Sans un clavier fonctionnel cet appareil n’est qu’une mini-console qui fait tourner quelques jeux Amiga… Il n’a d’Amiga que le nom et la forme.
1 « J'aime »
effectivement sans un clavier fonctionnel on n’est plus sur la machine d’origine : juste bon à faire tourner les jeux, et pas tous encore…
Nombre de jeux nécessitent de booter depuis des disquettes. En gros, avec WHDLoad on met le contenu des disquettes dans un gros fichier sur le disque dur pour lancer les jeux directement. L’idée est, ici, d’uploader l’image directement dans la machine.
Quant au kickstart, la machine devrait être livrée avec la ROM AROS (à moins qu’ils aient les licences de Cloanto). Si on peut uploader des kickstart 1, 2 et 3 c’est géant !
Sans un clavier fonctionnel cet appareil n’est qu’une mini-console qui fait tourner quelques jeux Amiga… Il n’a d’Amiga que le nom et la forme.
Je suis d’accord, car l’Amiga était un ordinateur, pas une simple console. Et même sur les jeux, beaucoup de jeux Amiga font usage du clavier, y compris parfois des jeux d’arcades. Cela s’explique par le fait que les joysticks utilisés sur l’Amiga n’avaient qu’un seul bouton. Les claviers virtuels, personnellement je ne suis pas du tout fan. Quand à brancher un clavier de PC c’est quand même un pis aller, car un clavier PC n’est pas un clavier d’Amiga.
D’un autre côté, l’appareil n’est pas trop cher et on peut imaginer que l’intégration d’un vrai clavier aurait fait grimper les prix. Cela dit, un véritable Amiga 500 d’occasion se trouve pour 150€, voir moins. En investissant un peu plus (ou en cherchant la bonne occaz) on aura de surcroît les accessoires d’origine (joystick, moniteur, etc).
Pour moi, l’intérêt dans un appareil physique, c’est de se rapprocher beaucoup plus de l’expérience originale qu’un simple émulateur. Mais encore faut t’il que le niveau de détail soit suffisamment poussé pour cela.
Par exemple, le Joypad montré sur la photo est à mon humble opinion hors contexte, car ce type d’interface viens de l’univers console japonaise. Sur Amiga, comme sur la plupart des ordinateurs personnels de l’époque, on utilisait plutôt des joysticks dont le standard dérivait de celle de la vénérable 2600 d’Atari. IMHO, ce n’est pas un simple détail car le ressenti est quand même sensiblement différent.
Pour finir, le petit détail sympa, c’est la vénérable « souris tank » bien anguleuse. Mais c’est paradoxalement aussi un détail que certains n’apprécieront peut être pas sur le plan ergonomique. Les Amiga les plus récents étaient d’ailleurs livré avec une souris plus ronde et plus agréable.
1 « J'aime »
Ne parle pas de musique sur un sujet Amiga, malheureux, on va voir débarquer des Ataristes furieux.
Et d’ailleurs, on les enverra paître comme au bon vieux temps. Parce qu’objectivement, l’Amiga a aussi eu un rôle important en la matière. Plus important même si on considère la musique dans l’univers informatique.
L’Atari ST était muni de prises Midi en standard, ce qui lui avait assuré un bon support logiciel MAO. C’était la plateforme de choix pour piloter des synthés. Donc des petits studio professionnels.
De l’autre coté, l’Amiga possédait un circuit sonore interne sans commune mesure avec celui des Atari ST. Cela assurait à l’Amiga une large supériorité sur la musique dans les jeux vidéo et la composition « sans synthé ajouté ». Avec toute la scène de la musique sur logiciels « soundtrackers » qui en a découlé. C’était la plateforme de choix des artistes de la scène démomakers et des compositeurs de musique pour jeux vidéo.
