Ces taxes sont prélevées par l’Etat qui assure une « logistique ». Elle ne sont pas utilisées pour le fonctionnement de l’Etatproprement dit : elles sont intégralement redistribuées. Si on ne va pas au ciné, qu’on n’achète pas de DVD/BR, qu’on ne s’abonne pas à un service de télévision et qu’on n’utilise pas d’opérateurs de télécom, on n’y contribue pas.
Ce sont des commissions indépendantes de l’Etat qui assurent la répartition des subventions au sein du CNC.
Ces taxes sont décidées et imposées par l’Etat. C’est donc un financement public.
ChatGPT : Les taxes finançant l’audiovisuel public en France sont-elles un financement public ?
Oui, les taxes finançant l’audiovisuel public en France sont bien un financement public.
Voici pourquoi :
1. Nature de la taxe
Historiquement, l’audiovisuel public était principalement financé par la contribution à l’audiovisuel public (CAP), souvent appelée « redevance télé ».
C’était un impôt affecté : un prélèvement obligatoire, perçu par l’État, et directement destiné au financement de l’audiovisuel public (France Télévisions, Radio France, Arte, etc.).
En tant que taxe perçue par l’administration fiscale, il s’agit bien d’un financement public, puisque l’argent vient de la collectivité nationale via l’État.
2. Depuis 2022
La redevance a été supprimée en 2022, mais elle a été remplacée par un financement via le budget général de l’État, donc à travers l’impôt sur le revenu, la TVA, etc.
Ce financement reste public, simplement la source a changé (budget général au lieu de taxe dédiée).
Conclusion :
Peu importe que le financement passe par une taxe spécifique ou par le budget général : dans les deux cas, l’audiovisuel public est financé par de l’argent public, c’est-à-dire par les contribuables via l’État.
La différence, c’est que par exemple si l’État décide de supprimer le CNC, ça ne fera aucune économie pour l’État, pas un seul centime de dette en moins, pas un seul centime que l’État pourra utiliser pour autre chose de plus « utile » aux yeux de la droite…
Alors que pour un truc réellement financé par l’État et pas par une taxe affectée, là les vases communicant jouent, diminuer le financement d’un poste fait des économies qui peuvent être affectées à d’autres postes, à la réduction de l’endettement, etc…
laisse tombé, certain aime bien différencier taxes et impôts.
c’est pratique, les politiciens peuvent promettent de pas augmenter les impôts
mais bon c’est comme ceux qui veulent séparer charge patronale et charge salariale. La vérité c’est que c’est du salaire net en moins, le patron raisonne en « super brut » hein, les charges ils les paient toutes à la fin du mois, peu importe le nom…
ChatGPT : Le financement du Centre national du cinéma et de l’image animée en France est-il un financement public ?
Oui, le financement du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) en France est un financement public, mais avec une spécificité importante : il est majoritairement financé par des taxes affectées, et non directement par le budget général de l’État.
Détail du financement du CNC
1. Des ressources publiques
Le CNC est un établissement public administratif placé sous la tutelle du ministère de la Culture. Son financement repose principalement sur des prélèvements obligatoires, ce qui en fait un financement public au sens large.
2. Des taxes affectées (prélèvements spécifiques)
Les principales ressources du CNC proviennent de trois taxes dites « para-fiscales » :
Taxe sur les services de télévision (TST) : prélevée sur les chaînes de télévision.
Taxe sur les entrées en salle de cinéma : payée par les exploitants de salles.
Taxe sur les éditeurs de services de vidéo à la demande (SVOD, etc.) : comme Netflix, Amazon Prime, etc.
Ces taxes ne passent pas par le budget général mais sont directement affectées au CNC. Elles sont donc publiques, car perçues par l’État ou pour le compte de l’État, mais elles fonctionnent sur un modèle de redistribution sectorielle.
Conclusion
Oui, le financement du CNC est bien un financement public, car il repose sur des taxes obligatoires décidées par la puissance publique, même s’il est autonome par rapport au budget général.
Ce modèle permet de garantir une certaine stabilité et indépendance financière pour soutenir la création audiovisuelle et cinématographique française.
Voilà le point important. Supprimer le financement du CNC ne libère aucune ressource pour d’autres postes budgétaires de l’État, et le financement du CNC n’a aucun impact sur le budget de l’État ou sur la dette.
1000% d’accord. Les charges qu’elles soient salariales ou patronales, c’est de l’argent en moins à la fin du mois qu’on te prend. Ce n’est qu’une question de communication et de travail sur l’acceptabilité de l’impôt en faisant croire aux salariés que pour la part patronale, c’est le « vilain » patron qui paie.
Lorsque tu es freelance, tu comprends d’ailleurs bien mieux ce principe car quelque soit l’intitulé de l’impôt ou de la taxe, c’est de l’argent qu’on te prend.
Il a un impact sur le pouvoir d’achat des ménages et sur le taux de prélèvement car ces taxes sont bel et bien des prélèvements décidés par l’Etat.
