Dans ce qu’on écrit les rageux du haut, je ne vois pas où sont les questions.
En vous remerciant…
Dans ce qu’on écrit les rageux du haut, je ne vois pas où sont les questions.
En vous remerciant…
Bah, vu qu’à longueurs de sujets vous nous rabâchez les mêmes choses, parfois agressivement, voir en nous prenant carrément pour des incapables, il y a un moment où il faut s’attendre à un retour de manivelle.
Ah et on notera aussi « l’honnêteté » de ne prendre que la partie de phrase qui sert ton narratif, sans reprendre la partie où j’indique justement le fait que vous prenez les autres pour des neuneus ET le fait qu’une question que je pose, question qui est basée sur l’une de tes affirmations fantastique passe carrément à la trappe.
Edit : On notera aussi, que tu sors des morceaux de messages de leur contexte, pour là encore servir ton narratif (celui sur Trump, est juste goldé « crypto fasciste », sortir cela du contexte c’est là encore de la malhonnête).
Peux-tu me dire où je traite quelqu’un d’incapable dans cette discussion. Si tu m’expliques que j’ai pu le faire dans la discussion d’un autre article, tu montres que tu sors également les choses de leur contexte.
Très honnêtement, tu trouves que les modos et Sodium sont des exemples de respect? Et ne va pas me sortir que je l’ai cherché.
Il y a un climat vraiment toxique quand Bitcoin monte… vu comme c’est parti, ce n’est pas prêt de s’arrêter.
Oui, c’est indirect, mais ça fait quand même très « vous ne comprenez rien ».
Et si personne ne « comprend rien » c’est peut être juste aussi final ça ne révolutionne rien du tout.
Juste un système monétaire basé sur de la spéculation, bref le capitalisme.
Et en attendant, tu as eludé m’a question.
Excuse moi, mais 10% qui en possèdent, je n’y crois pas trop
Et bien non, dire que peu de gens comprennent ce que c’est, ce n’est pas dire que les autres sont incapables… juste que: « les gens ne comprennent pas ce que c’est ». Bitcoin est un truc compliqué qui va révolutionner (selon moi), le système financier qui est, lui, ultra compliqué à comprendre. Donc si les gens ne comprennent pas encore bien, c’est normal. Il est dommage que certains arrêtent la réflexion à : « ça sert à rien ». J’ai plus de facilité à comprendre car j’ai étudié le système financier à l’unif, que je travaille dans l’IT dans l’industrie du paiement. Donc je ne m’estime pas meilleur que ceux qui ne comprennent pas, juste que mon parcours de vie m’a facilité la chose. Je donne l’opportunité à d’autres de comprendre en répondant ici. Mais certains préfèrent cracher sur ceux qui passent du temps à vouloir les aider (à comprendre).
Le fonctionnement d’un processeur est ultra compliqué, le fonctionnement d’Internet aussi, surtout au début où il fallait presque être ingénieur pour être capable d’envoyer un e-mail… la technologie a permis de facilité l’accès et a révolutionner le monde. Bitcoin est en train de faire la même chose.
Ca ne résout toujours pas le problème du fait que le Bitcoin ne sert à rien, à part entretenir une bulle spéculative qui à un moment va forcément exploser avec des effets probablement désastreux pour un bon paquet de gens. À la limite si on a de l’énergie en trop, je vote pour ne rien en faire plutôt que pour miner du Bitcoin.
Rofl.
Non puisque pour la 300 000ème fois au moins il ne résout aucun problème rencontrés par des gens au quotidien à moins de vivre dans une dictature ou d’être un criminel. Même si le Bitcoin était un système de paiement efficace, ce qu’il n’est pas vu qu’il serait totalement incapable de tenir une charge importante de transactions, y voir une révolution comparable à celle d’Internet est au mieux risible. C’est un produit spéculatif, des produits spéculatifs il y en a plein. La seule particularité du Bitcoin est son fonctionnement inutilement lourd.
« Je ne vois pas d’intérêt donc ça ne sert à rien », le nouveau « moi, moi et moi »
Ah mais bien sûr ! Quelle brillante idée : plutôt que d’utiliser notre énergie excédentaire pour quelque chose d’aussi inutile que le système financier alternatif le plus décentralisé jamais créé, autant la laisser gentiment se perdre dans l’éther. Qui a besoin d’un réseau mondial sécurisé, quand on peut juste… laisser les ampoules allumées dans des pièces vides ?
