[:toxicavenger] 'fallait que tu sorte une co##rie comme ça toi !
:ange:
[:toxicavenger] 'fallait que tu sorte une co##rie comme ça toi !
:ange:
Je ne comprend pas trop ton raisonnement là.
Une étoile produit des photons en continu et dans toutes les directions donc a partir du moment où on voit une étoile la nuit, on la verra en continu jusqu’à son exctinction (sens large).
Je pense qu’il s’agit plutot d’une question d’intensité de “lumière” qui nous parvient plutot que de nombre d’étoile.
De plus les étoiles qu’on ne voit pas sont a plus de 15 milliards d’année lumière de la terre donc question intensité ca doit pas etre terrible.
Je crois qu’il y a un problème de compréhension.
Je suis en train d’expliquer que la civilisation moderne et son mode de réflexion découle directement des visions des philosophes grecs (l’histoire des atomes) et de leur perception du monde.
Evidemment, nous avons évolué, mais il n’en demeure pas moins que les réflexes sont là…
Quand je parle de philosophie, je ne parle pas de divagations littéraires chez Pivot, je parle de quelque chose de profond qui tend à penser le monde à sa source.
Ce ce qui vient avant la mise en équation: dis à quelqu’un que le point matériel n’existe pas…comment mettre en équation alors ?
tu as des philosophes en exemple? stp
Descartes
D’Alembert
Et il y a un paquet de mathématiciens aussi je crois
cf liens donnés par haggarth … je ne peux pas mieux expliquer.
là-dessus on est d’accord …
Moi je considere juste le probleme Actuel du scientifique. Observation => question => raisonnement => theorie => Observation => validation … en gros …
Aristote, Descartes… [:kamaga]
http://elbereth.obspm.fr/~charnoz/grav2.html
Mais des philosophes récents, je ne peux pas t’en citer… et il est là le problème: les bases sont fixées, mais sont-elles justes pour autant ?
C’est là que j’attends une ®évolution…
Oui, je suis d’accord… mais tout mon laïus [:rik08] consiste à dire qu’il peut exister une étape au-dessus que nombre de gens ne sont pas prêts à faire.
Imagine la révolution conceptuelle de la relativité dans un monde dominé par la mécanique Newtonienne… et dans la foulée la mécanique quantique et son florilège de résultats qui dépassent le sens commun.
Ca a du être terrible pour certains.
C’est peut-etre justement ça la difference entre notre epoque et celles des grand Philosophes.
A leur epoques ce sont eux qui posaient les bases de la reflexion … meme scientifique.
Or si ®évolution il doit y avoir sur la comprehension de notre Monde elle viendra plus certainement de la science … en arrivant à outre-passer des theorie comme celle d’Enstein… en arrivant à unifier les 4 grandes forces dans une seule loi, Elaborer des nouveaux modeles de relfexion etc…
ça l’est toujours
dans bien des domaines, on en arrive à faire table rase des acquis pour repartir sur des fondement “originaux” difficile à concevoir 10 ans plu tot.
un exemple: l’aDN et son “pouvoir” sur le vivant. Jusqu’a present on etait persuade que 1 gene = 1 “action”
Or on decouvre qu’il n’en est rien … de là partent moultes modeles de pensés pouvant modéliser l’action de l’aDN sur le vivant: reseaux, “programmes informatiques” etc…
:oui: Relativite Restriente => Relativite Generale
le grand defis de ce millenaire etant de “faire tomber” cette theorie justement
Exact cela arrive dans plein de domaine
Par exemple, en géologie, la découverte de la tectonique des plaques dans les années 70 à remis en cause les fondements meme de la géodynamique interne et mis a la poubelle une grande partie des travaux antérieurs qui etait basé sur une notion d’immobilisme.
Quel ego !
Oui, je suis d’accord, on retrouve par développement limité dans le cadre d’une vitesse faible la mécanique Newtonienne.
