L’exploitant de l’EPR finlandais vient d’annoncer la découverte d’un problème technique qui a demandé la mise à l’arrêt du réacteur.
Mais pourquoi on se fait autant chier avec ça ? Je veux dire, continuons des centrales comme dans les années 80, avec des technologies peut être plus moderne. Mais là, franchement, on sait plus faire.
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On en revient à ce biais monstrueux qu’à chaque mini accroc on va en parler. Ca fait tellement plaisir aux anti.
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+1. On parle ici de température sur une turbine à vapeur du circuit secondaire … bien loin de la technologie EPR. En gros on parle d’un problème technique standard en le mélangeant à un truc médiatique…
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A revoir pour le titre, il me semble que la conception des EPR est avant tout allemande en association avec les français.
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Problème mineur, avec des consequences énergétiques gênantes.
Si une sonde de mesure de vitesse du vent sur une éolienne est défectueuse, pas sur que cela fasse l’objet d’un article…
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Non, 50% Fr 50% All au départ (mais avec plusieurs projets séparés) puis exclusivement Fr . L’EPR vient du projet REP-2000 de Framatome. C’est en gros une évolution des REP français. Réacteur pressurisé européen — Wikipédia
conçu dans les années 1990 par la co-entreprise franco-allemande NPI (Nuclear Power International), détenue à parts égales par Framatome SA et Siemens KWU. Depuis 2011, l’EPR est développé par les français EDF et Framatome (ex Areva NP), à la suite du retrait de Siemens KWU.
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Heureusement nous avons l’EPR (Encore Pas Réparé) sans aucuns doutes la deuxième tranche de SuperPhoenix… de la société EDF (Encore Défectueux Finalement), et pendant toutes ces années de l’attente d’un accord sur l’électricité les margoulins du privé se sont gavés sur notre dos…
Oui, mais au final tout l’ensemble est en carafe!
Parce que tu crois qu’on sait encore construire les réacteurs actuels ? 
Ben c’est exactement ce qu’est l’EPR. Un réacteur sur la même base que les 56 qu’on a déjà (qui sont tous des réacteurs à eau pressurisée, toutes les autres technologies qu’on a utilisées ou expérimentées ne sont plus en service actuellement), mais modernisé.
Une bonne partie des difficultés rencontrées sur le chantier français viennent du fait que comme on n’a rien construit pendant plusieurs années, on a perdu le savoir faire. Bien sûr la complexité supplémentaire et la taille plus grande n’ont pas aidé, mais on aurait probablement eu une partie des difficultés aussi si on avait construit des réacteurs identiques à ceux qu’on a déjà.
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C’est un problème de capteur de température dans la turbine je crois, rien de grave.
J’y connais pas grand chose mais je crois que c’est une question de puissance en fait, les EPR sont plus puissants que les anciens et consomment un peu moins d’uranium. Ils ont aussi des cuves de sécurité qui peut recueillir l’uranium en fusion au cas où (leçons apprises des deux accidents nucléaires bien connus).
Je crois que les futurs SMR sont en fait des centrales nucléaires de petites taille comme les réacteurs d’ancienne génération. Le point intéressant est de fabriquer en usine le même modèle de réacteur à la chaine. D’ailleurs les futurs EPR seront tous fabriqués selon le même modèle pour réduire les coûts et les délais.
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Oui, ajoutons que Framatome « concevait » les réacteurs français en utilisant une licence Westinghouse (USA). Cocorico…
Idem pour Siemens KWU…
Forcé de reconnaitre qu’un capteur H.S. nécessitant l’arrêt total de l’unité de production est plus problématique, pour le gestionnaire de réseau, sur une centrale de 1600 MW que sur une éolienne de 12 MW…
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J’ai un défaut d’ESP sur ma bagnole… faut arrêter de faire des voitures essence à boite auto… on ne maitrise plus rien
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Tu serai pas du genre à t’autoflaggeler tout seul toi ?
On fait de la merde, mais on le fait bien français.
Le hic c’est qu’il y a toujours un problème. Bien sûr, ça nous dépasse, et c’est pas normal. On a trop de gens formés, sur formé en commerce et on a perdu notre vrai savoir faire là dessus.
Et là se pose une question, pourquoi ce genre de capteur n’est-il pas doublé ou triplé ?
Parce qu’arrêter une telle installation pour un problème de « PT100 », ça fait quand-même un peu mauvais genre…
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On a rien perdu du savoir-faire, il est juste parti chez les sous-traitants.
En générale, la méthode pour que les techos et ingés puissent renégocier leur salaire c’est de partir chez les sous-traitants ou la concurrence.
C’est partout pareil, mais très visible dans le nucléaire car il y a un monopole.
On aime bien s’auto fouetter quand même.
On aurait pu aussi titrer
« La conception Française de l’EPR en Finlande permet a un indicent d’être détecté à temps… »
Si vous souhaitez vous amuser.
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On sais encore les faire car ont maintiens CE parc nucléaire qui est le plus grand du monde depuis quelques décennies tout de même.
On a en plus la licence, les plans, avec les compétences et le personnel ( même si ça tire un peu de ce coté ) !!!
Donc sur quoi tu te base pour dire ça ?