humour noir. Dans son Essai de définition de l’humour noir Tristan Maya pose que «si l’humour procède d’un sentiment, d’une sensibilité, l’humour noir procède d’une hostilité à l’égard du monde». Ici l’auteur semble voir dans le sentiment, dans la sensibilité un antidote, un répulsif à l’humour noir. Il rejoint en cela Breton qui voyait en l’humour noir «l’ennemi mortel de la sentimentalité». Si la différence entre humour et humour noir reste difficile à faire, malgré la dimension liée à la sensibilité présente exclusivement dans le premier, c’est que, pour certains dont Josef Sternberg (Les chefs d’œuvre de l’humour noir) qui affirme que «[Breton] a eu l’idée géniale et poétique d’accoupler pour la première fois les mots «humour» et «noir», idée d’autant plus inattendue qu’elle n’est peut-être pas qu’un pléonasme, car, à mon sens, l’humour est toujours assez noir», l’humour a toujours une nuance d’amertume et c’est lorsque la maladie, le désespoir et la mort entrent en lice que l’humour prend toute sa coloration «noire», funèbre et endeuillée. Dans L’humour, un état d’esprit, on trouve cette phrase théorique présentant l’humour comme un masque, un «filtre» en effet page 66 on peut lire: «L’humour fonctionne comme un filtre de l’angoisse de mort. […]. Il fait briller quelque chose d’une victoire, symbolique mais précieuse sur la mort.», mais la théorie trouve un écho dans la pratique grâce à Pierre Desproges lorsqu’il se demande: «Dois-je pousser une longue plainte déchirante pudiquement cachée sous la morsure cinglante de mon humour ravageur?» (Textes de scène), montrant ici, comme dans tous ses textes, une conscience aiguë du fonctionnement de l’humour noir.

Un humour en évolution:

Mais si l’humour est à l’honneur dans notre société, il n’est pas une création moderne et il plonge ses racines dans la plus haute Antiquité. En effet, «L’humour noir a toujours existé - bien avant son “invention” par Breton. Lorsque dans le Satyricon Eumolpe dit à ses héritiers: “je veux bien vous léguer mes biens, mais à condition que vous mangiez mes restes” - n’est-ce pas de l’humour noir?» (2), on voit bien ici que nous sommes redevables à de grands ancêtres de l’humour noir même si celui-ci a eu le temps de subir des changements radicaux au cours des siècles. Notons au passage qu’un des premiers exemples connus d’humour noir apparaît dans ce texte qui, stigmatise la décadence d’une société humaine sur laquelle l’homme porte un regard désespéré mais lucide sur lui-même.

Tristan Maya, dans un article intitulé «La politesse du désespoir», affirme: «Dans l’humour noir, la victime (celle qui est censée rire) ne veut pas laisser entamer son moi par une réaction d’autodéfense», l’humoriste accepte donc la réalité avec un pied de nez. Nous pourrions donc dire, pour résumer, que devant l’humour noir le tiers mobilise d’urgence son énergie affective en vue d’un traumatisme - dans le sens de choc émotionnel- imminent mais l’humour noir provoque un déséquilibre dans ce sens qu’il n’apporte pas la suite «logique» attendue par le tiers mais une suite différente qui provoque la décharge sous forme de rire. L’humour noir serait donc une force négative qui sépare la conscience de l’ordre établi de ce monde, force qui a souvent sa source dans l’inconscient. Il tend à rompre les habitudes et les conformismes de toutes sortes, le sérieux de la vie et de la mort. Il est révolte, défi, prise de position. Notons l’apparition de notions essentielles à la compréhension de notre sujet: «défi» et «révolte». L’humour noir détruit le sérieux que sont autrui, vie et mort mais en détruisant autrui, c’est soi-même que l’on détruit puisque l’humoriste s’attaque à ses propres travers en les révélant chez les autres. Si l’on rit grâce à l’humour noir, c’est qu’il s’attaque à nos épouvantails et à nos idoles. En effet A. Maurois, cité par P. Daninos dans Le tour du monde du rire (p. 19), présente le rire comme «un double mouvement, et c’est pourquoi il secoue les rieurs. Premier temps: quelque chose ou quelqu’un nous effraie. Deuxième temps: nous nous apercevons que l’épouvantail n’est ni si terrible, ni si respectable que nous le pensions, nous sommes rassurés. Le rire s’exerce donc contre ce que nous craignons, parfois même contre ce que nous admirons. Chaque peuple rit de ce qu’il craint et admire le plus» (3). Cet humour relativise, il joue sur et se joue de la nuance: «Vérité de l’humour: La situation est désespérée, mais pas grave.» (4)

