Commentaires : Le minage de cryptomonnaies participe au réchauffement climatique

c’est ce qu’un adepte d’un état contrôleur, peu regardant sur les libertés individuelles dirait! la proposition du bitcoin est un monde plus libre, et une consommation capitaliste responsable et long termiste.

il est possible de miner sans polluer. mais oui vous avez raison, dans les faits, c’est probablement différent et n’arrivera pas spontanément. cela dit, si vous avez connaissance d’une idée qui présente un meilleur compromis pour les libertés, l’avancée technologique, et la réduction du gaspillage, il faut la partager.

Consommation responsable et long termiste :upside_down_face:

Une techno dont la consommation énergétique est si énorme en relation avec le faible nombre de personnes qu’elle « sert » et sa blockchain qui fait déjà 250 GB va droit dans le mur…

C’est le « proof of work » qu’il faut éliminer. Encore si le « work » servait à quelque chose comme faire du calcul distribué pour des projets scientifiques… Il faut que le BTC meurt pour que les gens se tournent vers les monnaies moins énergivores basées sur le « proof of stake » par exemple.

Bonjour Kroman, je trouve ton commentaire assé pauvre dans son argumentation…
Sacrifier une merveille d’architecture logicielle apportant une confiance tangible pour de la confiance dans une oligarchie (en PoS)… autant ne rien changer alors… et lorsque ce n’est pas possible à cause de la PoW une marche arrière et modifier l’histoire du style un fork… (troll « ETH/ETC »).
Tu n’as aucune idée du nombre de personne à qui elle « sert ». (ni même le potentiel de personne).
Le protocole n’est pas figé. Des améliorations se font chaque année (le sharding permettrait sans problème de stocker et partager une Blockchain de plusieurs TB.)
Quand tu aura un réseau PoS capable de sécuriser plus de 100 milliard de $ de valorisation on en reparlera… :wink: (je serrai des 1er à vérifier et valider ou invalider le niveau de sécurisation…)
Le « Work » sert à la sécurisation du protocole, je doute que tu l’ignorais car j’en ai parlé dans un commentaire précédant… C’est une composante essentiel à la confiance donc à l’adoption d’une pratique.
« du calcul distribué pour des projets scientifiques » très bonne idée, mais l’un n’empêche pas l’autre. Aujourd’hui tu doit faire confiance à un tiers pour le faire. Un projet peut officiellement utiliser ta puissance de calcule pour de la recherche scientifique ou tout autre raison sans que tu puisse le vérifier.
Avec des techno comme MAST, Taproot il serra tout à fait possible de le faire grâce à Bitcoin.
Tu ne peux rien faire sans faire un minimum confiance ne serrait-ce qu’en l’air que tu respire bien qu’elle soit potentiellement polluée et toxique.
Je préfère faire confiance à un protocole dont je peux vérifier formellement sa bonne exécution.

On va droit dans le mur quand on fait aveuglément confiance en une entité sensé nous guider mais qui ne maitrise absolument pas son cap… Lorsque ces mêmes entités, par leurs actes nous donne des raisons légitimes de douter, il est normal de ne plus avoir confiance et vouloir vérifier… Don’t trust, verify!

Liberté? liberté de trader oui surement… Tout ce que veulent faire les détenteurs de bitcoin et des autres cryptomonnaies ce sont des profits en DOLLARS ou en EUROS, profits qu’ils transféreront sur leur compte en BANQUE. Tout le reste, liberté machin chose c’est juste bullshit et une belle hypocrisie surtout depuis que Wall Street est entré dedans…

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vous découvrez la cupidité humaine mais ce n’est pas nouveau, et cela ne rejette pas l’idéologie de ceux qui veulent que le bitcoin réussisse à des fins de libertés individuelles. le bitcoin reste un projet capitaliste.

Cryptodamages, les effets secondaires des monnaies virtuelles.
(valeur monétaire de la pollution atmosphérique et des impacts sur la santé humaine de l’exploitation minière des crypto-monnaies https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2214629619302701?via%3Dihub)

Merci, joli débat, la dématérialisation allège-t-elle la charge ?

La charge carbone, si nous voulions être précis, un dernier chiffrage de celle-ci vient d’être publié : https://www.climate-transparency.org/g20-climate-performance/g20report2019#1531904804037-423d5c88-a7a7.
Suivant ces données, la production d’électricité est d’origine mine de charbon pour 67% en Chine, 28% aux US, 2% en France. Et la mine, depuis plus d’un siècle, symbole de la lutte pour le droit à la santé, à la sécurité, à la survie.

