Un petit trésor équivalant à plus de 11 milliards d’euros. Voilà le montant estimé, selon une enquête, des appareils technologiques inutilisés qui dorment dans les foyers français.
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C’est vrai qu’il faudrait un atelier « recyclage à la maison » avec des sujets comme :
- « Comment réutiliser ses batteries de smartphone »
- « Que faire de la puissance (CPU) de ses vieux appareils »
- etc.
En fait, ce n’est pas un ‹ petit tresor ›, c’est du materiel qui a ete rendu obsolete et n’est plus utilisable et donc invendable sur le marche de l’occasion. Exemple, une tablette Android devient vite obsolete a cause du la version Android minimum demande par l’application. Des dictionaires par exemple, demande la version 8 alors qu’ils fonctionnent tres bien sur la version 4 apres avoir modifier le numero de version minimum.
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j’ai tendance à vouloir garder ces merdes en me disant qu’aujourd’hui, ça serait pas bien recycler, j’attends de crever, j’espère qu’à ce moment là, ils arriveront à récupérer ce qu’il y a dedans
Plus de 11 milliards d’euros d’appareils technologiques dorment dans les foyers français
Avec ou sans vétusté ?
Le problème c’est les prix de reprise.
On nous présente le recyclage comme quelque chose d’écologique mais en réalité c’est surtout un business.
Hors de question que l’on se fasse de l’argent sur mon dos.
Le pire de tout étant les poubelles de tri, c’est le summum de l’absurdité, payer pour le ramassage pour qu’ensuite une entreprise de recyclage se fasse de l’argent avec les ordures !
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C’est vrai que c’est tellement plus rentable pour toi d’avoir un truc qui dort dans un tiroir plutôt que de gagner un peu d’argent en le revendant à une entreprise de recyclage qui va aussi gagner un peu d’argent avec 
Ben oui, tu payes pour le service de ramassage. Celui qui fait ensuite le recyclage, il gagne de l’argent sur le service de recyclage. S’il devait aussi payer le ramassage, ça ne serait pas forcément rentable, et du coup ça serait pas recyclé…
Et du coup, je suppose que tu refuses aussi de travailler, pour qu’il y ait pas une entreprise qui se fasse de l’argent sur ton dos ?
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Une entreprise paye ses employés c’est un peu différent.
Là il faut payer pour donner ses ordures à une entreprise de recyclage c’est le monde à l’envers. Sous prétexte écologique on fait n’importe quoi. C’est comme si un paysan payait Danone pour lui donner son lait.
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Tu peux facilement avoir les chiffres. Le recyclage n’est jamais bénéficiaire, sauf dans quelques cas particuliers (je pense au ramassage de vêtements). Donc il est logique de payer aussi pour les déchets recyclables.
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Dans le cas où tu revends ton produit usagé à une entreprise de reconditionnement ou de recyclage, tu es payé aussi.
Tu payes pour le service de ramassage. Si tu apportes toi même des déchets à la déchetterie, tu ne payes pas pour ces déchets.
Et s’il n’y avait pas de valorisation de tes déchets, tu paierais en plus pour leur stockage, leur incinération, etc… Parce que oui, gérer les déchets, ça a un coût, et c’est normal que celui qui les produit paye pour.
Donc non, on ne se fait pas de l’argent sur ton dos en gagnant de l’argent et en te faisant payer pour la même chose. Ce qui est gagné avec la revalorisation diminue la note pour toi (bien sûr il y a une marge au passage si c’est une entreprise privée qui assure le service… mais c’est le principe pour tout service assuré par une entreprise privée).
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Certains magasins ou supermarchés les reprennent et offrent en contrepartie un petit bon d’achat. J’ai fait ça avec un vieux Lumia 930. J’ai eu un bon d’achat de 30€ et zou, plutôt que ça ne serve à rien chez moi.
Le gars que j’ai vu m’a dit que ça servait entre autres comme matériel « d’entrainement » dans les centres de réparation/reconditionnement de portables.
Et au omins, ça ne traine pluc hez moi déjà. 