Par contre pour l’histoire de la mécanique quantique qui englobe la mécanique Newtonienne…
Bon, c’est sûr que si la fonction d’onde de densité de probabilité de présence se résume à “1” (donc cas du point matériel), qu’il n’y a plus de cou*lles avec les commutateur opérateurs-observables… ok…
D’ailleurs, c’est pas très compliqué, puisque la mise en forme de la mécanique quantique dépend des équations d’Hamilton (qu’on retrouve en mécanique classique) mais avec des fonctions statistiques.
[:adminofplaygroup]
Il y a beaucoup de trous aussi entre les étoiles.
Dans un bouquin j’avais vu la probabilité d’impact d’un objet travesant la Voie Lactée de part en part à “l’horizontale” (d’une tranche à l’autre en passant par le centre) contre un objet massif (trou noir/naine/étoile/planète/comète/astéroïde) de notre galaxie.
Je n’ai plus cette valeur, mais le nombre de 0 entre la virgule et le premier chiffre significatif du pourcentage était assez impressionnant.
oui mais par definition une etoile “rayonne” dans toutes les directions. Donc mis à part si un objet se trouve sur la trajectoire entre elle et nous (et encore ça pourrai avoir un effet de lentille gravitationnelle) rien n’empeche qu’elle nous parvienne.
C’est vrai aussi.
Il y a également la matière sombre qui absorbe les rayonnements (poussières/gaz stellaires/objets non lumineux…)
Bon, histoire de venir m’insérer dans ce topic qui permet de se reposer le cerveau entre deux lignes d’equations ( ), je voudrais commenter deux choses :
1 / Sur l’obscurité de l’univers, il ne me semble pas que le fait soit “expliqué” actuellement de façon bien arrêtée, on en est à des théories. En plus il y a pleins de facteurs qui entrent en jeu. Un mathématicien dont j’ai oublié le nom a montré que, si l’univers était peuplé avec une densité d’étoiles répartie uniformément, nous baignerions dans une luminosité bien supérieure à celle produite par le soleil, et ceci en tenant compte de l’expension de l’univers et tout le pataques. Par contre si au lieu de prendre un modèle uniforme pour la densité de l’univers en étoiles on prend un modèle fractal, alors on retombe sur l’eclairement que l’on connait actuellement.
2 / Concernant la philosophie et les sciences, depuis toujours les grandes théories ont été élaborées avec l’aide des philosophes, et ca existe encore fort heureusement.
3 / Concernant le langage et la science actuelle, on se heurte en efet à une barriere. Le langage actuel que nous utilisons repose sur une perception de la physique bien antérieure aux connaissances actuelles, et souvent très cartésienne. Ainsi, et pour reprendre le premier post de ce topic, quand on parle de passé ou de futur de l’univers, les notions de futur et de passé ne tiennent pas compte d’un déroulement temporel non linéaire qui dépend de l’univers lui même (je ne sais aps si je suis bien clair là-dessus). Un exemple par exemple. Lorsqu’on pose la question du big bang, le lagage et le cerveau humain se posent naturellement la question de l’instant t=0 car ils reposent sur une échelle linéaire de temps. Or cette échelle ne correspond pas à la description de l’expension de l’univers, une échelle logarithique est bien plus appropriée. Et il est tres difficile pour un néophyte (ou même pour un erudit) de se représenter en tete une ehcelle de temps logarithmique car elle ne correspond pas à notre ‘formatage’ de lagage et de pensée. Et à ce propos je suis sur (en tout cas j’ai de vagues traces de mes cours de philo de terminale) que la conception d’un déroulement du temps non cartésien est une théorie qui est venue d’abord des philosophes avant d’être utilisée avec succès par les scientifiques.
note que parmi tout ce qu’ils ont écrit il y a peu de choses qui ne ressemblent pas à un sketch
[:jeanguy:3]
A deux, on va les avoir …
:whistle: