C’est théoriquement faux. Dématérialisé ou pas, le paiement d’un service ou d’un média de divertissement ou logiciel n’est juste qu’un octroi de licence sous accord des conditions d’utilisation au Client. Même un livre matérialisé dispose d’un disclaimer statuant qu’il est illégal de le photocopier ou de le reproduire. L’utilisateur final n’est pas libre de faire ce qu’il veut.
On n’est jamais 100% propriétaire d’un CD ou d’un stream même sans DRM, même en tant que créateur. En cas de prêt d’un CD audio/jeu original, on ne reste dans la légalité que si on ne joue pas depuis une copie.
A l’époque il n’existait pas une autorité centralisée qui permet de vérifier les droits lorsque les médias étaient encore majoritairement matérialisés, donc il y avait des dispositifs anti-copie que les éditeurs imposaient, et dont leur efficacité était nulle vers la fin des CD/DVD.
Maintenant, on a une base légale qui traite la plupart des cas, une autorité qui se forme (pas encore mondiale, mais ça s’approche), et la plupart du contenu est dématérialisé donc les flux sont techniquement traçables. Il est normal que cette autorité et ayants droits luttent contre la propagation de média sans acquisition de licence d’exploitation.
Le contrat ici n’est pas financier, il est soumis ici à l’accord de la charte communautaire.
quand allez vous comprendre d’arrêter de souscrire tous ses abonnements. ils ne feront qu’ augmenter dans le temps. Vous donnez une raison a toutes ses plateformes, de vous mettre des amendes par les agences gouvernementales. ils ne font que vous plumez , il n y a pas que la tele , Aujourd’hui dans le jeux vidéo cela devient pareil un jeux a 79.99 euros en standard.(doom the dark age).
Je ne parlais pas de copier le livre ou l’album, bien sur l’oeuvre ne m’appartient pas en tant que telle, mais le support oui!
Quand je paye mon livre ou mon album, mon jeu et que je l’ai dans la main, il est a moi a vie, avec ce qu’il contient.
Je peux le preter, ou le revendre, ou le resortir dans 20ans.Il est a moi, et la capacité de pouvoir profiter de cette objet quand bon me semble de dépends que de ma capacité a conserver l’objet en etat d’etre utilisé, ou le moyen technique .
Aujourd’hui, cette possibilité est de moins en moins disponible, pour un transfert vers du dematérialisé, a durée artificiellement limité, pour le (sur) profit du distributeur final
Et ce principe appliqué a la culture ( au sens tres large) reste problématique, et en un sens déloyal.
Et je doute sincérement que la plupart des artistes soient en accord avec le principe que l’acces a leur travail soit tenu en otage par des voutours uniquement accés sur le profit a outrance.