Si demain par exemple, l’Etat taxe tout plein de choses pour flécher l’argent directement à un organisme type Sécurité Sociale (sur le même modèle que le CNC) pour financer la Santé, ces taxes vont demeurer un financement public. Ce n’est pas parce que l’Etat n’est pas intermédiaire de collecte que ça change quoique ce soit.
C’est comique ce genre d’arguments quand à côté on soutien les salaires complètement indécents de certains dirigeants et les dividendes gargantuesques des actionnaires.
Parce que bien sûr c’est bien connu que tout ça n’a pas d’impact sur le pouvoir d’achat des ménages hein
La fortune des milliardaires français a augmenté de 236 milliards en un an et demi (2020-2021), mais le problème pour le pouvoir d’achat des ménages c’est le CNC qui a coûté même pas 1% de cette somme sur la même période
Et bien sûr, ça focalise sur ça parce que c’est l’un des chevaux de bataille promu par les médias financés par les milliardaires Bolloré, Stérin et cie…
Ce n’est pas le sujet et de gré évitons les hors sujet comme le fait d’envier ceux qui entreprennent, investissent et réussissent dans notre pays. Le sujet ici est simple : c’est bien un financement public et un service public et de facto, il doit être soumis comme tout service public à une stricte neutralité.
Je répondais sur le CNC, pas sur l’audiovisuel public (financé sur une part de la TVA, de mémoire).
Vous êtes tellement à bout d’arguments que vous prenez Chat GPT comme source ?
Non, sur des sujets politiques ou scientifiques, la « stricte neutralité » n’a aucun sens, ça renforce les positions complètement délirantes. La stricte neutralité, c’est ce qui conduit par exemple dans d’autres contrés à accorder autant de poids aux créationnistes qu’aux évolutionnistes…
La règle est un traitement équitable, en tenant compte dans le cas des sujets politiques du poids des différentes formation lors des échéances électorales récentes (sauf avant les élections, où il y a justement une période d’égalité stricte), et c’est très bien comme ça.
Les médias privés aussi sont tous financés par tous les français monsieur.
On appelle ça la pub et chacun d’entre nous la finance en faisant ses courses.
Faut vraiment avoir un niveau de compréhension faible pour ne pas se rendre compte de cette évidence.
La neutralité n’existe pas, mais l’équilibre est possible. Ce que les médias de service public arrivent à faire, mais que les médias du groupe Bolloré n’arrivent pas à faire. Et là, pas besoin d’IA pour analyser cela en temps réel (vous avez des obsessions qui font peur).
Si ce n’est pas le sujet, pourquoi l’avoir brandi comme argument ?
Ce n’est pas @Matts32 qui a foutu les charges patronales sur la table comme une massue pour la faire voler en éclats !
On s’en fout de la neutralité des chaines privées. Elles sont financées uniquement par ceux qui les regardent et non par un financement public contraint de tous. Je doute qu’il y ait beaucoup de personnes de gauche qui regardent CNEWS ou de personnes de droite qui sont abonnées à Libération.
Si un média devient idéologique, soit. Mais qu’il soit tout simplement financé de façon volontaire par ceux qui adhérent à cette idéologie.
Quant au temps de parole, ça ne veut rien dire. Si tu veux un équilibre par exemple, il faut également veiller à la stricte pluralité des commentateurs et également du traitement général des sujets.
Tiens, c’est cadeau (et factuel) :
Citation Si la présidente de France Télévisions n’a elle-même jamais été encartée, ni même été un soutien public de tel ou tel candidat, l’engagement de son entourage est clair. Son directeur de cabinet, Stéphane Sitbon-Gomez , était conseiller de Cécile Duflot au ministère du Logement ; son assistante, Catherine Bessis , est conseillère municipale d’opposition dans le XVe arrondissement de Paris et se présente sur son compte Twitter comme « Militante - PS » ; son conseiller en communication « bénévole » Denis Pingaud est un visiteur du soir de François Hollande et proche de Michel Field, nommé successivement patron de France 5 puis directeur de l’information en décembre ; sa sœur, Marie-Christine Lemardeley , est adjointe à la Maire de Paris ; et de manière plus ancienne toutefois, Germain Dagognet , transfuge de TF1, fut à la fin des années quatre-vingt chargé de com du cabinet de Lionel Jospin.
C’est vrai pour les chaînes payantes (et encore, même pas forcément entièrement, puisque même quand c’est payant y a parfois de la pub).
Pour les gratuites, c’est financé par tous ceux qui consomment des produits pour lesquels il y a de la pub sur ces chaînes. Ou des produits d’une des entreprise du milliardaire qui bouche les trous dans le budget. Quand je vais faire mes courses chez Carrefour, je participe au financement de TF1, M6, Cnews… Et ça aussi ça a un impact sur mon pouvoir d’achat tiens…
Non les chaines privées ne sont pas financées QUE par ceux qui les regardent.
La valeur de la pub qui y est diffusée est déterminée par le nombre de ceux qui les regardent.
Mais la coût de cette pub, l’argent qui est donné à une chaine pour y diffuser cette pub, c’est bel et bien chaque français qui le paye, peu importe si il regarde ou non ces chaines privées (et donc cette pub), via l’achat de produits de consommation.