Et puis franchement, une technologie qui permettrait à des millions de personnes de se protéger contre l’inflation, de transférer des fonds sans banques, ou même de contourner la censure dans des régimes autoritaires ? Pfff, quel ennui. Vive les bulles ! Et vivement l’explosion – on sortira le pop-corn et on regardera tout ça avec un petit air de « je vous l’avais bien dit », hein ?
Allez, soyons honnêtes : si Bitcoin ne sert vraiment à rien… pourquoi on en parle encore autant, quinze ans plus tard ? Mystère… ou magie noire ?
Oh, mais évidemment ! Le Bitcoin, ce gadget de geek pour criminels et dissidents… Quelle idée saugrenue de vouloir échapper au contrôle total d’un État ou à l’hyperinflation, franchement. Tout le monde sait que la vraie liberté, c’est quand ta banque peut bloquer tes virements, que ta monnaie perd 30 % de sa valeur par an, et que tu dois justifier chaque achat supérieur à 1000€ avec trois pièces d’identité et un prélèvement sanguin.
Et alors, le pompon : “à moins de vivre dans une dictature”. Bah ça tombe bien, justement ! Parce que je connais très bien la Chine et la Russie, et devine quoi ? Là-bas, on l’utilise massivement pour essayer d’avoir un peu plus de liberté sur son argent. Quelle coïncidence, hein ? C’est fou comme une technologie sans utilité peut soudain devenir essentielle dès que tu n’as plus la chance de vivre dans ta petite bulle démocratique bien tiède.
Mais bon, c’est vrai : mieux vaut ne pas résoudre de vrais problèmes que de risquer de remettre un tout petit peu de pouvoir entre les mains des individus. Liberté financière ? Quelle horreur.
CQFD
Tu me remercies de décrire trump tel qu’il est ?
Et on peut mettre musk dans le même sac.
De rien.
Je traite de rageux certains intervenants non parce qu’ils ne sont pas d’accord avec moi mais parce ce qu’ils réagissent systématiquement négativement et avec hargne à tout avis favorable au Bitcoin. Un article sur BTC c’est comme un chiffon rouge agité sous leurs yeux.
C’est bon, Il faut se calmer, on a pigé que le BTC n’est pas votre tasse de thé, plus la peine de le crier haut et fort !
Moi je n’apprécie pas l’écosystème Apple, et bien je ne lis pas les news concernant la pomme et m’abstiens de tout commentaire négatif. Faites donc comme moi.
Le BTC ne vous convient pas, passez alors votre chemin.
Il y a deux types de personnes qui ont un intérêt légal au Bitcoin : les spéculateurs et les délulus. Il semble que tu aies choisi ton camp.
Des réseaux de paiement mondiaux sécurisés il y en a déjà plein, plus efficaces, avec de meilleures garanties et bien plus efficaces point de vue performances.
J’en ai marre de répondre encore et toujours aux mêmes arguments avec les mêmes personnes qui n’acceptent ni de contre-argumenter, ni d’au moins apprendre et arrêter de revenir avec ça. Non, le Bitcoin ne protège pas de l’inflation, son cours est fortement impacté par l’économie mondiale et même si ça n’était pas le cas, il ne sert qu’à être échangé contre de l’argent ou des biens dont la valeur est adossée à la valeur de cet argent. Donc si il y a une inflation de 50%, tes 100€ de Bitcoin valent toujours 50% moins, ils n’ont été protégés à aucun moment. Maintenant j’en ai marre, tu passes en ignore-list.
« Je traite de rageux certains intervenants… parce qu’ils réagissent systématiquement négativement et avec hargne à tout avis favorable au viol. »
Moins grave, mais on est dans l’esprit. Le Bitcoin est objectivement un élément négatif des sociétés humaines modernes, il n’y a pas de raisons valables de le défendre. C’est un désastre pour l’écologie, un désastre le combat contre la criminalité. Les cryptomonnaies sont ce que Donald Trump utilise pour accepter des milliards de pots de vin d’entreprises ou de pays étrangers afin qu’ils défendent leurs intérêts.
