Le nouveau télescope solaire Daniel K. Inouye, à Hawaï, est à présent pleinement opérationnel. Les équipes ont célébré l’occasion avec plusieurs nouvelles images de notre étoile et de sa chromosphère. Une première, avec une résolution inédite… et une nouvelle opportunité de mieux comprendre le Soleil !
C’est beau les courants de vent solaire, cette fournaise nous donne la vie, de l’énergie et nous illumine de sa précieuse lumière, quand maitriserons nous cette boule d’énergie?
Jolie moquette
Je crois qu’il faut lui foutre la paix à cette boule d’énergie. Doués comme nous le sommes, nous autres humains, on risque de la dérégler en moins de temps qu’il faut pour le dire.
Bon ok ils ont payé quelques millions pour construire le jouet pour voir des morceau de moquettes dechiré ? ca fait chere payé, y’avait pas mieux à faire avec ce pognion ?
La photo d’illustration de l’article, on dirait de la moquette.
Après la cuisine, la moquette ?
Tient donc le soleil aurait attrapé des coups de soleil ?
En tout cas c’est un véritable océan de feu
Inoui!
Elon Musk a du certainement fumer la moquette pour voir des galaxies sur sa table de cuisinne : - }
Cool, on manquait d’images du cosmos ^^
Si c’est comme l’autre super télescope dont on a commencé à voir des photos cet été : moins de dix photos en deux mois : on ne peut pas dire qu’il soit surexploité …
même remarque : on nous annonce monts et merveilles, on voit une image, mais impossible de savoir où on peut en voir beaucoup plus et en taille respectable… le site de la Nasa renvoie à une chaîne télé … au niveau de la communication vers le grand public, tout reste à faire…
Le soleil est une boule d’hydrogène qui brûle sous l’effet de la gravité en émettant une énergie colossale qui permettrais à notre civilisation de faire le plein d’énergie pour nos besoins gigantesques, si et seulement si on pouvais la capter et l’utiliser.
Cette énergie est émise en pure perte pour nous, pour 4.5 milliards d’années le soleil continueras à déverser cette énergie naturelle et verte, d’ailleurs en SF une civilisation qui arriverais à se servir de cette énergie, serait une civilisation de type 1, la nôtre est de type 0. Et le plus beau c’est que cette énergie est perdue, en arrivant à la capter (et on ne toucherait pas au soleil) on résoudrait tout les problèmes d’énergie du monde entier.
Sans vouloir faire mon trop pointilleux, la légende parle d’une image à 486,13 nanomètres. je ne sais pas à quoi correspond cette mesure, mais ça ne semble pas être en raccord avec la référence de la photo qui est la Terre. A moins que je confonde, auquel cas mon commentaire n’a pas lieu d’être.
« Quand maitriserons-nous cette boule d’énergie ? »
Jamais. La proportion entre la Terre et le Soleil, c’est à la grosse louche la tête d’épingle en verre coloré et le ballon de foot.
« Le soleil est une boule d’hydrogène qui brûle sous l’effet de la gravité »
Euh… Non ! ou alors c’est mal exprimé. Le Soleil transmute les éléments par plusieurs mécanismes nucléaires complexes. Il ne « brûle » pas au sens propre. Ces mécanismes nucléaires sont possibles grâce aux températures extrêmes du noyau dont la source est en effet l’effondrement gravitationnel.
Mais ce qui émet de l’énergie, c’est bien cette transmutation des éléments en éléments plus lourd.
Elon Musk vends des panneaux solaires.
Merci pour ce commentaire d’une intelligence lumineuse.
De manière générale, concernant les questions d’imageries :
il y a assez peu d’images exceptionnelles, car en fait l’imagerie scientifique exploitée est peu remarquable et intéressante pour le grand public.
La plupart du temps, ce qu’on nous transmet est colorisé et travaillé afin d’être visuellement acceptable pour Messieurs et Mesdames « tout le monde » (par exemple, l’imagerie de Mars).
Hubble sortait partiellement des images en lumière visible.
Dans le cas de Webb, comme en radio astronomie, les images se focalisent sur d’autres longueurs d’onde, bien plus intéressantes scientifiquement, mais bien moins spectaculaires et compréhensibles.
On le voit d’ailleurs avec le James Webb, pour lequel on découvre souvent des mix entre l’image visible et d’autres longueurs d’onde, afin qu’on puisse se faire une idée et au passage « trouver ça joli ».
Ici, pour le solaire c’est encore d’autres longueurs d’onde ou des images filtrées qui permettent d’obtenir un résultat « intéressant ».
Ça reste bien sûr extraordinaire !