J’ai vu de nombreux films de science-fiction. Je me souviens très bien des bons, surtout à cause du scénario et nettement en second plan grâce aux décors ou effets spéciaux. Avec stupéfaction, je viens de me rendre compte de n’avoir aucun souvenir du scénario d’Avatar 1 !!! J’avais plutôt apprécié le film mais il ne m’en reste que quelques images et rien de plus. Alors, si l’histoire racontée par Avatar 2 est minimaliste, ce n’est plus un film mais un documentaire !! et je crois que je vais rester chez moi. C’est un peu comme un feu d’artifice: c’est beau et … c’est beau …mais quelques minutes plus tard…ben on a peu de choses à raconter pour le décrire…alors BOF!!
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C’est un film spectacle, une attraction. Le scenario est important et je comprend, mais là c’est une oeuvre qui mise tout sur le visuel. Sinon bah c’est pocahontas au pays des schtroumps…
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Il y a des alternatives: le VOD et le BR. C’est juste la société de consommation qui se fait prendre à son propre jeu: tout, tout de suite…
Le problème ne vient absolument pas des mesure Covid. La même aurait pu âtre fait avec les cartes bleues utilisées pour payer les places, les cartes d’abonnements ciné ou les téléphones qui ont borné au cinéma. Toutes les technologies qui nous entourent ont les mêmes risques, je ne comprends pas pourquoi mes gens se réveillent maintenant, le Covid a peut-être eu ça de bon…
Il ne faut pas se leurrer, Avatar II n’est rien d’autre que 3h d’immersion dans un aquarium sympa, on l’a tous compris
le scénario tient sur une feuille de PQ et se résume à « des méchant vont être méchant avec des gentils », point barre.
Cameron a inventé un nouveau genre : le film qu’on va voir pour les décors. Vu le nombre d’entrée, c’est un concept qui semble fonctionner.
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Et peut-être aussi que la majorité des gens n’est pas si blasée et revenue de tout qu’elle n’est plus capable de tirer le moindre plaisir de quoi que ce soit ? 
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Fort possible aussi. ^^
C’est même quelque chose qui semble s’être accéléré à un point où ça devient pénible de lire des « critiques », car on en vient à critiquer des séries par épisode, ce qui parfois revient à critiquer un livre page par page… donc n’a aucun sens, car une oeuvre est à prendre dans son ensemble.
Un passage en retrait permet de mettre en valeur le passage suivant. Parfois c’est volontaire (un moment de calme avant un moment de tempête, un moment de construction avant un moment de résolution, etc.).
Le plus drôle étant ceux qui descendent le premier épisode… puis continuent à regarder pour descendre les autres ^^
Perso si j’accroche pas au premier épisode, je ne m’inflige pas la suite, sauf éventuellement si des personnes de confiance m’ont dit que ça s’améliore nettement par la suite.
La même. 
Il faut laisser le temps aux choses de se construire.
Mais notre génération du « tout tout de suite, à 3293 %, à chaque seconde » oublie complètement qu’il y a besoin d’alternance de moments pour créer des moments magistraux qu’on retiendra des générations plus tard.
Sinon ce n’est que surenchère et on ne retient rien, au final.
Mais bon, la critique faisant des vues, faudrait pas rater l’occasion de critiquer la page 283 du livre quand même ! En plus, y’a un oubli de virgule, incroyable ! « Vous ne devinerez jamais à quelle ligne !?! ». 
Tout à fait, la mode est au « je n’ai pas vu le film, mais c’est une daube ». 
Idem. Il m’arrive parfois d’en regarder un deuxième et même un troisième, histoire de voir si ça s’améliore ensuite. Mais si ce n’est pas le cas, je laisse tomber. ^^
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Un exploit en soi. 