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Un gars qui vient de faire une super longue route en voiture pendant la nuit décide de s'arrêter pour dormir un peu sur le coup des 6 heures du mat', avant de continuer son chemin, encore long, quelques heures plus tard.
Il s’arrête sur un parking à l’entrée d’une grande ville, un peu à l’écart de la grande route, pour dormir un peu.
Mais son parking est en fait un lieu de passage obligé pour tous les joggers du dimanche de la ville… Et sur le coup des sept heures, il est réveillé par un “Toc Toc” à la fenêtre de la voiture. Le voyageur, tiré de son sommeil ouvre les yeux, baisse la vitre et dit:
Ouais, qu’est-ce qu’il y a?
Vous avez l’heure, demande le jogger.
Il est 7h15, répond le voyageur après un coup d’oeil sur sa montre.
Le jogger le remercie, et s’en va en courant. Le voyageur se rendort, mais pour peu de temps car des coups sur sa vitre le tirent de son sommeil:
Pardon monsieur, est-ce que vous avez l’heure
7h30!
Le deuxième jogger remercie et s’en va.
Voyant que d’autres joggers risquent par la suite de venir l’empêcher de dormir, le voyageur prend un papier, un crayon, et il écrit:
“Je ne sais pas l’heure qu’il est!” sur son papier, qu’il colle bien en évidence sur sa vitre.
Puis il se rendort.
Un quart d’heure plus tard, on tape au carreau:
Une fermière du Rwanda,
Qui était Hutu de surcroît,
Quitta sa case et sa smala
Pour le marché de Kampala.
Elle voulait honorer sa tribu
D’un beau chapon gras et dodu…
Mais elle était peu fortunée,
Et le marchand Tutsi, rusé,
Refusa de baisser le prix
Du chapon par elle choisi…
Me le donnerais-tu,
Dit la cliente Hutu,
Contre une gâterie
Sur ton beau bengali ?
A voir, dit le vendeur,
De cette gâterie quelle serait la valeur ?
Vaudrait-elle un chapon ?
Il m’en faudrait la preuve pour de bon.
Aussitôt la bougresse s’enfouit sous le boubou,
Et vite fait jaillir la sève du bambou.
J’ai gagné le chapon, s’exclame l’innocente,
La bouche encore pleine du produit de la vente.
Que nenni lui répond le volailler acerbe.
Tout comme la figure, le chapon tu as perdu,
Car comme le dit notre si beau proverbe :
La première histoire d’homme blond ! Elle a tardé mais elle en vaut
vraiment la peine.
Un Ecossais, un Mexicain et un homme blond travaillent sur un
chantier de construction, au 20e étage.
Ils mangent leur repas. L’'Ecossais s’exclame
« Encore du chou et du corned-beef !!! Si j’en ai encore demain, je me
jette en bas de l’édifice ! »
Le Mexicain ouvre sa gamelle et s’exclame à son tour « Encore
des Burritos !!!
Si j’en ai encore demain, je me jette aussi dans le vide ! »
Le blond ouvre son sac et dit : « Encore du jambon !!! Si j’ai
encore un seul autre sandwich au jambon je sauterai aussi ! »
Le lendemain, l’Ecossais ouvre sa boite à repas, voit le chou et
le corned-beef et se jette dans le vide.
Le Mexicain ouvre sa gamelle, regarde son Burrito et saute lui
aussi.
L’homme blond ouvre son sac, voit son sandwich au jambon et se
précipite dans le vide.
Le jour des funérailles, l’épouse de l’Ecossais, pleure. Elle
dit « Si j’avais su qu’il ne voulait plus voir le corned-beef et le chou je
ne lui en aurais jamais plus donné ».
L’épouse du Mexicain pleure aussi et dit : « J’aurais dû lui
donner des tacos ou des enchiladas ! Je ne me suis jamais douté qu’il
détestait autant les Burritos. »
Tout le monde se tourne alors vers la femme du blond ; celle-ci
s’exclame alors : « Ne me regardez pas comme ça ! Cet idiot faisait
lui-même ses sandwichs !!! »