Tu veux de l’argumentation, tiens… essaie de revenir avec autre chose que « ça sert à rien parce que je l’ai écrit » ou « c’est pour les spéculateurs et les délulus parce que je l’ai écrit »…
L’utilité sociétale de Bitcoin : au-delà des préjugés sur la spéculation, les activités illégales, l’écologie et les limites techniques
Bitcoin, souvent réduit à un outil de spéculation financière ou à un moyen d’échange pour des activités illégales, souffre d’une image biaisée dans l’opinion publique. De plus, son impact environnemental est fréquemment pointé du doigt comme un désastre écologique, et certains le considèrent comme une technologie lente, stagnante et incapable de rivaliser avec les systèmes de paiement traditionnels. Cet article vise à déconstruire ces préjugés en s’appuyant sur des sources fiables et des arguments concrets.
Un système financier décentralisé et inclusif
Contrairement à l’idée selon laquelle Bitcoin ne sert qu’à la spéculation, il propose une alternative aux systèmes financiers traditionnels, souvent inaccessibles pour des millions de personnes. Environ 1,4 milliard de personnes dans le monde n’ont pas accès à un compte bancaire, selon la Banque mondiale (2021 Global Findex Database). Bitcoin, grâce à sa nature décentralisée, permet à quiconque disposant d’une connexion Internet d’accéder à un système financier sans dépendre des banques ou des gouvernements. Cela est particulièrement crucial dans les pays en développement ou sous des régimes autoritaires où les institutions financières sont peu fiables ou restrictives.
Par exemple, au Venezuela, où l’hyperinflation a atteint 1,7 million % en 2018 (FMI), Bitcoin a permis à des citoyens de préserver leur pouvoir d’achat en contournant le bolívar dévalué. Des plateformes comme LocalBitcoins ont facilité les échanges peer-to-peer, offrant une bouée de sauvetage économique à ceux qui n’avaient plus confiance dans leur monnaie locale.
Un rempart contre la censure financière
Bitcoin offre également une protection contre la censure financière. Dans des pays comme la Chine ou la Russie, où les gouvernements surveillent et contrôlent les transactions, Bitcoin permet des échanges sans intermédiaire. En 2021, lorsque le Nigeria a interdit aux banques de traiter les transactions liées aux cryptomonnaies, l’utilisation de Bitcoin a explosé, permettant aux jeunes entrepreneurs et activistes de continuer à recevoir des fonds, notamment pour des campagnes comme #EndSARS (Chainalysis, 2021 Crypto Crime Report).
Une part marginale des transactions illicites
L’idée que Bitcoin est principalement utilisé pour des activités illégales est un mythe largement démystifié. Selon un rapport de Chainalysis (2022 Crypto Crime Report), seulement 0,34 % des transactions Bitcoin en 2021 étaient liées à des activités illégales, contre 2 à 5 % pour les transactions en argent liquide. La transparence de la blockchain Bitcoin, où toutes les transactions sont enregistrées publiquement, rend son utilisation pour des activités criminelles moins attrayante qu’on ne le pense. Les criminels préfèrent souvent le cash, qui est anonyme et intraçable, contrairement à Bitcoin, où les adresses peuvent être analysées par des outils comme ceux de Chainalysis ou Elliptic.
Un outil de traçabilité pour les autorités
Paradoxalement, Bitcoin aide les autorités à lutter contre le crime. Par exemple, en 2021, le FBI a récupéré une partie de la rançon payée en Bitcoin lors de l’attaque contre Colonial Pipeline grâce à l’analyse de la blockchain. Cela montre que Bitcoin, loin d’être un refuge pour criminels, peut être un outil pour renforcer la transparence et la responsabilité.
L’empreinte écologique : un problème en voie d’amélioration
L’argument écologique est l’un des plus souvent invoqués contre Bitcoin. Son mécanisme de consensus, la preuve de travail (Proof of Work), consomme effectivement beaucoup d’énergie : selon le Cambridge Bitcoin Electricity Consumption Index (CBECI), Bitcoin consommait environ 150 TWh par an en 2023, comparable à la consommation d’un pays comme la Norvège. Cependant, cette critique mérite d’être nuancée.
