Commentaires : Les ingénieurs de Tesla ont fait des progrès importants sur les batteries de nouvelle génération

En attendant le marché des gros satellites géostationnaires est toujours dominé par la vielle Ariane 5…

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Il faudrait arrêter avec ces recherches sur les batteries qui ne mènent à rien ou presque. Comment voyez vous notre avenir en voitures volantes qui tomberont en panne de batterie en l’air.
Les batteries n’ont pas d’avenir.
Mettez le paquet sur les recherches et la mise en place de stations services de l’hydrogène pour le moment voire un autre combustible propre pour l’avenir

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ma voiture thermique, une petite citadine (Toyota Yaris) a 20 ans et elle roule encore et roulera encore des années

ça représente un peu plus de 200 cycles …

d’autant qu’en thermique, la rapidité de la « recharge » à la pompe à essence, fait que tu peux attendre d’être au bout du réservoir avant de recharger alors qu’en électrique, il est non seulement recommandé de recharger bien avant mais en plus on a pas toujours le choix si on recharge chez soit

autrement dit, tes « km » sont plus que théoriques. 200 cycles, pour quelqu’un qui utilise sa voiture tous les jours, ça peut représenter un an d’utilisation

Ils n’y croyaient tellement pas qu’ils ont financé plus de la moitié du développement du Falcon 9 (plus de la moitié car il faut compter, en plus de l’argent sonnant, l’accès à tout le savoir et savoir-faire du centre Goddard) …

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C’est pas la jalousie qui va vous étouffer.

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En fait oui Simone, batteries et moteurs électriques pour équilibrer le vaisseau Starship en rentrée dans l’atmosphère. Les énormes ailerons d’acier qui garderons le ballant comme un parachutiste le fait avec ses bras et jambes. J’ai bien hâte de voir si ça va bien fonctionner!

Le marketing n’est qu’une des cordes à l’arc de musk, et pour son historique, il a réalisé de nombreux projets de grande envergure et ambitieux, qui étaient tous jugés farfelus et irréalistes par les « experts ». Je me garderais une petit gêne à ta place.

Tiens, un autre haïsseur de Musk comme on en trouve régulièrement ici.

PERSONNE ne croyait qu’il ferait atterrir ses fusées, les réutiliser commercialement. Bien différent de cette Delta Clipper expérimentale qui n’est allée nulle part. Et tous vont en fabriquer maintenant s’il veulent rester dans la course.
Lui, il le fait, plus rapidement et mieux que toute autre organisme privée ou publique.

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Et sinon pour la propulsion, tu fais comment ?

Sauf que adorateur n’est pas une insulte…par contre haïsseur (tiens, on a abandonné le mot hater ?) est à la fois méprisant…et stupide, puisqu’on part du principe que celui qui ne partage pas la même adoration est forcément quelqu’un en proie à la haine

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La NASA voulait un véhicule pour aller ravitailler la SSI. Ils se foutaient bien qu’elle soit réutilisable. Ils ont payé pour le taxi, point. Pour ton baratin sur le savoir, il vient bien plus de Musk lui-même et de ses ingénieurs choisis par lui-même. Laisser entendre qu’il a dû se référer au centre Goddard pour y arriver est de la mauvaise foi. Il construisait ses propres fusées à l’âge de 15 ans, et comme sa Falcon 1 avait réussi à atteindre l’orbite, SpaceX a appliquer et remporté le concours, comme n’importe quel sous-traitant qualifié.

Voici un témoignage éloquent tiré de la biographie de Musk, par Ashley Vance :

Musk s’est affirmé comme chef d’entreprise et expert en fusées au fur et à mesure que SpaceX parvenait à l’âge adulte. Aux premiers temps de la Falcon 1, c’était un énergique dirigeant venu du secteur du logiciel qui tentait de s’initier à un monde très différent. Chez Zip2 et PayPal, il n’avait eu aucun mal à faire valoir ses positions et à diriger des équipes de programmeurs.
Chez SpaceX, il lui fallut apprendre sur le tas. L’essentiel de ses connaissances en fusées lui vint d’abord de la lecture de manuels. Puis, quand SpaceX multiplia les embauches de brillants éléments, il se dit qu’il pourrait faire appel à leur savoir. Il avisait un ingénieur dans son usine et le cuisinait sur un type de soupape ou un matériau spécialisé.