2 « J'aime »
Que de souvenirs sur Pinball Fantasy, Slam Tilt, First Samourai, Moonstone, Monkey Island, etc…etc…
Mon frère ramenai un 10e de jeux chaque week end de chez son pote…
Sur la fin de mon air Amiga je me rapelle d’un jeu aucquel je ne pouvais pas jouer sans une carte additionnel Blizzard. C’était Breathless, cela a entrainé la fin de mon air Amiga et fait débuté mon air PC.
Que de souvenirs…
Alors qu’il est techniquement capable d’en gérer plus que ça, mais aucun développeur en a tiré profit.
C’est la manette de la CD32, console basée sur un 1200 
Je suis curieux de voir comment WHDLoad va être mis en œuvre sur cette petite machine car il s’agit avant tout d’un système d’installation à utiliser depuis le Workbench (L’OS de l’Amiga) pour installer des jeux à partir des disquettes d’origine sur disque dur. OS, disque dur, images disk, on commence à s’éloigner de la simple console mini. J’attends de voir comment ils vont garder le truc simple d’utilisation pour les néophytes
Alors qu’il est techniquement capable d’en gérer plus que ça, mais aucun développeur en a tiré profit.
Alors, de base, la norme issue de l’Atari 2600 ne prévoyait qu’une seule entrée logique pour un bouton. Ce qui explique que les joysticks standard proposés sur le marché n’en avaient qu’un seul.
Mais il existait des déviations de la norme, par exemple sur les consoles Sega. Et des hacks, comme le fait de détourner l’usage des entrées analogiques originellement prévues pour des « paddles » pour brancher un bouton. C’est ainsi qu’on pouvait le faire sur un Amiga. Mais pas forcément sur toutes les marques d’ordinateurs personnels.
Le problème pour les éditeurs, c’est qu’on ne peut pas construire un gameplay sur quelque chose qui n’est pas présent en standard sur les joysticks possédés par la grande majorité des joueurs. Ce qui explique que les éditeurs ne l’on pas utilisé. De mémoire, quelques jeux le supportaient.
C’est la manette de la CD32, console basée sur un 1200
Justement, a ma connaissance, cette manette n’a pas été proposée et encore moins exploitée sur les ordinateurs personnels. Et on parle d’une console arrivée à la toute fin de l’ère de l’Amiga juste avant la faillite de Commodore et qui n’a eu qu’un succès relativement limité et une poignée de titres.
D’ailleurs, bien que profitant d’une certaine compatibilité matérielle, les jeux devaient néanmoins (et justement) être adaptés par les éditeurs aux spécificités de la console (CD ROM, pas de clavier, pad au lieu d’un joystick, etc).
Pour de nombreuses raisons c’était un produit qu’on peut considérer comme très en marge de l’univers Amiga. A ranger dans les tentatives de « consolisation » échouée d’un ordinateur personnel(Atari, Amstrad et d’autres ont tenté). Et sans doute dictée sous l’empire de la panique des finances déclinantes de Commodore devant une triple concurrence, celle du PC d’un côté, de la guerre des prix avec Atari de l’Autre. Et des consoles japonaises sur un troisième front.
La CD32, trop chère face aux produits de Nintendo n’a bien sûr pas sauvé Commodore dont le destin fut scellé à peine quelques mois plus tard.
Il faut comprendre pour quelles raisons c’est une considération importante pour le retro-gaming. D’une manière général, si on veut retrouver les sensations authentiques des gameplay d’une époque et d’une machine et surtout, se placer au niveau de difficulté réglé par les créateurs, il est important d’utiliser une interface aussi proche que possible de celle d’origine. Car cela à une influence importante sur le niveau de difficulté et le ressenti. Un pad et un joystick, ça ne réponds pas du tout de la même façon. Et cela en dehors de toute considération sur la préférence.
Et à part, sans doute les quelques titres CD 32 dont on peut présumer qu’ils ont été optimisées à l’usage du pad (et encore, c’est une supposition), il n’en reste pas moins que l’essentiel de la logithèque Amiga a été développée par des développeurs qui utilisaient vraisemblablement des joysticks parce que c’est ce qu’utilisaient la plupart des joueurs Amiga de l’époque.