Nous avons évoqué le rire mais il faut savoir que l’humour noir produit un «rire de qualité» qui peut même n’être qu’un simple sourire. En fait l’humour «n’est en réalité qu’une façon polie, mais froide et désespérée de dire NON.» (5) Dire «non» à la mort, ce n’est pourtant pas prétendre à l’immortalité en effet l’humoriste, par définition, n’est pas un mystique car il n’attend rien de l’au-delà et n’y fait référence que pour le tourner en ridicule comme Woody Allen lorsqu’il prétend «Je ne crois pas à l’au-delà, mais j’emporte quand même un caleçon de rechange». L’humoriste se rend en quelque sorte invulnérable à la peur inhérente à la mort en exécutant une pantomime et en la bastonnant par surprise, reprenant approximativement le schéma de la fable du Lion et du moucheron «en cent lieux» l’humoriste «harcelle» la mort mais il finira par perdre, ce qu’il a prévu, car ce combat est sans espoir mais l’humoriste préfère mourir les armes et les mots à la main et, cas limite, choisir l’heure de sa mort, partir de son plein gré comme Vaché, Crevel, Rigaud, Cravau, et Duprey (6). Donnons la parole à un comique qui a mis l’humour noir en pratique, Coluche : «Si on est touché soi-même par la mort, on a intérêt à en rire, et si on n’est pas touché, on n’a pas de raison de ne pas en rire». En conclusion, on pourrait personnifier l’humour noir en lui donnant les traits de Figaro : il se «presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer» (Beaumarchais, Le Barbier de Séville, act

en fait j’aurais du faire mourir le type dans cette histoire…autant pour moi :jap:

(en réalité je ne voulais pas créer un nouveau sujet :wink: )

Une femme d’âge mûr a une crise cardiaque,et se retrouve à l’hôpital. Sur la table d’opération, proche de la mort,elle vit une expérience. Elle voit Dieu et lui demande:
“Mon heure est-elle arrivée?”
Dieu lui répond:
“Non, il te reste 43 ans, 2 mois et 8 jours.”
À son réveil, elle décide de demeurer à l’hôpital, de se faire remonter le visage, faire une liposuccion, injecter du collagène dans les lèvres, faire refaire les seins et tout le reste.
Comme elle devait encore vivre longtemps, cela en valait la peine. Après sa dernière opération, elle sort de l’hôpital, traverse la rue, et se fait renverser par un camion.
Arrivée au ciel devant Dieu, elle lui demande :
“Il me semble que je devais vivre encore 40 ans et plus! Pourquoi ne m’avez-vous pas fait éviter la trajectoire de ce camion?”
Et Dieu répond:
“oh putain ! Je ne t’ai pas reconnue !!”

tiens, mon message a été edité, merci pour cette jolie présentation, je l’avais posté a la va-vite! [:aliceke]

Ben oui, les blagues scatologiques sont pas acceptées, mais en revanche, les blagues zoophiles le sont ! :ouch: [:austindangerpowers]
On voit et on peut conclure de suite les passions des modos… :stuck_out_tongue: (patapé, hein, c juste de l’humour !)

