On disait exactement la même chose d’Internet dans les années 90. En 1994, Bill Gates se faisait même ridiculiser sur une chaine de grande audience aux USA. On lui disait qu’Internet ne servait à rien. La radio, les magasines et la poste faisaient déjà tout ce que faisait Internet à ce moment-là. Un prix Nobel d’économie, Paul Krugman, avait même dit… en 2005 que « l’impact d’Internet ne serait pas plus grand que celui du fax ».
Ce n’est pas parce que tu ne comprends pas que tu as raison.
Prétendre savoir avec certitude ce qu’il se passera demain te fera plus passer pour un idiot qu’autre chose. Avec mes recherches, je suis confiant dans le succès de Bitcoin mais je ne peux pas le savoir avec certitude.
Encore une fois, Seul l’avenir nous dira qui avait vu juste.
Lol.
il n’y a rien de compliqué dans ce que j’ai écrit, déjà c’est conditionnel, ensuite c’est « probablement » originaire d’ une stratégie américaine.
Psssst. J’ai demandé a Chat GPT.
Non, le Bitcoin n’est pas une pyramide de Ponzi. Une pyramide de Ponzi est un type de fraude où les rendements des premiers investisseurs sont payés avec l’argent des nouveaux investisseurs, sans réelle activité économique derrière pour générer des profits. Elle repose uniquement sur le recrutement constant de nouveaux participants pour maintenir les paiements.
Le Bitcoin, en revanche, est une crypto-monnaie décentralisée basée sur la technologie de la blockchain. Il s’agit d’un actif numérique qui n’est pas contrôlé par une autorité centrale et qui permet des transactions directes entre utilisateurs. Le prix du Bitcoin est déterminé par l’offre et la demande sur le marché, et non par un schéma pyramidal où de nouveaux entrants doivent financer les anciens participants.
heu … je comprends que vous ne comprenez rien !
L’offre et la demande gère deja la majorité des produits dans le monde.
un tableau, une carotte, un litre d’eau, de l’or, une habitation ! Certains sont vitales et d’autres non.
moi j’ai acheté a 50€, depuis ca ne fait que monter !
Ok… et en quoi est-ce que cela ne s’applique pas au Bitcoin ?
Bien-sûr que si puisqu’au moment où le haut de la pyramide va vouloir récupérer ses gains il n’y aura plus d’argent pour les derniers. Le Bitcoin ne vaut pas le prix indiqué par le cours, il vaut ce que tu arriveras à en tirer au moment où tu voudras le vendre.
Aie aie aie…
Dans une pyramide de Ponzi, la valeur de l’investissement n’est pas réelle et repose uniquement sur un recrutement continu de nouveaux participants. Quand il n’y a plus de nouveaux entrants, le système s’effondre, car il n’y a pas d’autre mécanisme pour générer de la valeur.
Le prix du Bitcoin, quant à lui, est déterminé sur des marchés ouverts, selon les principes de l’offre et de la demande. Sa valeur fluctue en fonction de la confiance des utilisateurs, des investisseurs, des facteurs économiques, et des développements technologiques. S’il est vrai que les spéculateurs peuvent entraîner une volatilité des prix, cela est différent du mécanisme frauduleux d’une pyramide de Ponzi, où il n’y a aucune réelle valeur sous-jacente.
Une pyramide de Ponzi n’a pas de but ou d’utilité autre que de redistribuer les fonds des nouveaux entrants aux anciens participants. En revanche, le Bitcoin est une technologie fonctionnelle, utilisée pour réaliser des transactions financières sécurisées et décentralisées. Il a plusieurs cas d’utilisation concrets, comme les transferts internationaux, l’épargne en dehors des systèmes bancaires traditionnels, et les paiements dans des pays où la monnaie locale est instable.
Le Bitcoin n’est pas un simple mécanisme pour attirer des fonds ; c’est une monnaie numérique avec une infrastructure technologique (la blockchain) qui permet aux utilisateurs d’envoyer et de recevoir des fonds sans passer par des intermédiaires comme les banques.
Dans une pyramide de Ponzi, le système finit par s’effondrer lorsque le flux de nouveaux entrants se tarit, car il n’y a pas de réelle activité génératrice de valeur pour supporter les paiements promis.
Le Bitcoin existe depuis 2009 et, bien qu’il ait traversé des périodes de forte volatilité, il n’a jamais subi d’effondrement systémique typique d’une pyramide de Ponzi. Sa valeur a fluctué, mais elle repose sur la confiance des utilisateurs et l’évolution du marché, non sur un mécanisme de redistribution.
Dans un schéma de Ponzi, il y a une pression ou une obligation implicite de recruter de nouveaux participants pour maintenir les rendements. Sans cela, le système s’effondre.
Avec le Bitcoin, il n’y a aucune obligation de recrutement. N’importe qui peut entrer ou sortir du marché, acheter ou vendre, sans affecter la structure sous-jacente du Bitcoin. Le réseau ne repose pas sur le nombre de participants pour continuer à fonctionner, et la blockchain continuera de valider les transactions, indépendamment du nombre de nouveaux utilisateurs ou du prix du Bitcoin.
La valeur du Bitcoin n’a pas de valeur réelle et repose uniquement sur le recrutement continu de nouveaux participants. Ces nouveaux participants sont recrutés sur les plateformes permettant d’échanger cette valeur fictive contre de l’argent réel. Tu retires ces plateformes, le Bitcoin n’a plus de valeur réelle. Et ne me fais pas le coup du « le Bitcoin est une monnaie d’échange ». Quasiment personne n’utilise le Bitcoin pour des paiement légaux, et quand c’est fait c’est uniquement parce qu’il peut ensuite être échangé contre de l’argent via ces plateformes d’échanges. Tu retires les plateformes, plus aucun paiement ne se fera en Bitcoin nulle part, car sa valeur est entièrement fictive.
Tu soulèves un point valable : le Bitcoin, comme tout actif spéculatif, vaut ce que les gens sont prêts à payer pour l’acquérir. C’est vrai pour de nombreux actifs, comme l’or, les actions en bourse, l’immobilier, ou même des œuvres d’art. Ce mécanisme est très différent d’une pyramide de Ponzi, où la valeur est gonflée artificiellement par des promesses de rendements garantis financés uniquement par l’argent des nouveaux entrants.
Le prix du Bitcoin reflète les forces du marché. S’il est vrai que la valeur peut fluctuer de manière importante, cela ne signifie pas qu’il s’agit d’un schéma frauduleux. Il s’agit d’un marché libre, où des acheteurs et des vendeurs interagissent. Dans une pyramide de Ponzi, il n’y a pas de véritable marché libre : les rendements sont distribués de manière centralisée et frauduleuse.
Dans un schéma de Ponzi, il y a une promesse explicite de retour sur investissement. Les premiers investisseurs sont payés avec l’argent des nouveaux entrants, et le cycle doit continuer jusqu’à ce que le système s’effondre.
Le Bitcoin, en revanche, ne promet aucun rendement. Il n’y a aucune entité centrale qui garantit que tu pourras récupérer un certain montant ou un certain pourcentage de profit. Le marché peut monter, il peut descendre, mais cela dépend de l’offre et de la demande, comme n’importe quel autre actif financier. Ceux qui investissent dans le Bitcoin ne sont pas assurés d’un rendement : c’est un pari sur l’évolution de la valeur, basé sur la perception du marché.
Un schéma de Ponzi s’effondre lorsque les nouveaux entrants ne suffisent plus à payer les anciens. Le Bitcoin, quant à lui, n’a pas besoin d’un afflux constant de nouveaux acheteurs pour fonctionner. Les transactions sur le réseau Bitcoin continueront à être validées même s’il n’y a pas d’afflux massif de nouveaux utilisateurs. La technologie sous-jacente, la blockchain, continuera de fonctionner. Ce n’est pas un système qui repose sur le recrutement ou l’ajout constant de nouveaux investisseurs pour survivre.
La comparaison avec une pyramide de Ponzi part du principe que le Bitcoin n’a pas de valeur intrinsèque et qu’il repose sur des entrants toujours plus nombreux. Certes, le Bitcoin peut être spéculatif et sa valeur peut fluctuer de manière importante, mais il a des cas d’utilisation concrets : il est utilisé comme moyen de transfert de valeur, d’épargne dans certains pays où la monnaie locale est instable, et pour des paiements dans des environnements décentralisés.
Un actif qui dépend de l’offre et de la demande pour déterminer sa valeur ne correspond pas à la définition d’un schéma de Ponzi, car il n’y a pas de mécanisme artificiel pour redistribuer les fonds et garantir des rendements. C’est un marché comme celui des actions ou des matières premières.
Tu as raison de dire que la volatilité du Bitcoin peut causer des pertes pour certains investisseurs, mais cela ne fait pas de lui une arnaque en soi. Beaucoup d’autres marchés, comme la bourse, l’immobilier ou les matières premières, peuvent être tout aussi volatils, avec des hauts et des bas. Cela ne signifie pas qu’ils fonctionnent sur un schéma de Ponzi.
Non car le Bitcoin n’est rien. C’est un bout de bits qui n’a aucune utilité propre. L’or est utilisé dans la fabrication de tas de choses. Une oeuvre d’art a une valeur esthétique intrinsèque. Derrière une action d’une entreprise il y a généralement une réelle levée de fonds, l’entreprise existe, elle a des bureaux, elle fait des affaires. C’est totalement différent du Bitcoin.
Fin de la discussion maintenant, les crypto-bros sont membres d’un système fonctionnant comme une secte. Discuter avec vous est sans intérêt car votre système de croyance vous empêche de voir la logique réelle des choses.
Tu as bien raison d’arrêter de parler : tu dis des choses fausses, basées sur des connaissances approximatives, et lorsque l’on essaie de t’expliquer les failles de ton raisonnement, tu te braques.
Exactement le discours que tiendrait un membre de la scientologie face à un non-croyant
Je n’ai pas de crypto. Je suis sur un site de tech, je parle de tech. Le bitcoin et la blockchain sont des technologies qui semblent t’échapper sur leur fonctionnement, c’est tout ce que je vois.
Peu importe qui a initié le BTC. Le livre blanc du BTC (et de quelques autres ETH en tête) fait plus ressortir une recherche mathématique et sociologique autour des monnaies, grâce à la technologie des blockchains. Et les valeurs atteintes me semblent avoir largement dépassé les attentes.
Au départ cela ne semble pas trop avoir été vraiment un ouils pour remplacer les monnaies, et plus ça va plus les défauts sont pregnants (cout énergétique, cout éclogique avec la dépendance technologique, besoin de surcouches, …).