Les exploitations pétrolières ont une utilité à moins de vouloir vivre dans une caverne.
L’éolien et l’éolien en mer n’ont réellement aucune utilité et sont même un désastre écologique.
C’est là, toute la différence.
Les exploitations pétrolières ont une utilité à moins de vouloir vivre dans une caverne.
L’éolien et l’éolien en mer n’ont réellement aucune utilité et sont même un désastre écologique.
C’est là, toute la différence.
Pas en totalité, preuve par cette source
A l’inverse, les centrales (toujours nucléaires, cette source représentant 77% de l’énergie produite en France en 2014*) produisent trop d’énergie en heures creuses par rapport à la demande car elles ne peuvent pas s’arrêter ni réduire leur production dynamiquement (phénomène d’empoisonnement du combustible). Les moyens de stockage d’énergie en masse (STEP) étant encore limitées en France, une bonne partie de l’énergie produite la nuit est perdue
C’est bien de me reprendre, c’est mieux de le faire avec des sources
Quand tu n’as plus rien d’intelligent à dire, abstient toi. Ça t’évitera de continuer à creuser… Tu t’es bien ridiculisé sur le coup du supercondo, montrant une fois de plus qu’au delà de « l’hydrogène c’est génial », tu as de sacré lacunes techniques…
C’est juste une remarque, vous avez l’impréssion de dire que des choses intelligente ici et sur le forum ?
si oui, félicitations, vos chevilles devraient être utiles à quelque chose vu leur surdimensionnement
Si non, vu le nombre de post et la quantité de propos tenu, m’est d’avis que c’est un peu l’hopital qui se fout de la charité non ?
Ça fait au moins un demi siècle que le marketing dans l’automobile est organisé autour de la puissance et la virilité qu’elle est censée représenter… Malheureusement, il y en a encore qui sont bloqué dans ce schéma complètement daté.
on dirait un peu du Sandrine Rousseau. Vous allez aussi ressortir le coup du barbecue qui serait viriliste ?
J’ose espérer que ce n’était pas votre plus grande démonstration d’un propos « intelligent ».
Cette source affirme, mais c’est tout… M’est avis que « écolozen », c’est pas vraiment un producteur d’électricité…
Et surtout quand on voit la petite astérisque à la fin, on se rend compte que le mec ne connait pas grand chose au sujet, puisqu’il ne sait même pas faire une basique conversion puissance*durée = quantité : « les courbes ci-dessus sont en MW par demi-heure, j’ai donc doublé les valeurs pour obtenir des MWh »
Les courbes sont en MW (puissance) moyen par tranche d’une demi-heure, donc pour convertir en MWh (quantité d’énergie), faut pas doubler les valeurs et rajouter un h à l’unité, faut prendre la moyenne des MW sur une heure et multiplier par 1h (ou, ce qui revient au même, prendre les valeurs par tranche d’une demi heure, les multiplier par 0.5h et les additionner).
Si on a une puissance moyenne de 80 MW entre 14h et 14h30 puis 90 MW entre 14h30 et 15h, on a n’a pas 170 MWh consommés entre 14h et 15h mais 85 MWh…
Quand à son calcul d’après les courbes pour estimer la quantité qui serait gaspillé, c’est du bullshit total…
Le phénomène d’empoisonnement est peu problématique à l’échelle des variations nocturnes de puissance : il survient uniquement quand on baisse « brutalement », fortement ET durablement la puissance du réacteur. Quand on baisse brutalement la puissance, du Xenon va s’accumuler dans le réacteur, et atteindre un pic au bout de plusieurs heures. Cette accumulation va freiner la réaction, provoquant au bout d’un moment l’étouffement s’il n’est pas possible de compenser en réaugmentant la réaction via une remontée des barres de contrôle. Et dès qu’on réaugmente la puissance, le taux de Xenon repart à la baisse (avec même de façon transitoire un effet inverse de l’empoisonnement, on se retrouve avec un taux de Xeon inférieur à celui du régime de croisière, et du coup le réacteur est temporairement plus puissant et il faut abaisser un peu les barres pour le limiter). Or sur les variations nocturnes, la baisse de puissance ne dure que quelques heures, et elle est très loin d’être de 50%…
Et il y a en outre des contre-mesures pour éviter le problème, soit au niveau du réacteur lui même (modulation du taux d’acide borique dans le circuit primaire pour absorber le Xenon, légère remontée des barres de contrôle pour compenser la perte de puissance le temps de passer le pic de Xenon) soit au niveau du parc (en limitant la durée de la baisse de puissance pour un réacteur donné, en faisant un relais avec un autre réacteur).
Mais de toute façon, les variations nécessaires la nuit sont vraiment loin d’être problématique pour l’empoisonnement.
Prenons par exemple une journée typique d’un été et d’un hiver à une époque où on avait peu de centrales nucléaires en maintenance :
Données disponibles ici : https://www.rte-france.com/eco2mix/la-production-delectricite-par-filiere#
Alors oui, de manière très occasionnelle et marginale, ça doit arriver d’en jeter un peu. Mais non, c’est vraiment pas courant la nuit, même avec un gros parc nucléaire comme le notre, on a des variations de consommation qui sont largement acceptables sans empoisonner les réacteurs, et la puissance de nos STEP n’est vraiment pas limitante (au point que certaines nuit, elles pompent pour des raison plus financières que d’équilibrage du réseau…).