Ce type d’étude se multiplie, le progrès, l’avenir qu’il nous réserve, sont sans perspectives.

Le propos apporte réflexion, il est vrai. Une demande en électricité non négligeable du processeur haute fréquence pour algorithmie pointue se généralisant.
Pour la data, Google et Microsoft se prétende neutre en Carbone pour leurs serveurs. Les processeurs formant localement ces chaines de valorisation sont sur le réseau mondial de l’électron et le poids Carbone d’un électron passe de 1 à 10 suivant sa localisation, si l’électron reste indéterminable de toute position dans le champ Masse-Energie-Espace-Temps de l’Univers observable depuis 13.7 milliards d’années.
Oui, un électron peut en peser 10 sans rien dire à personne, sans bureau de douane, régler en bitcoin avec son smartphone sa facture d’électricité se réalise par une cheminée de centrale ruinant les poumons de millions de Pékinois par le Parisien à prise de courant nucléaire.

Ce que ne chiffre pas ce type d’approche est le différentiel entre le bitcoin et le billet de banque, les coûts en fabrication, transport, mise à disposition et rebut, le bilan Carbone et particules fines de ces sereins billets, sonnant et trébuchant, loin de toute virtualité.

L’astuce argumentaire de ces chiffrages est l’allégorie: « in December 2018, our results illustrate a case (for Bitcoin) where the health and climate change “cryptodamages” roughly match each $1 of coin value created. » [nos résultats illustrent un cas ( Bitcoin) où les « cryptodamages » de santé et de changement climatique correspondent à peu près à chaque dollar de valeur créée].
Ainsi, une comparaison absurde devient slogan, le « prix » d’une vie, le « prix » d’une contre-valeur monétaire, même chiffre, même valeur, même loi !!!

La monnaie s’est crée puis imposée comme outil de partage par la virtualité de sa valeur. Cela ne vaut rien, un dollar, c’est virtuel. Regardons Lehman Brothers, 1ère richesse mondiale un jour, rien le lendemain, par la magie d’un processeur, d’un algorithme de valorisation. Pour combien d’électrons ? De co2 ? d’énergie-masse ?

L’article est une belle occasion manquée, je pense que le journaliste ne savait pas ou se situait l’énorme aberration du Bitcoin et de sa proof-of-work, qui est le moyen le plus absurde de consommer de l’énergie.

Le problème spécifique du minage de la blockchain du Bitcoin (il existe heureusement d’autres preuves d’unicité que la POW du bitcoin) est que des milliers de serveurs sont en COMPETITION. ils ne se partagent pas la tâche, ils ne la répartissent pas, ils la font tous, et la refont, des milliers de fois jusqu’à ce que la solution la plus élégante* dans un temps imparti soit trouvée.

ça permet d’être sûr d’élire le dernier maillon reconnu de tous les autres compétiteurs, qui devient unique. de ce fait, miner un bitcoin peut couter 1000 à 10 000 fois plus d’énergie, de matériel, de ressources que nécessaire pour obtenir une solution valable pour chaque maillon.

La conséquence finale de la preuve de-de-travail, c’est que celui qui a le plus de machines, le plus de puissance et le plus d’électricité la moins chère possible (donc carbonée) ne fournit pas PLUS de bitcoin (le débit de production est constant) , il a juste plus de chance d’emporter la mise, car ils se voit rémunéré son élection … en bitcoin.

vous trouvez ça trop dingue pour être vrai ? tapez bitcoin proof-of-work dans google.

  • par élégance, on comprend un « hash » du dernier maillon de la chaine, comprenant par hasard statistique, le plus grand nombre de zéro à la suite. c’est totalement arbitraire. pour y arriver il faut « hasher » un nombre inconsidéré de fois.
    mais TOUS les hash « non élégants » étaient bien TOUS VALABLES. on les a simplement rejetés car « moins élégants » que celui des compétiteurs

Sincèrement je ne comprends pas trop ça ou plus clairement je ne vois pas le rapport entre monnaie dite virtuelle et environnement ?! A moins que les ondes provoquées sont comptabilisées euh :thinking:

J’ai trouvé un bon site qui explique tout sur les dérivés en Finances https://libertex.com/fr/blog/que-sont-les-derives-en-finance