Tout d’abord, une part croissante de l’énergie utilisée pour le minage provient de sources renouvelables. Selon le Bitcoin Mining Council (Q3 2023 Report), environ 59,9 % de l’énergie utilisée par les mineurs de Bitcoin provient de sources renouvelables, comme l’hydroélectricité, l’éolien ou le solaire. Par exemple, des installations de minage au Canada et en Islande exploitent l’énergie géothermique et hydroélectrique, réduisant considérablement leur empreinte carbone.
Comparaison avec le système financier traditionnel
De plus, l’impact environnemental de Bitcoin doit être comparé à celui du système financier traditionnel. Les banques, les data centers des institutions financières et la production de monnaie physique consomment également des quantités massives d’énergie. Une étude de Galaxy Digital (2021) estime que le système bancaire mondial consomme environ 260 TWh par an, soit presque le double de Bitcoin, sans offrir la même transparence ni les mêmes avantages d’inclusion financière.
Innovations pour réduire l’impact
Enfin, des solutions technologiques émergent pour réduire l’impact écologique de Bitcoin. Le Lightning Network, une surcouche de Bitcoin, permet des transactions rapides et peu coûteuses avec une consommation énergétique négligeable, rendant le réseau plus scalable et économe. De plus, des initiatives comme le projet de minage de Bitcoin au Salvador, alimenté par l’énergie géothermique des volcans, montrent que des approches durables sont possibles.
Le mythe de la lenteur et de la faible capacité de transaction
Un préjugé courant est que Bitcoin est trop lent pour concurrencer les systèmes de paiement classiques comme Visa, qui peut traiter jusqu’à 24 000 transactions par seconde (TPS), contre environ 7 TPS pour la blockchain Bitcoin de base. Cependant, ce constat ignore les avancées technologiques qui permettent à Bitcoin de surmonter cette limitation. Le Lightning Network, une solution de deuxième couche, permet des transactions quasi instantanées et à faible coût, avec une capacité théorique de plusieurs milliers de TPS. Selon un rapport de Arcane Research (2022), le Lightning Network a vu son adoption croître de 400 % entre 2020 et 2022, avec des millions de transactions traitées dans des cas d’usage réels, comme les paiements chez des commerçants au Salvador.
Une adoption en forte croissance
L’idée que Bitcoin ne progresse pas en termes d’adoption est contredite par les chiffres. Selon un rapport de Glassnode (2023), le nombre d’adresses Bitcoin actives a atteint un pic de 1,1 million par jour en 2023, et le volume de transactions on-chain a augmenté de 20 % par rapport à 2021. Au Salvador, où Bitcoin est une monnaie légale depuis 2021, plus de 60 % des citoyens utilisent le portefeuille Chivo pour des transactions quotidiennes (Banque interaméricaine de développement, 2023). De plus, des entreprises comme Strike et BitPay intègrent Bitcoin dans leurs systèmes de paiement, permettant à des milliers de commerçants dans le monde d’accepter Bitcoin, de Starbucks à des petites boutiques locales.
Un écosystème en constante évolution
Loin d’être stagnant, le développement de Bitcoin est dynamique. Des mises à jour comme Taproot (activée en 2021) ont amélioré la confidentialité, la sécurité et l’efficacité des transactions, tout en ouvrant la voie à des contrats intelligents plus complexes. Les développeurs travaillent également sur des solutions comme Ark et Fedimint, qui visent à améliorer la scalabilité et la confidentialité tout en maintenant la décentralisation. Selon GitHub, le dépôt de Bitcoin Core a reçu plus de 2 000 contributions en 2023, montrant une communauté active et un développement continu.
Compétition avec les systèmes traditionnels
Enfin, Bitcoin ne cherche pas nécessairement à remplacer Visa ou PayPal pour chaque microtransaction, mais à offrir une alternative décentralisée et souveraine. Pour les paiements internationaux, où les frais bancaires peuvent atteindre 7 % (Banque mondiale, 2021), Bitcoin et le Lightning Network offrent des coûts bien inférieurs, souvent inférieurs à 1 cent par transaction. Cela en fait une solution viable pour les transferts transfrontaliers, particulièrement dans les régions mal desservies par les infrastructures bancaires.