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Tout a fait, il peut rester plein d’usages pour du matériel dont le grand public ne veut plus parce qu’il est « obsolète ».
C’est le principe de l’« upcycling », plutôt que de recycler on donne une seconde vie au produit, pour des usages différents.
L’un de mes anciens clients utilise par exemple des vieux smartphones comme contrôleur pour des capteurs environnementaux et des équipements situés en pleine nature. Associés à un petit panneau solaire, ça permet de faire des systèmes totalement autonomes en énergie et capables d’envoyer les données et de recevoir des commandes.
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J’avoue, j’ai un paquets de vieux matos en tout genre qui attendent que je me motive à les déposer quelques part…
Faudrait vraiment que je m’en sépare…
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Normalement, juste après avoir jeté, tu verras que c’est collector sur eBay et à des prix fous.
[quote="_Troll, post:3, topic:466062"]
… devient vite obsolète a cause du la version Android minimum demandée par l’application…[/quote]
Pourquoi spécifiquement Android ? N’est pas la même politique pour i-OS ? et même, je pense que c’est la pomme qui a donné le bon exemple !
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C’est même pire pour iOS en fait.
Sous Android, c’est véritablement une question de choix du développeur/éditeur de l’application. On peut tout a fait diffuser aujourd’hui une application Android pouvant encore tourner sur les premières versions d’Android (y compris la diffuser via le Play Store).
Alors qu’il est impossible de publier aujourd’hui sur l’App Store d’Apple une application compatible avec iPhone OS 2.0
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Moi je recycle en les donnant à un pote,ou à quelqu’un qui en a besoin et c’est pas des déchets, ils fonctionnent encore. ^^
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Hum.
Créer l’application, je ne sais pas, mais publier sur l’app store, d’après la doc Google, non.
Extrait :
https://developer.android.com/google/play/requirements/target-sdk
(premier paragraphe)
C’est un peu le problème. C’est souvent la croix et la bannière pour faire recycler le vieux matériel. Autant les piles c’est devenu commun autant le matériel électronique c’est loin d’être simple. On ne sait jamais ou les déposer…
Je vais refaire l’explication déjà faite plusieurs fois : une application Android à deux « API Level ».
Le « target API level » (targetSdkVersion) qui correspond en gros au niveau pour lequel l’application est « optimisée » et le « minimum API level » (minSdkVersion), qui est la version minimale d’Android qui peut exécuter l’application. Avoir targetSdkVersion sur un niveau d’API correspondant à une version donnée d’Android n’empêche pas d’exécuter sur une version antérieure d’Android, c’est le minSdkVersion qui contrôle ça.
Cf par exemple cette page : Target API level requirements for Google Play apps - Play Console Help
Extrait :
Google impose d’avoir un certain niveau pour targetSkdVersion pour la publication sur le Play Store mais ne fixe par contre aucune règle pour le minSdkVersion.
Il est d’ailleurs très aisé de vérifier qu’on peut publier des applications supportant des versions plus anciennes d’Android. Par exemple, toujours d’après la page dont j’ai donné le lien, depuis le 2 août 2021, targetSdkVersion doit correspondre au minimum à Android 11.
Maintenant, prenons une application quelconque sortie après le 2 août 2021 et regardons quelle est sa version d’Android minimale :
Sortie en décembre 2021, supporte Android 5.0. CQFD, cibler l’API d’Android 11 n’empêche pas d’être compatible avec des versions très antérieures d’Android.
Et heureusement d’ailleurs, parce que Google impose toujours de cibler au moins l’avant dernière version d’Android, et même la dernière pendant quelques semaines (vu qu’ils incrément la version à cibler en août alors que la nouvelle version sort à l’automne… par exemple dans 2 jours il faudra obligatoirement cibler Android 12, qui est la dernière version), qui représente toujours une part assez faible du parc… Ainsi si on en croit les chiffres de Statcounter, cibler Android 12 à partir du 1er août 2022 rendrait les applications compatibles avec seulement 21% du parc Android si la cible correspondait à la version minimale requise…
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