Commentaires : "Ils n'y connaissent rien" : à 83 ans, ce retraité déplore la faiblesse des jeunes en informatique

Une solution peut être la partage d’écran.

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Je partage, c’est pourquoi j’évite les tests du genre à quoi sert cette fonction. Je recherche plus la réflexion, la démarche que le savoir faire brut. Je préfère quelqu’un qui comprend ce qu’il fait plutôt qu’un gars qui sait faire grâce à Stackoverflow ou Github copilot.

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+1. Le pire c’est certaines grosses boîtes qui sont connues pour faire passer des tests via LeetCode ou autre plateformes du genre, du coup t’en as qui font du farming sur cette plateforme parfois pendant des semaines à plein temps pour réussir leur test technique, mais qui derrière sont absolument incapables de travailler efficacement sur un vrai projet, donc un truc pas découpé en micro-challenge pensés pour être torchés en moins d’1h.

C’est pas complètement inutile, ça peut permettre de se faire une idée des capacités algorithmiques du candidat, mais le développement c’est trèèèèès loin d’être juste de l’algorithmique…

Non, ce qui leur fait perdre leurs moyens c’est pas d’avoir physiquement quelqu’un qui regarde par dessus leur épaule, c’est le fait de savoir que quelqu’un regarde tout ce qu’ils font. Ce qui est valable aussi en partage d’écran.

L’un des trucs classique dans ces situations, c’est notamment de pas oser aller regarder la doc, en pensant que ça va nous faire passer pour un ignorant… Sauf qu’il y a rien de mal à consulter la doc, au contraire, faut pas hésiter à aller y jeter ou oeil ou à faire des recherches sur des sites spécialisés pour aller plus vite, et surtout, pour libérer du temps pour se concentrer sur les points importants sans en perdre sur des détails d’implémentation : architecture, fonctionnalités, gestion des cas limite…

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On est sur Clubic, qui fut autrefois un site informatique et jeux vidéo, il y a donc un biais certain.

Même dans les années 80-90, monter soi-même son PC et trifouiller dans les entrailles poussiéreuses de l’UC, ce n’était pas un sport de masse.

Certains le faisaient par plaisir, d’autres par nécessité, tant l’obsolescence était rapide, mais la plupart se contentaient d’amener son pc chez ceux qui savaient.

Aujourd’hui encore je fais régulièrement du nettoyage sur le vieux pc de ma cousine, et je lui ait vendu qu’il ne passerait pas à Windows 11 pour qu’elle en change enfin !

Quand à « connaître l’informatique » je préfère quelqu’un qui n’y comprend rien qu’un qui croit savoir parce qu’il a monté un linux sur une partition.

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Encore plus facile, 7*10 et tu divises par 2

Ah mais ça c’est pour calculer mentalement 7/0,2.

Le but originel:


Bravo @AlexLex14 , votre papier a fait un strike… Plus de 100 messages !

Si c’était vrai, il y a aurait plus de logement en location que de logement loués. Déjà, jette un coup d’œil aux annonces de vente pour « investisseur », la rentabilité « annoncée » (comme dans « je crois aux licornes et aux goblins ») est souvent de 4% (après tout, le vendeur veut récupérer ses billes. Cette rentabilité ne comprends pas les frais de notaires, les arriérés de réparation du syndic (car, bizarrement, c’est quand l’immeuble doit faire refaire sa toiture que les appartements sont mis en vente), etc…
Là ta rentabilité annoncée, c’est après avoir payé tous les frais, donc pas avant, au moins, 5 ou 6 ans.

Même après, considère 4% de rentabilité brute. C’est à dire que le loyer mensuel actuel te rapporte 0.3% de rendement. Vu que tu ôtes entre 1 et 1.5 mois pour les impôts fonciers (suivant l’endroit), 1 et 1.5 mois pour le syndic, 1 mois pour les charges non copropriété (type assurance, réparations diverses, diagnotiscs), tu es déjà entre 3 et 4 mois de moins de rentabilité, soit « plus » que 3% de rentabilité, au mieux, hors impôts.