Protection contre l’inflation et la dévaluation monétaire
Dans un contexte mondial où les politiques monétaires expansionnistes entraînent une dévaluation des monnaies fiat (ex. : impression monétaire massive pendant la crise COVID-19), Bitcoin, avec son offre limitée à 21 millions d’unités, agit comme une réserve de valeur. Cette caractéristique en fait un outil d’émancipation économique pour les populations confrontées à l’instabilité monétaire.
Soutien aux initiatives humanitaires
Bitcoin a également prouvé son utilité dans des contextes humanitaires. Lors de la guerre en Ukraine en 2022, plus de 100 millions de dollars en cryptomonnaies, dont une large part en Bitcoin, ont été donnés pour soutenir les efforts humanitaires et militaires, selon Elliptic. Ces fonds, envoyés directement sans intermédiaires, ont permis une aide rapide et efficace, impossible à réaliser aussi efficacement via les systèmes bancaires traditionnels.
Bitcoin est bien plus qu’un outil de spéculation ou un refuge pour criminels. Il représente une innovation financière qui favorise l’inclusion, protège contre la censure, et évolue pour devenir plus rapide, scalable et durable. Les solutions comme le Lightning Network et les mises à jour comme Taproot montrent que Bitcoin n’est ni lent ni stagnant, mais en constante progression, avec une adoption croissante à l’échelle mondiale. Sur le plan écologique, les progrès vers des pratiques plus durables et les comparaisons avec le système bancaire traditionnel relativisent les critiques. En s’appuyant sur des données fiables, comme celles de Chainalysis, du Bitcoin Mining Council, de Glassnode ou de la Banque mondiale, il est clair que Bitcoin a un potentiel sociétal immense, encore sous-estimé par ses détracteurs. Pour ceux qui doutent encore, il est temps de regarder au-delà des stéréotypes et de reconnaître les opportunités qu’offre cette technologie.
Références :
Oui ? J’ai déjà répondu 300 fois à tous ces arguments. Tu crois que parce que tu les mets sous forme de long texte pondu par une IA quelconque tu vas avoir l’air plus sérieux ? Par exemple un de mes premiers posts citaient le fait de vivre dans une dictature comme la seule des cryptomonnaies si l’on excepte le financement d’activités criminelles.
Allez, toi aussi tu passes en ignore-list, j’ai des choses plus intéressantes à faire de mes journées que de répondre à des gens qui ne sont capables ni de défendre leur point de vue, ni d’adapter celui-ci quand on leur a prouvé qu’ils ont tort.
Edit : Ah pardon, tu y étais déjà, j’avais juste oublié que mon extension était désactivée.
Etant modérateur (comme moi), je ne vois pas pourquoi @Blackalf ne pourrait pas s’incruster dans une discussion quelle qu’elle soit. Mauvaise pioche !
Esprit de sel en PLS
Ce qui n’est pas très étonnant, puisque tu as le même mode de réflexion et donc peu d’objectivité sur le sujet.
Ceci dit, petite mise au point : contrairement à l’opinion simpliste* de certains, je ne suis ni un rageux, ni un hater et je suis encore moins du genre hargneux. Pour la bonne et simple raison que je n’en ai vraiment rien à faire des cryptomonnaies. Ma famille et moi vivons très bien et je suis satisfait de mon existence et de la manière dont j’ai mené ma barque jusqu’à aujourd’hui, y compris avoir cessé de travailler longtemps avant l’âge légal de la retraite. ^^
Et ce que ne comprennent de toute évidence pas ceux qui se sentent attaqués dans leurs croyances, c’est que les remarques que je fais sont basées sur l’attitude des personnes et leur manière de s’adresser aux autres.
Comment ruiner en une seule petite phrase tout ce que l’on a tenté de démontrer plus tôt.
Merci le LLM
Moi aussi je sais demander à un LLM de me faire un exposé sur le BTC. Et je peux même lui faire avoir une conclusion négative. Ce n’est pas en recrachant une tartine pondue par un LLM qu’on fait avancer un débat…
Disclaimer : le texte qui suit est généré par un LLM. Et comme l’écrasante majorité des gens qui postent des pavés pondus par leur LLM favoris sur les forum, j’ai bien pris soin d’orienter la réponse via le prompt, et je copie colle ce que le LLM a pondu sans même l’avoir relu.