C’est assez facile à comprendre. L’homme souffre de fragilité et d’incontinence sur le plan sexuel. Il est de plus incité de manière permanente, sous l’effet de la corruption des riches, des puissants et des multinationales à avoir une sexualité immorale et déviante qui entérine une disruption complète avec le modèle judéo-chrétien basé sur la foi et la famille. Ce faisant il entre en conflit larvé avec sa morale et ses valeurs personnelles.
S’il est quelqu’un de bien Il aura le désir de ne pas se laisser corrompre et de se comporter avec amour et respect c’est à dire en restant fidèle à son épouse, respectueux des femmes et des enfants et de ce qu’il sait être la véritable finalité à atteindre. Cependant il souffrira néanmoins inévitablement de la tentation que représente pour les hommes la beauté des femmes. Il ressentira alors une blessure à être contraint par autrui et par la société dans son ensemble à devoir souffrir ce tiraillement. Il sera alors à la marge tenté d’obtenir que les femmes fasse preuve de mesure dans la façon dont elles exposent leur beauté. Mais il refusera de succomber au modèle dominant et refusera de nuire de quelque façon que ce soit aux femmes ou aux enfants.
Si on a affaire à un homme moins intelligent, moins sensible ou vaguement misogyne le processus revêtira en apparence quelque similitudes de surfaces avec celui évoqué au dessus mais les intentions et les motivations seront d’une tout autre nature. Pour résumer les choses les femmes trop légèrement vêtues provoqueront en lui un désir qu’il ne peut assouvir à cause de la pression sociale dont il perçoit tout de même qu’elle pourrait lui causer du tord. Peut être subsiste t’il en lui quelques reliquats de valeurs ou de superstitions qui l’empêchent de lâcher la bride comme le font les riches qui lui servent de modèle. Incapable de s’en prendre à ces derniers et parfois même de comprendre pourquoi il devrait le faire il en éprouvera une forte colère de substitution à l’encontre des femmes dont il tentera d’apaiser la tension par un surcroit d’agressivité. Il insultera donc les femmes qu’il désignera comme responsables de sa souffrance et félicitera ses pairs qui sont parvenus à s’émanciper de ce qui le retient encore.
Ces hommes ne sont pas encore tout à fait irrécupérables. Il y a encore pour eux quelques portes de sortie mais ce ne sera pas chose aisée d’en faire des féministes au fait des souffrances des femmes au travers de l’histoire.
Je tiens à dire pour leur défense que les femmes ne sont pas exemptes de responsabilité. Il est nécessaire, sans jamais accepter l’inacceptable qu’elle réalisent et prennent en compte les difficultés qu’éprouvent les hommes sur ces sujets. Si elles n’en tiennent pas compte elles accroissent davantage la difficulté que ces derniers ont à progresser dans ces domaines. Ce n’est pas bien d’agir de la sorte. Néanmoins cela ne justifie en aucun cas aucune forme de violence à l’égard des femmes. Je dis bien aucune. L’homme et la femme sont censés s’aimer. Pas être des adversaires, ni des concurrents et encore moins dans une relation de prédation. Ils doivent former un binôme, une équipe basée sur une relation d’amour, de confiance, de pardon et de respect.
Il y a enfin les cyniques, les malveillants, les manipulateurs, les capables du pire, les trafiquants en d’autre terme les véritable ordures. Ceux qui ayant compris comment fonctionne vraiment la société, qui disposent de certaines aptitudes et moyens financiers et qui organisent, planifient, exploitent la chair humaine. Ils violent, kidnappent, torturent, brisent les femmes et les enfants tout en invitant les hommes à participer au carnage plutôt qu’a mettre fin à leurs crimes. Je n’ai pas de mots pour décrire ces êtres infects. Ils sont la lie de l’humanité.
Et pour ajouter a la noirceur du tableau qui comporte en réalité d’autres catégorie et se trouve être plus complexe que le résumé sommaire que je viens d’en faire il y a aussi les trafiquants qui ont été victimes avant de devenir bourreaux. Que dire les concernant… C’est d’une tristesse indescriptible.