Deux exemples de joysticks typiques des formats qu’on pouvait trouver à l’époque :
ABSOLUTE CLASSIC! - TESTED KONIX SPEEDKING JOYSTICK - C64, ATARI, SPECTRUM etc!! | #309538826
1 « J'aime »
Que de souvenirs sur Pinball Fantasy, Slam Tilt, First Samourai, Moonstone, Monkey Island, etc…etc…
Que de souvenirs…
Ah ça, oui.
Encore que pour être franc, je regrette plus l’époque des 8 bits. Une époque que j’ai trouvé globalement plus créative.
A l’époque de l’Amiga, il y a eu aussi de belles création. Mais on vu également se développer la grosse machine à « navet industriel » ou des gros éditeurs ne font que copier les concept du moment « qui fait vendre ».
Sur la fin de mon air Amiga je me rapelle d’un jeu aucquel je ne pouvais pas jouer sans une carte additionnel Blizzard. C’était Breathless, cela a entrainé la fin de mon air Amiga et fait débuté mon air PC.
Hélas, l’Amiga, malgré son magnifique hardware ne pouvait pas lutter contre la fabuleuse montée en puissance brute des x86 dans les années 90.
Cela dit, en collection, l’Amiga se venge. Un Amiga 500, ça se garde. Un PC 486DX2 66, ça se jette…
1 « J'aime »
C’est ce que je disais 
Si cette machine sait émuler les jeux CD32, la meilleure solution est de proposer la manette qui va avec. Et d’ailleurs, qui peut le plus (7 boutons) peut le moins (1 bouton), c’est donc un choix raisonnable en plus d’être iconique.
Si cette machine sait émuler les jeux CD32, la meilleure solution est de proposer la manette qui va avec. Et d’ailleurs, qui peut le plus (7 boutons) peut le moins (1 bouton), c’est donc un choix raisonnable en plus d’être iconique.
Je ne partage pas du tout votre opinion et vous invite à relire ce que j’ai écrit.
Dès lors qu’on modifie une interface, même de manière minime, cela influe sur le gameplay. Par exemple, ce n’est pas parce qu’un clavier compte 105 touches qu’il peut remplacer idéalement un pad ou un joystick sous prétexte qu’ils comptent moins de boutons.
Et l’intérêt d’investir dans une machine physique, que ce soit le modèle d’origine ou sa version « revival », c’est quand même à la base de se rapprocher un peu plus de l’expérience utilisateur originale.
Sauf que l’Amiga 500 et la console CD32 ont beau être deux matériel de même marque, ce sont quand même deux produits totalement différent (console vs ordinateur). Mais aussi d’époque de conception totalement différente(presque 10 ans les séparent), avec des codes ergonomiques qui ont beaucoup changé entre temps sous l’influence des consoles japonaises auquel la CD32 à cédé en quelque sorte, dans l’espoir (assez illusoire) de les concurrencer.
Le produit présenté dans la news s’appelle « Amiga 500 Mini », mais sans clavier, et avec un pad au lieu du joystick, il est objectivement plus proche d’une CD 32 que d’un Amiga 500.
Quand à l’aspect iconique de l’Amiga, il tient surtout au fabuleux hardware créé par Jay Miner au départ et de son système d’exploitation relativement avancé pour le domaine grand public. Tous les connaisseurs vous diront ce qu’il faut penser de ce qu’en a fait Commodore dans le temps. Ce n’est pas forcément par hasard qu’ils ont fini au bouillon.
1 « J'aime »
Tu as compris tout seul 
pour moins chère il y a le pi 400 ou je met Amikit dessus et un clavier actif!!!
tout faut il y a des jeux avec 2 boutons sur amiga et avec outil whdload tous les jeux ou presque ont eu droit à une amélioration avec 2 ou 3 boutons et les Amiga ocs Ecs gerent 3 boutons là où les aga peuvent utiliser 6 boutons (les adf s’est arcadique )
1 « J'aime »
pour moins chère il y a le pi 400 ou je met Amikit dessus et un clavier actif!!!