En gros, après impôt, il te reste, au mieux 2% de rentabilité.

Si tu rajoutes ensuite, les vacances locatives, les réparations entre locataires (souvent plusieurs mois de loyers, et du temps de réparation), je doute que tu ne ramènes même pas 1.5% de rentabilité nette. Et ça, c’est quand ça se passe bien (c’est à dire pas de loyer impayés, pas de procédure d’expulsion, locataire respectueux). C’est très souvent en dessous de l’inflation.

Il vaut mieux mettre son argent sur un Livret A ou équivalent, tu auras, au final, un bénéfice plus important.

Tu rajoutes « l’encadrement des loyers », c’est à dire encore une mesure de vol déguisé, où tu ne peux plus récupérer la perte de « l’augmentation des loyers autorisée », par rapport au prix du marché/inflation, et même la valeur de ton bien est automatiquement réduite (car la valeur d’un bien est grosso modo (1/0.04) = 25x des loyers annuels possibles). Puis les nouvelles condition pour « l’efficacité énergétique », où on te fais changer les VMC par des VMC identiques, mais neuves, histoire que la case « VMC de moins de 5 ans » soit cochée dans le diagnostics et que tu passes à « bas de D » au lieu de E.

Au final, le propriétaire, il habite très souvent dans un logement aux performances bien moindre que le logement loué, car lui, il peut choisir de faire que les travaux qui ont un sens et n’est pas soumis au choix de la copropriété, société de travaux ami du syndic.

Donc même en pensant que le propriétaire gagne de l’argent en revendant son bien, et bien, c’est pas/plus vraiment le cas.

Le propriétaire ne gagne, très souvent, pas d’argent sur une location. Il en perd moins que s’il ne louait pas, par contre.

Il faut vraiment être aveugle pour ne pas voir que l’immobilier, en France, est malade. D’un côté, il ne reste « que » les petits propriétaires historiques, un nombre de bien en location qui ne fait que diminuer (une fois l’une des magnifiques « expériences » de location vécue) et des locataires hyper protégés de l’autre.

Je ne parle même pas des APL qui sont des aides pour les propriétaires, déguisés en aides pour les locataires. En gros, la société travaille pour engraisser le priopriétaire, via les APL (et les coûts associés, regarde le budget de gestion d’une CAF) pour ensuite tout récupérer via les impôts.

Tant qu’il n’y aura pas d’équilibre dans les contrats, et une remise à plat du système, il n’y a aucune chance que tu soit gagnant, sur le court et moyen terme, avec un bien mis en location. Et vu la démographie actuelle, je dirais que même le long terme (> 25 ans) est plutôt mal parti non plus.

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Je ne comprends pas vos chiffres. Ou alors vous incluez dedans le fait que l’on rembourse un crédit pendant la période de location. Dans ce cas, il faut inclure la valeur du bien à terme. Pour moi les 4% (bruts) sont réalistes car l’argent investi vous le récupérez (largement) lors de la vente.

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J’en reviens au titre du sujet : il a raison, l’ancien. C’est visible à tous les coins de rue.
Jamais vu autant de paresseux. En plus, ils sont vraiment nuls ! C’est vrai !
Ils me font même, pitié.
Je me contente de constater les dégâts et de me faire oublier : je n’ai pas vraiment envie de bosser.
Le pire, c’est que même sur leur smart, ils y connaissent que dalle. Ils ne savent même pas, que les applis doivent être mises à jour…Alors le système, je vous en cause pas !
C’est vrai : ils écrivent (avec des fautes…) très rapidement, avec une main, ils savent ouvrir des vidéos, téléphoner…
Mais en fait, c’est un masque : ils sont ignares.