«J’ai d’abord cru qu’il me mettait à l’épreuve pour voir si je connaissais mon affaire», raconte Kevin Brogan (24 ans à la NASA), l’un des premiers ingénieurs. «Puis j’ai réalisé qu’il cherchait à apprendre. Il vous bombardait de questions jusqu’à ce qu’il ait appris 90% de ce que vous saviez.» Les gens qui ont passé un certain temps avec Musk témoigneront de sa capacité à absorber des quantités incroyables d’informations et à les restituer presque infailliblement.
C’est l’une de ses qualités les plus impressionnantes et les plus intimidantes, et elle semble fonctionner aussi bien maintenant que du temps où, enfant, son cerveau était un aspirateur à livres. Au bout de deux ans à la tête de SpaceX, Musk était devenu un expert en aérospatial à un niveau que peu de PDG des secteurs technologiques parviennent à approcher dans leur domaine. «Il nous apprenait la valeur du temps et nous lui apprenions les fusées», résume Brogan.

Ha! Ha! Ha! ils élèvent des hamsters, beaucoup beaucoup de hamsters à Boca Chica!

Devant une telle éloquence, je reste sans voix… :roll_eyes:

L’espoir fait vivre, ça c’est sûr Arthur !

EDIT: Quand bien même les batteries seraient gratuites, ça ne change rien sur l’impact écologique de cette solution. Ce n’est pas parce que la Terre n’est pas plate mais ronde que ses ressources sont illimitées et qu’on peut la presser comme un citron. Bah tant qu’il y a du jus qui coule, pourquoi s’en priver? Des molécules d’hydrogène, il y en aura encore sur Terre et dans l’univers bien après la fin de l’humanité. Ben oui, on est pas éternels hein, les dinosaures en savent quelques chose.

Alors quand je lis que le H2 n’est pas viable pour les voitures…

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Tiens Simone, instruis toi.

Attention, ça finit par rendre sourd il paraît… :sweat_smile:

EDIT: Super…, 150 mètres, ben c’est toujours ça de gagné pour aller sur Mars.

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Je ne savais pas que donner son avis même ci celui-ci est en faveur d’une personne approuve le fait d’être un adorateur envers celle-ci.

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Pas vraiment, un cycle est défini comme une recharge complète de la batterie. Si tu ne recharges que 10% tous les jours, c’est 0,1 cycles par jours consommé. Pour consommer 200 cycles en tesla model 3 de 400km d’autonomie, il faut donc faire environ 80.000 km.

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En lisant la majorité des commentaires :
Donc il vaut mieux ne rien faire ? Ne pas continuer à chercher ?
Dommage…

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L,Hydrogène a beau être abondant, il faut le rendre utilisable, et la façon utilisée à 95% et la plus économique est par la reformation du MÉTHANE et le produit résiduel de la réaction est … du CO²
Les seuls qui ont intérêts à pousser l’hydrogène sont les hydrocarburiens fossiles qui font tout en leur pouvoir pour nuire aux électriques, qui sont fatales aux archaïques moteurs thermiques.

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En effet, c’est bien pour cette raison qu’il faut continuer à chercher pour répondre indirectement au commentaire plus haut, mais dans la bonne direction.

Tu es au courant (jeu de mots) qu’un VH c’est aussi un véhicule électrique au moins?

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cette biographie a l’air assez dithyrambique, je comprends mieux pourquoi tu l’admires autant

il faut surtout arrêter de donner des faux espoirs aux gens en parlant de recherches qui en sont à des stades trop précoces et qui échoueront dans 90% des cas

recréer la confiance, ça commence par là, justement. Quand je vois que ça fait dix, vingt ans qu’on promet ci ou ça, et qu’on se rend compte à chaque fois que meeh, ça marche pas. Mais c’est encore pire aujourd’hui qu’hier avec internet

cela dit, le méthane est un gaz à effet de serre beaucoup plus puissant que le CO2

il y a des décharges où on brule le méthane pour le transformer et on crée du CO2 parce que c’est moins nocif. Il serait plus intelligent de récupérer ces gaz et d’en faire de l’hydrogène, comme une source parmi d’autres d’H2

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