Oui, d’ailleurs tout le monde a bien vu dans ce bidule un revival des form factors des ordinateurs de l’époque. Au moins, il y a un clavier… donc c’est déjà mieux.
tout faut il y a des jeux avec 2 boutons sur amiga
Comme je l’avais précisé plus haut, nativement il n’y en a que quelques uns.
et avec outil whdload tous les jeux ou presque ont eu droit à une amélioration avec 2 ou 3 boutons
Sauf que ce n’est pas le gameplay d’origine. Avec le débat sur le fait que ce soit une amélioration, une dénaturation ou… un cheat puisque cela peut permettre d’améliorer les scores.
Mais IMHO c’est un faux débat. Parce qu’avant de se perdre en débat inutile (après tout, chacun fait ce qu’il veut) sur le fait d’ajouter des boutons qui n’existaient pas à l’époque, peut être serait t’il bon de commencer par utiliser un clavier qui soit identique à celui d’un Amiga.
D’ailleurs, l’Amiga étant un ordinateur personnel, il y a pléthore de jeux qui utilisent plus que 3 boutons (ou plutôt devrait t’on dire plus de 3 touches du clavier). En gros, dès qu’on sors des genres les plus simplistes, ce qui est tout l’intérêt des ordinateurs. Quand Commodore à sorti le 600 qui n’avait pas de pavé numérique, ça posait quelques soucis avec certains jeux. (par exemple F18 Interceptor).
Respecter le format exact du clavier d’origine est important pour certains jeux qui avaient des « keyboard overlays » qui se plaçaient autour du clavier pour indiquer la fonction des différentes touches.
et les Amiga ocs Ecs gerent 3 boutons là où les agas peuvent utiliser 6 boutons (les adf s’est arcadique )
Il n’est pas très difficile de pondre un schéma électronique pour gérer autant de boutons qu’on veut sur n’importe quel chipset. Il suffit d’utiliser un registre à décalage. Et c’est comme ça que fonctionne la manette de la CD 32, il y plein de sujets qui l’expliquent sur le web et donnent le code assembleur pour l’exploiter.
Mais pour les Amiga « ordinateurs personnels » ce n’était pas un problème technique, mais une question de standard. Pour une console, il est habituel de livrer des commandes avec la console, donc le fabricant peut choisir d’y faire ce qu’il veut. Mais sur les ordinateurs personnels, c’est le contraire, Pad ou joystick sont le plus souvent en option et c’est le client qui choisit. Contrairement à un fabricant de console, un fabricant d’ordinateur ne maîtrise pas forcément ce que les joueurs vont utiliser et les éditeurs de logiciels non plus. C’était le cas sur Amiga, c’est toujours le cas sur PC ou l’on trouve pléthore de modèle de souris et de pads, sans compter les touchpads.
Tu as beau avoir des souris avec 15 boutons sur le marché, si dans ton gameplay tu compte sur plus de 2 boutons, tu as toujours des gens qui vont venir râler parce qu’ils ne les ont pas.
Tu as compris tout seul
C’est surtout qu’avec un produit appelé « Amiga 500 Mini » et bon look d’Amiga 500, je m’attendait naïvement à trouver quelque chose de relativement proche d’un Amiga 500 ;).
Je me suis aperçu que des collectionneurs compulsif collectionnent aussi des machines à bas d’Intel et clone…
j’ai eu mon premier amiga en 1988 et d’autres exclusivement sans passer par du pc avant 1999 donc oui j’ai des jeux avec 2 boutons et des manettes qui en on eu plus avec ma compétition pro de ma cd32 compatible avec mon 1200 (rien que mes souris 2 a 3 boutons si on compte la molète pour mon utilisation workbench 3.1 ou 3.9…)
2 « J'aime »
« mais aucun développeur en a tiré profit. »
Faux ! Flashback est un excellent exemple de jeu qui gérait plusieurs boutons avec un réel intérêt. J’y jouait avec un paddle megadrive du coup.