Même réflexion, venir avec son pc et se brancher au réseau de la boîte… aberrant
C’est quoi subir Windows 11 ?
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Alors vous avez tout à fait le droit d’avoir vos avis et ils sont respectables en soi et pour soi.
Maintenant, pour ceux que ça intéresse, la CNIL donnait un cadre il y’a 10 ans pour le BYOD c’est intéressant. BYOD : quelles sont les bonnes pratiques ? | CNIL.
Le Windows que j’ai préféré, c’était 2000, pour son côté épuré (sans compter qu’à l’époque, j’avais fait une installation sur-mesure avec nLite, qui boostait vraiment les performances). XP, bof… Le 7 fut mon dernier, avant de passer à Linux Mint, à l’annonce de la fin du support.
Revenir à Windows ? Jamais de la vie !
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Je l’ai toujours dit : Un OS doit rester un OS. Tout les reste doit être dépendant et installable par l’utilisateur au travers de « boutiques virtuelles » comme sous Linux.
A force de rajouter des fonctions souvent inutiles, intrusives, gourmandes en ressources (hors celles nécessaires au bon fonctionnement de l’OS) on arrive à… Windows 11. Quel gâchis.
Windows Seven a été et a su rester ce genre d’OS simple, configurable et léger comme le sont certains Linux.
MacOS (OS/X) est tout l’inverse de Windows 10 et 11 : Bien trop basique. Et où toute fonction / appli / périphérique supplémentaire s’achète (et au prix fort).
Linux Mint, une des meilleures distros Linux « Généralistes » est un très bon compromis mais il reste encore des efforts d’intégration, de simplification et d’ergonomie à travailler. Si… si… il y a encore des commandes « imbitables » en ligne de commande… sous Linux.
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Sans troller, je suis toujours un peu surpris de voir que des gens sont encore sous Windows (ou pire, MacOS) que ce soit pour le perso ou le pro. J’ai basculé sur Lubuntu en 2010 pour redonner vie à mon vieux PC hors d’âge et je ne reviendrai jamais en arrière. Au travail (boîte IT) c’est pareil, l’utilisation de Windows est purement et simplement interdite.
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Très intéressant en effet de pouvoir travailler avec son ordinateur personnel. Ceci dit, il y a aussi la taille de l’entreprise qui compte aussi. Avec 100.000 employés, l’entreprise économise un peu sur les 100.000 machines dont il faudrait équiper les employés. La crise du Covid est aussi passée par là avec cette possibilité du télétravail avec éventuellement son équipement personnel puisque cela n’avait pas été anticipé. Les sites et intranets des entreprises avaient été ouverts sur l’extérieur aussi pour permettre l’accès à distance. Et sans les mesures sécuritaires que tu évoques, c’est aussi là que les problèmes sérieux de piratage peuvent commencer. Mon entreprise a été dans ce cas et depuis elle interdit l’usage d’équipements personnels sur son intranet même en présentiel. On ne peut pas aller sur internet non plus avec son équipement personnel en utilisant le Wifi de l’entreprise, ses infrastructures. Ceux qui en ont besoin perçoivent un équipement standardisé où les mises à jour et la sécurité et les accès sont gérés par les services SI sur chacune des machines et en général pour les authentifications à double facteur. Par ailleurs les droits et les licences sont distribués au compte goutte sur les applications métiers et ponctuellement s’il ne faut. Les entreprises en général gagneraient à effectivement faire plus attention à la sécurité en interne. Mais cela nécessite des investissements.
Pour le coup, même pas, un PC est quand même fourni à chacun.
Chez nous l’approche est un peu différente : on a un réseau au bureau sur lequel se connecter en BYOD, mais ce n’est pas directement l’Intranet de la boîte. C’est un LAN dédié, et pour se connecter à des ressources qui sont sur l’Intranet, on passe par le VPN, exactement comme quand on est en télétravail (ce qui est un peu plus sécurisé qu’une connexion direct à l’Intranet, puisque la passerelle VPN assure une couche de contrôle supplémentaire). Et en pratique, il n’y a même pas beaucoup besoins de l’utiliser (en tout cas, pour mon travail, ce n’est pas forcément le cas dans toutes les équipes), car le très gros de ce dont on a besoin est accessible sur des plateformes ouvertes vers Internet (on utilise pas mal de clouds publics pour l’infra, le code est sur GitHub, etc…).
