Récemment, Elon Musk a licencié la moitié des salariés de Twitter.
C’est qui l’autre jour qui disait que Melon sait parfaitement ce qu’il fait ?
[…] le magazine indique qu’Elon Musk aurait réalisé après coup l’importance, voire le côté indispensable de certains employés remerciés quelques heures plus tôt.
Après :
« Je propose d’acheter une entreprise pour 44 milliards de dollars, puis je me rends compte que c’est une somme délirante qui surévalue complètement sa valeur, j’essaie de rétropédaler, et je me plante ».
On a maintenant :
« Je licencie des employés en pensant qu’ils ne servent à rien, puis je dois rétropédaler parce qu’en fait, LOL!, une entreprise sans personnel n’arrive pas à fonctionner très bien ».
Monsieur Musk, vous arrivez chaque jour à m’impressionner davantage…
Comme disait François Pignon : « Ah la boulette ». Sauf qu’à 44 milliards, ça fait cher le diner de con.
On pourrait se demander s’il ne l’a pas fait pas exprès, pour entretenir le buzz et susciter l’intérêt autour de Twitter nouvelle formule. C’est assez bien dans ses habitudes.
j’espère que ces « employés indispensables » trouveront une autre boite qui les respectera un peu plus
J’espère que les personnes concernées ont vu leur salaires augmentés !
Ou ces employés indispensables demandent le double en salaire et prime à l’embauche.
Quel c(l)o(w)n celui-là.
Franchement je ferais partie de ces gens-là, je lui dis d’aller se faire…
Comme dans beaucoup de boites, même chez nous, personnel = bétail.
L’abattoir n’est jamais loin.
Yann Kovic > Sauf que tu vis dans un pays qui offre 2 ans de chômage, ce qui n’est pas le cas là bas…
Meta va licencier en masse aussi, donc ce ne sera pas évident de retrouver du boulot dans la Silicon Valley ces prochaines semaines.
Lol normalement tu reviens pas dans une boite qui t’a humilié de la sorte.
Ça peut être un bon coup à jouer au contraire :
- négocier une belle augmentation
- sur le CV ça montre que l’on était un des ingénieurs indispensables à TW.
Faut reconnaître ses efforts, pour nous faire réaliser que les milliardaires ne sont pas vraiment des génies.
Pour moi on peut comparer tout ça au plan sociaux Français. Pour en avoir vécu un petit nombre (5 en 15ans) la logique est toujours la même, 1 on vire en masse quitte à virer trop, puis on réembauche la ou ça casse…
D’ailleurs dans les plans sociaux Français il y a une priorité au niveau des embauches au sortant… Dans les faits, je n’ai jamais vu les entreprise réembaucher ceux qui ne leur plaisait pas, par contre certaine personne était bizarrement réembauché rapidement !!! avec une nouveau titre évidemment. Finalement c’est possiblement plus une garantie pour l’employeur que l’employé ?
Pour rester dans le cinéma (et ça va bien à Musk finalement).
« Les cons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît. »
À ce stade là, Elon Musk n’est plus un clown, c’est un cirque tout entier !
Oui, mais on peut quand même s’interroger sur quelle sera la motivation d’un employé à donner son maximum et à s’investir dans une entreprise qui l’a voulu le licencier et qui s’est ravisée parce que, bon, en fait on a encore besoin de vous pour le moment…
J’espère pour eux qu’ils ne sont pas tenus légalement de revenir.
A ce stade de mépris et de précipitation, ça se négocie… Tout se négocie.
Par contre, on sait désormais (si c’était pas assez clair) qu’on est une variable d’ajustement qui peut se faire « varier » au moindre coup de vent.
Clairement, ça se négocie. « Ah, c’était une boulette ? Ok, mais moi je vous ai pas attendu donc j’ai déjà des propositions. Oui donc, pour mes 20 % d’augment’… vous comprenez, l’inflation, la demande… J’vous écoute ! ».
Je pense justement que la loyauté d’un employé envers l’entreprise et la motivation dont il fera preuve dans son travail ne peuvent pas se « négocier ».
C’est pour ça que tant de sociétés mettent en avant leur culture et les aspects « humains », en particulier lorsqu’elles cherchent à recruter des profils très qualifiés. Car on ne peut pas acheter le fait qu’une personne se donne corps et âme à son travail et réalise des prouesses. C’est quelque chose que l’entreprise doit « inspirer ».