Les Webapps donnent l’amusante illusion de faire tourner un programme mais en fait c’est une interaction avec le site web. Mon compte Microsoft 365 | Copilot Personnel.
Ici, c’est « Applications Web » (Flatpak) - Webapp-Manager - installée avec Gnome-software sur Debian 13.
Lancer « Applications Web » puis ajouter l’URL d’un site, ici, celui de Word 365. Puis créer et enregistrer l’application Word. En bas à gauche sur la capture d’écran, les options à activer.
L’application Word est générée instantanément, et privilégier aussi l’authentification par mot de passe plutôt que le code PIN de Windows ou Authenticator.
Une seule application Word que vous avez créé suffit pour naviguer et travailler avec tous les programmes de Microsoft 365 en les sélectionnant un à un selon les besoins dans le menu application à 9 points en haut à gauche de Word. Ce n’est pas la peine de renouveler l’opération de création d’une Webapp pour chaque logiciel de la suite Office.
On reste dépendant de OneDrive mais on peut exporter ses productions, autre expression pour dire enregistrer.
Oui, je connais, mais :
Ca reste une webapp et ce n’est PAS l’application win32 Office.
Et cela nécessite d’avoir un abonnement Office 365 et vu que personnellement, je quitte l’éco système Microsoft, ce n’est pas pour avoir un abonnement chez eux (et à terme, je n’aurai plus de compte MS non plus).
Mais en fait, c’est moi qui suis en train de faire le tour de la question avant de me lancer dans la virtualisation. Des gens disent que les webapps ne marchent pas ou bien se lancent dans des lignes de commandes au risque de casser leur système.
Et force est de constater que les WebApps ont une diversité restreinte et limitée aux réseaux sociaux et forums/chat, email si elles ne sont pas payantes - comme les Adobe ou WIX et même Canva soit disant gratuite. Reste l’écosystème de Google où on peut faire tourner tous ses services avec aussi leur menu applications. Ca ressemble beaucoup à l’espace Microsoft, c’est plus riche, orienté grand public et c’est gratuit. Google, ce n’est pas que le moteur de recherche.
