Donc je viens de lire ce lien, dont tu ne cites que des partie très partielles et pas représentatives du sujet.
Donc déjà le système « chambrin » ne me semble avoir aucun rapport avec le « pantone ».
Et, je cite le paragraphe complet :
« Il y a deux parties dans ce moteur. L’une est mécanique, l’autre électronique. La partie mécanique c’est une chambre de cracking du type marmite de Séguin. La partie électronique, la deuxième, et celle dans laquelle on envoie une très haute tension, plusieurs kilovolts sous quelques pico-ampères (pico : préfixe qui placé devant le nom d’une unité la divise par un billion, soit 1012, ndlr) et sous haute fréquence. Le principe est celui-ci : vous savez que l’eau se « crack », se transforme en oxygène et hydrogène vers 2000 à 2300°C. Il faut donc abaisser cette température à l’aide d’éléments soit physiques, c’est le cas du choix que nous avons fait, soit chimiques, c’est le cas du système employé dans les futurs réacteurs à très hautes température, ou à l’aide de quatre à cinq réactions à 730 ou à 1050°C on provoquera le cracking de l’eau, pour récupérer l’hydrogène et l’oxygène »
Je ne vois rien de magique ici.
Peut-être avait-il trouvé une manière de cracker l’eau a plus basse température que 2300°C (au passage si tu tombes sur un incendie qui atteint cette température je te déconseille d’y mettre de l’eau dessus…), peut-être pas.
Il est mort, comme d’autres inventeurs de génie ou non en leur temps, ridiculisé et pauvre.
Tiens un autre lien que j’ai trouvé, plus complet sur son interview apparemment (si tu peux mettre de côté les commentaires de « René »…) : https://www.energythic.com/view.php?node=273
Une chose m’interroge ici : c’est quoi une « marmite de Séguin », impossible de trouver une source/description.
PS : bon sinon j’avoue que ça peut prêter à controverse voir même à rire vu l’histoire, et le « dénouement ».

(il répondais à mon message; je ne peux vous envoyer de MP donc je réponds ici)