« Je vous parle d’un temps que les moins de [cinquante] ans ne peuvent pas connaître »…
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Merdoum, je suis si vieux que ça ? …
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Le bus dit « ISA » est apparu plus tard avec le PC-AT (à base de 80286). C’est un bus (à données)16 bits contrairement au premier bus des PC qui est 8 bits !
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PC = Personal Computer, donc clairement non l’IBM 5150 ne fut pas le premier PC…
hé ouais! c’est ce que me suis dit aussi 
Non, le ISA en 8 bits est bien le bus du 5150, décrit dans les doc.
La force de l’IBM PC, c’était d’avoir ouvert les specs pour que « n’importe qui » puisse en faire des clones.
IBM a ensuite tenté de casser le PC quand les clones se sont vendus finalement mieux que les IBM.
J ai pas encore 50 ans mais j ai connu l ibm, c était la Rolls des pc, y avait aussi le zx spectrum qui me faisait de l œil, l amstrad, et le commodore 64 que j ai eu en cadeau, l Alice 32, le mini pc de l époque, que de bons souvenirs avec le balbutiement de la programmation et des jeux.
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J’en ai eu un 
Pour les spec, il y avait aussi un disque dur 2U de 9.8 Mo une fois formaté. ( 2h pour le formatage).
A lui seul le disque dur était plus lourds qu’un 17" d’aujourd’hui.
A 26 000 F l’unité en 1981 c’est sur que ce n’était pas à la portée du foyer lambda mais il s’agit bien, d’après IBM, d’un Personal Computer !
http://digitize.textfiles.com/items/1982-ibm-personal-computer
Pour ma part, en 1981 j’ai juste pu me payer le ZX81 … en kit pour 990 F 
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La vieillesse c’est dans la tête…
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« Compte tenu de l’érosion monétaire due à l’inflation, le pouvoir d’achat de 26 000,00 Francs en 1981 est donc le même que celui de 9 993,15 Euros en 2020. »
en effet c’était pas pour tous le monde 
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Le disque dur m’est apparu qu’en 1983 avec l’IBM 5160 (avec DD de 5Mo !)
cf IBM XT — Wikipédia
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C’est à peu près le modèle que j’ai eu en 1984, le IBM PC XT double lecteur de disquettes 5’1/4, et sans disque dur, écran CGA avec genre 4 couleurs en mode 320x200. pas de souris. Pas de disque dur, parce que l’option d’un DD de 10Mo, était encore trop inaccessible.
Le boitier pèse quasiment 15kg, c’était du super solide, tout comme le clavier.
Le PC au départ était réservé aux entreprises, l’idée était que le cadre puisse se débrouiller un minimum sans l’assistance d’une secrétaire.
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Mon banquier ne souhaitait pas que je dépense une telle somme. J’ai donc attendu 1986 pour avoir mieux, moins cher et surtout 256 couleurs sur mon écran (une révolution)
aha…j’ai encore codé sur ce truc. Increvable et jamais eu d’écran bleu genre BSOD…lol.
On n’a pas les même souvenirs.
Il n’apportait pas grand chose à un Apple 3.
Quand IBM sort son PC, les processeurs 16 bits existent déjà : le Motorola 68000 sort en 1979. Bill Gates essaiera de convaincre IBM d’adopter cette technologie (16 bits, pas forcement le Motorola), en vain.
Quasiment en même temps, le japonais Sord sortait ça (j’ai travaillé dessus avant de travailler sur un PC)
https://www.old-computers.com/museum/computer.asp?st=1&c=218
Sord M68 : 16 bits, écran 256 couleurs, 256Ko de Ram
Quand j’ai du passer sur le PC qui était devenu le standard incontournable, j’ai pleuré.
Il fut bien le premier Personal Computer, même s’il n’était pas le premier ordinateur personnel.
Personal Computer, abrégé PC, était la marque déposée utilisée par IBM pour ses ordinateurs à partir de 1981 (ce qu’on appelle « PC » aujourd’hui est en fait un « compatible PC »).
On a peut être pas les mêmes souvenirs, mais moi j ai pas pleuré hh, depuis le début, j était allergique au macintosh réservé au ultra riche ( système fermé) comme c est toujours le cas des produits de la pomme qui n est d ailleurs pas fraiche puisque déjà croquée hh, sinon pour la puissance c était pas nécessaire a l époque, la preuve le pc est de nos jours toujours présent et a conquis le monde.
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IBM n’a rien ouvert du tout, ils ont surtout fait une erreur industrielle énorme… Ils ont fait leur PC uniquement avec des composants standards disponibles chez différents fournisseurs, ce qui a permis de le copier très facilement.
Le seul élément qui n’était pas copiable, c’était le BIOS, donc l’interface entre l’OS/les logiciels et le matériel. Mais à l’époque cette interface était tellement simple qu’il a été possible de la cloner par rétro-ingénieurie, ce qui était parfaitement légal.
Des fabricants tiers ont ainsi pu faire des machines capable d’exécuter les OS et logiciels prévus pour le IBM PC.
Et comme IBM avait confié l’OS à Microsoft, sans contrat d’exclusivité, Microsoft s’est empressé de commercialiser MS-DOS, une version de PC-DOS destinée aux clones (MS-DOS ne différant de PC-DOS que par le nom de deux fichiers, dont le nom contient « IBM » dans PC-DOS, ce qui ne pouvait pas être conservé dans MS-DOS puisqu’il s’agit d’une marque déposée).
Quand IBM s’est rendu compte de sa connerie, ils ont lancé une nouvelle architecture, le PS/2, et avec cette fois un OS réservé à ses machines (OS/2) ou à celle de constructeurs ayant pris une licence chez IBM. Mais c’était déjà trop tard, une dizaine de fabricants de clones se sont regroupés pour concevoir de leur côté une nouvelle architecture ouverte (EISA), et c’est elle qui a gagné même si elle n’a quasiment pas été adoptée en pratique…
Mais elle était compatible avec l’architecture ISA, qui a perduré dans les machines du groupe EISA, avant d’être supplanté par le PCI, qui a en quelque sorte marqué le changement de main sur l’évolution des standards : ce sont les fabricants de CPU, Intel en tête, qui ont pris la main sur les standard, à la place des fabricants d’ordinateurs, qui se sont de plus en plus cantonnés à un rôle d’intégrateurs, même si les plus gros restaient tout de même impliqué en second plan dans l’élaboration des normes.
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Le première ordinateur quand j’avais 15 ans à l’école, je le voyais et le touchais c’était un ATARI , A la belle révolutionnaire de la belle époque !!