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Concernant ton avis sur Win11 c’est déjà ce que j’entendais au sujet de Seven…
J’utilise Linux pour des serveurs mais je n’y vois aucun intérêt en dehors de ça
Et le dernier pc portable Windows hors d’âge que j’ai eu, a vu passer une dizaine de distributions Linux et pas une seule n’aura mieux fonctionné que Windows, au mieux c’était pareil, au pire du matos qui ne fonctionnait plus
Je passe par le VPN de ma boite et par le VPN de la boite cliente, malgré ça interdit d’utiliser son propre matériel. Tout le monde évolue avec le même matos logiciel possible et pour le hardware 3 configs possible
lol
Une anecdote issue d’une lecture journalistique d’époque mais pas en rapport avec toi : aussi étonnant que cela puisse paraître, @MattS32 l’évoque aussi, l’étiquette de l’entreprise ne détermine pas obligatoirement les systèmes d’exploitations qu’elle utilise. Pour en venir au fait, il s’agit de Microsoft par exemple pour l’anecdote. Dans les années 1990, un livreur d’ordinateurs s’était fait virer à la demande de Redmond, le siège. La cause : un paparazzi avait photographié à son insu et publié son chargement d’ordinateurs Apple Mac dans son camion devant être livrés au siège de Microsoft. Le fou rire général. 
Microsoft qui se fait livrer des Mac en plein débat sur la stabilité douteuse de Windows 95/98 à l’époque.
Eh bien en fait, Microsoft utilise des Mac aussi tout naturelleement tout comme il utilise Linux aussi. Microsoft a même a propre distribution Linux en interne. On pourrait tous être intéressés mais c’est pour Azure avec des fonctionnalités qui nous dépasseraient pour la plupart. Microsoft lui-même n’interdit pas du tout les autres sytèmes concurrents, d’ailleurs il en tire sa force. Loin de se sentir lésé, il s’enrichit de la concurence.
« J’avais un système, je l’ai cassé. J’en ai pris un autre, je l’ai pas cassé. Le « pas cassé » fonctionne mieux. »
« J’aime pas les logiciels préinstallés, alors je reste sur Mac »
Dans le forum, je comprends qu’il y ai de tout les niveaux en informatique, mais en article est-ce vraiment pertinent de demander son histoire à quelqun que le sujet n’intéresse visiblement pas trop…?
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L’article est un témoignage, il n’a pas d’autre prétention. Une fois qu’on a compris ça…
Un témoignage léger peut aussi être pertinent…
Ce n’est effectivement pas grave, mais c’est pas plus mal non plus de donner son avis sur l’édito quand il nous parait mal adapté.
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Bonjour j’aimerais savoir comment votre père à faire pour transformer son 520stf en 520 ste et surtout quel intérêt vu que le stf est plus recent que le ste ? Un 520stf en 1040stf en ajoutant 512ko ok mais sinon je vois pas !
Tout à fait 
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@alsaco67 @Francis7
Alors pour la petite histoire, quand je suis arrivé à Clubic en 2008, on n’était pas encore tout à fait chez M6 Web. Donc oui, on était libre. Il fallait simplement installer Skype.
Quelques mois plus tard, M6 nous a donné des PC portables sous Windows bien verrouillés. Il fallait utiliser un VPN d’entreprise pour se connecter à l’intranet ou encore demander des autorisations pour installer quoi que ce soit. Mais pour un journaliste high tech qui doit constamment tester des logiciels, voire faire tourner des OS en machines virtuelles, c’était juste impossible. Alors au bout de trois jours, je l’ai formaté avec Ubuntu. Je crois que les autres ont eu une dérogation.
Mais oui, il y a des cas de figure ou le verrouillage entreprise n’est pas vraiment idéal.
Et parfois, quand on teste un logiciel (ou un appareil d’ailleurs), c’est pas seulement sur les heures de travail fixes, c’est aussi chez soi, sur son ordinateur perso.
Mais ça va, on n’a pas de documents confidentiels en local
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C’est intéressant de pouvoir tester des logiciels et du matériel tout récent quotidiennement ou presque avec le plaisir du déballage du précieux objet confidentiellement confié à vos soins.
Tout pareil, Windows 2000 et 7 étaient les deux Windows solides et agréables à utiliser. Les autres sont soit bancals, soit catastrophiques.