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C’est quand même exagéré, non ? Il y a des jeunes curieux, talentueux et intelligents. Certains sont encore admis dans les écoles d’excellence, comme les Mines, l’IPSA, l’INSA, Polytechnique et autres Centrales. Et même sans aller jusque-là, ils ne sont tout de même pas tous totalement ignares.

À mon avis, un idiot de 20 ans n’a pas les mêmes problématiques qu’un idiot de 50 ans. Ils font peut-être plus de bruit que les autres, car ils savent se regrouper sur les réseaux à se bourrer le mou ensemble depuis qu’ils ont 12 ans.

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Oui, il ne faut pas généraliser. On sait qu’il y a des jeunes à problèmes, mais il y en a aussi qui entrent dans un immeuble en flammes pour sauver des occupants.

Mon beau-fils a fait 5 ans d’université et il nous a dit dés le début qu’il n’y avait que deux catégories d’étudiants, ceux qui étaient là pour étudier (comme lui) et obtenir un diplôme et ceux qui n’étaient là que pour faire des fêtes et guindailler*. Et ceux de la seconde catégorie provenaient plus souvent de milieux aisés que ceux de la première.

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Oui; ou alors pour ceux qui préfèrent se recoller à des calculs plus « ronds » et simples : 87 * 6 = 90 * 6 - 3 * 6 = 540 - 18 = 522

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C’est vrai dans mon lycée…

Encore heureux qu’ils sont contentent de faire acte de présence, et de pas en rajouter avec de la « guindaille »

(Belge ?)

A chacun son métier…
La spécialisation est à la base des progrès de l’humanité.
Le do it yourself est bien souvent un raisonnement économique (parfois mauvais d’ailleurs).

Si on pousse un peu le raisonnement :
Tous ces gens qui ne savent même pas comment est fabriquée la machine qui permet d’extraire le metal qui permet ensuite de fabriquer un ordinateur, ça m’agace. Quelle fainéantise intellectuelle.

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Oui. Et pour revenir sur la différence entre étudiants motivés et ceux qui ne le sont pas, j’ai deux exemples types : quand mon beau-fils a demandé s’il lui serait possible d’aller à l’université, on lui a dit « d’accord, mais si tu rates ta première année, il n’y aura pas de deuxième chance. Sinon, on assumera les frais tant que tu réussis ». Après avoir obtenu le bac, il a demandé à faire une puis deux années supplémentaires pour obtenir des Master 1 et 2 et aujourd’hui il a un boulot bien payé et a déjà économisé 60.000 € dans l’idée d’acheter une maison.

De l’autre côté, il y a son cousin 4 ans plus jeune. Ses parents (la soeur de ma femme et notre beau-frère) qui avaient plus de moyens que nous l’ont non seulement inscrit dans une université catholique plus réputée mais lui ont aussi pris un kot* à 400 €/mois et lui ont acheté une Opel Corsa d’occasion pour faire les trajets en début et fin de semaine. Il a vite bousillé sa voiture en revenant ivre d’une fête, il a raté sa première année, l’a refaite et ratée une seconde fois et quand il a voulu la faire pour la 3ème fois, ses parents ont jeté l’éponge. Aujourd’hui, il va d’un petit job à un autre qu’il ne garde jamais longtemps et à 31 ans, il n’est nulle part. neutre

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Ouais, mais ce que vous évoquez existe depuis la nuit des temps.

Il y a des gens qui sont aidés, d’autres pas. Certains réussissent, d’autres non. Certains ont des soucis dans leur tête, d’autres pas.

C’est la vie. On ne peut pas forcément blâmer à 100 % le dilettante ou celui qui fait les 400 coups.

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Entre pris de vente et prix d’achat, n’oubliez pas d’enlever l’inflation. Si on considère une inflation moyenne de 2% par an, il faut que le prix du bien vendu ait au moins augmenté d’autant pour ne pas avoir perdu.

Le compte est bon. Je l’avais autrement, mais c’est bien aussi.
Merci Bertrand, passons aux lettres maintenant.