C’est l’histoire d’un gars qui vient de passer des examens de santé à l’hôpital. Le médecin annonce au patient qu’il est gravement malade et qu’il va mourir. Le gars demande ce qu’il peut faire pour le guérir. Le médecin lui répond : Vous n’avez qu’à faire des bains de boue.

  • Pourquoi ça va me guérir ?
  • Non,mais ça vous habitueras à la terre.

Un gars drague une blonde dans un bar. Il la raccompagne chez elle, elle l’invite à entrer et très vite ils se retrouvent au lit.

  • Je n’ai pas de préservatifs, dit le gars.
  • Ne t’inquiète pas, fait la blonde, je prends la pilule. Et puis j’ai tellement envie de toi.
    Ils font l’amour. Et quand c’est terminé, le garçon dit :
  • J’espère que tu n’as pas le sida ?
  • Bien sûr que non ! Tu peux en être certain.
  • Je préfère ça. Parce que je ne tiens pas à l’attraper une deuxième fois !

C’est un gars qui en revenant de la chasse de la jungle dit à son ami :

  • J’ai tué 10 éléphants, 11 serpents, 7 lions, 3 panthères et 9 pânou-pânou. Son ami lui demande c’est quoi ça des pânou-pânou ?

  • Je sais pas trop, il y avait dans le fond de la forêt des cries qui faisaient : “PÂNOU-PÂNOU !!!”


Un type arrive aux urgences après un accident de voiture. Quand il se réveille, le chirurgien est à son chevet et lui dit :

  • J’ai deux nouvelles à vous annoncer. Je commence par la mauvaise : j’ai du vous amputer des deux jambes.
  • Et la bonne ?
  • J’aime beaucoup vos chaussures, je vous en offre 800F.

Mac Allister et Mac Farman rentre à pied du pub un soir. Il y a du brouillard, et manque de chance, une voiture sort de la route et vient faucher le pauvre Mac Allister.
Son camarade se dirige alors vers son domicile pour annoncer la triste nouvelle à sa femme:
-Je suis bien chez madame veuve Mac Allister?
-Vous êtes chez madame Mac Allister mais pas veuve…
-COMBIEN VOUS PARIEZ???

je sais pas si elle a été sortie.

C’est 2 soldats en Irak, pendant la guerre, ils ont pas tiré un coup depuis plusieurs mois.
Un jour l’un d’eux n’en peu plus, il décide d’aller faire un tour et de partir à la recherche de femmes.
Il revient deux heures plus tard, tout content :sol:
“Alors, t’en a trouvé une?”
" ouais putain c’était trop bien :love: "
“elle était comment? blonde?brune?”
“je sais pas, y avait pas la tête”

Mich est sur le bord de la route quand il voit passer un étonnant
cortège funéraire approchant le cimetière d’à côté : un long corbillard, suivi par un autre long corbillard 50 m plus loin. Derrière ce deuxième corbillard, il y a un homme qui marche avec un pit-bull au bout de la laisse.
Derrière, 200 hommes marchent à la queue leu leu…

Mich ne résiste pas à sa curiosité : il s’approche respectueusement de l’homme qui marche avec le chien et demande :

  • Monsieur, ce n’est peut être pas le bon moment pour vous déranger, mais je n’ai jamais vu des funérailles comme ca ! Ce sont les funérailles de qui?
    L’homme repond:
  • Eh bien… le premier corbillard est pour ma femme.
  • Qu’est ce qui s’est passé ?
  • Mon chien l’a mordu et elle est morte.
  • Et… qui est dans le deuxième corbillard ?
  • Ma belle-mère. Elle était en train d’essayer d’aider ma femme quand le
    chien s’est retourné, l’a mordu, et elle est morte.
    Un moment intense et lourd de pensées se déroule, puis Mich demande:
  • Monsieur, puis-je vous emprunter votre chien ?
  • Faites la queue…

:stuck_out_tongue: