Le grand jury d’un comté dans l’est du Texas a lancé des poursuites contre le géant du streaming vidéo pour « pornographie infantile ».
Quand on sait que les USA organisent des mini-miss … le comble.
Tu m’enlèves les mots de la bouche 
Ce ne sont pas les USA qui poursuivent Netflix mais un comté de l’Etat du Texas: ce n’est pas la même chose. Il faudrait donc savoir si cet état autorise les mini-miss. S’il les interdit, la démarche du comté est cohérente.
Le puritanisme US et son hypocrisie…
Et puis les texans ne sont pas connus pour leur grande ouverture d’esprit, n’est-ce-pas George…
Le Texas, c’est bien l’état où il existe des armes spécifiques pour les mineurs (genre 22 long rifle rose bonbon pour les filles!!)?
Mais bon, ça c’est normal!
Au final, la législation des Etats unis est plus bordélique que celle de l’Europe ; mais paradoxalement ils s’en sortent mieux que nous
Un film qui pour se vendre met en scène de façon détournée les pulsions pédophiles de certains.
Les sujets n’ont rien à voir.
Pour mettre un tel commentaire, je suppose que le film a été visionné en entier?
Je vais vraiment devoir le voir pour me faire mon idée. Même si en temps que papa le sujet « m’intéresse » d’un point de vue prévention, le film n’est pas dans mon top 30…
Si on cherche un peu sur Google, je confirme que les Texas organisent les Mini-miss.
Pour moi si, cela montre le puritanisme étasunien dans « toute sa splendeur » (laideur).
Et puis lancer une procédure sans connaître le contenu du film, montre également l’étendue de l’ouverture d’esprit.
Après en bon politicien, on ne peut pas se contredire, donc on continue parce que c’est plus simple que de prendre le temps de se faire une vraie opinion.
Je suis d’accord qu’il faut protéger les enfants, mais si « Mignonnes » est à caractère pornographique pour ce sénateur, alors les concours de mini-miss le sont tout autant.
Et là, il ne semble pas vouloir les interdire… Mais bon, ça c’est un « produit local » (commes les armes
)
Rien que la bande annonce me donne envie de vomir sur ce film.
Que le fond soit bon ou pas, la forme me dérange beaucoup.
C’est sûr et certains je ne regarderai pas ce film.
Et au passage, depuis quand on exporte notre cinéma aux USA ?
C’est nouveau aussi comme concept.
A quand mimi mathy en EV (english version)
Pour mettre tout le monde d’accord, demandez l’avis de Fourniret !
Est-ce qu’on a réellement besoin de faire un film sur le sujet pour en parler ?
À mon intime conviction, la réponse est non.
Je n’ai pas vu le film ni ne souhaite le voir et surtout je n’ai pas besoin de voir un film pour prendre conscience du problème en question.
Quand je vous des pubs mettant en scène de belles femmes blondes pulpeuse bien sexy qui font référence clairement au sexe pour vendre des voitures…
Peut-être que je mélange tout mais il n’empêche que cela est relation de l’hypersexualisation de, tout un pan, si ce n’est pas de toute la société.
Aux armes les femmes !
Sur quels critères ils s’en sortent mieux que nous ?
Texas.
Les Etats du sud, sous la « Bible Belt », et qui justement, sont les plus gros consommateurs de contenu filmé … « sous la ceinture ».
Boutade mise à part, pas certain qu’ils gagnent. Ce genre de procédure cela sent le clientélisme électoral…
La sexualisation est présente depuis un moment dans les pubs et médias. Sans parler du cinéma ou des hôtesses d’accueil dans les salons (les babes
).
Mais un adulte sexualisé (majoritairement les femmes) est déjà construit psychologiquement et sait normalement faire la part des choses. L’effet sur le long terme au niveau de la société c’est un autre sujet.
Pour les enfants c’est totalement différent et il faut les protéger de cette sexualisation.
Quand j’étais gosse une collégienne ou une lycéenne c’était une gosse. Ca se voyait. Maintenant, dans la rue, j’en croise et parfois j’ai du mal à deviner leur âge. Entre la coiffure, le maquillage, le sac à main et les accessoires, les vêtements et l’attitude corporelle tout est fait pour fausser les choses.
L’exemple du film choque à priori beaucoup de personnes qui disent que l’on a pas besoin de faire un film sur le sujet etc… Il n’empêche que depuis un bon moment maintenant les collégiennes et lycéennes quittent « visuellement » leur enfance pour tendre vers un apparence de femme alors que ce ne sont que des enfants et cela n’a pas l’air de poser spécialement problème.
Les réseaux sociaux et les séries TV n’arrangent pas les choses sur ce sujet je trouve.
J’ai visionné la bande annonce et on voit en fait 4 gamines de 11 ans qui se prennent pour des grandes. Waouh, c’est nouveau ça… Si on commence par être choqué par ce genre de représentation, alors autant creuser un trou dans le sol et y coller la tête.
Franchement, ça ne créera un émoi que chez ceux déjà passablement émoustillés par le sujet de la controverse, qui n’est d’ailleurs pas le cœur du film. Apparemment, la réalisatrice souhaite plutôt évoquer l’émancipation d’une jeune fille, face au carcan culturel / éducatif familial.
Bref, élevons le débat et laissons les chantres d’une morale nauséabonde disserter entre eux.
Je nuis pas certain que nous (hommes et femmes) ayons tous la même maturité pour être capable de fair la part des choses.
Mais c’est vrai que le problème est plus grave quand cela touche les enfants. Et cela ne touche pas que les vêtements et autres accessoires.
L’autre jour je regardais un dessin animé avec ma fille et mon fils ( moins de 12 ans tout les deux). C’était lady bug. Et ben j’ai été choqué de voir que l’héroïne était habillée avec des vêtements hyper moulants et que pendant qu’elle se transformait, ils faisaient un zoom sur son bassin devant et derrière. Pareil pour son amoureux.
Je suis pour que la sexualité soit abordée avec les enfants, mais de la à jouer avec leur désir probablement naissant, il y a un franchissement d’une ligne qui mérite qu’on se pose des questions sur la personnalité des dessinateurs / réalisateurs.
La sexualité relève pour moi de l’ordre de l’intime.
Demain ces enfants seront adulte et ils seront le produits de ce qu’on aura fait deux enfants.
Et cette question je me la pose pas depuis hier, mais depuis de nombreuses années car ce problème de la (hyper)sexualisation existe depuis très longtemps. On peut remonter à très loin dans le temps, trouvera pleins d’exemples.
La question ne correspond pas à une quelconque morale puritaine comme certains aiment à le dire. C’est surtout quelle type de société on veut.
D’un côté on (hyper)sexualisé en jouant, avec la libido des jeunes, en la banalisant en quelque sorte etc, et de l’autre côté on cherche à depuis quelques années à dire stop aux hommes et leur demande de respecter les femmes avec le mouvement des feemens et metoo entre autres.
Je peux me tromper dans mon analyse bien entendu.
Le cinéma Français est le plus importé aux USA. Et pour nous le plus gros client.
Ça n’est pas pour rien que nos plus gros acteurs tentent une carrière US quand ils sont connus la bas et bankable.
Et ça ne se limite pas aux acteurs.
Le cinéma Français est le deuxième plus gros exportateur au monde après le cinéma US.
Aux États-Unis, sur beaucoup de chaînes, les mots « fuck », « hell », ou encore « damn » sont censurés par des bips. Imaginez que « merde_ » ou « zut » soient censurés en France.
Une femme qui montre un téton, c’est presque un crime contre l’humanité dans ces régions.