Je confirme, tes bien nommées batteries de laboratoire seront tellement chères qu’elles n’équiperont sans doute jamais le moindre véhicule grand public.
Alors que pendant ce temps, les PAC seront encore un peu plus compactes, plus fiables dans le temps et enfin moins chères avec la production de masse.
Et pour le volet, vitesse de charge, filière semi-solid ça, c’est fait, on est plus dans les labos :
pendant ce temps, les PAC seront encore un peu plus compactes, plus fiables dans le temps
mais ça n’a jamais été le problème, leur compacité/fiabilité/durabilité ne sont que des mouches supplémentaires sur le tas de m.
Le problème, encore, et encore, c’est leur énorme et indépassable problème de rendement, qu’elles ne peuvent plus améliorer.
C’est un beau graphique, mais ça pourrait aussi bien représenter le cours d’une action en bourse qui dégringole, ça ne prouve pas grand chose. Si ça concerne le prix d’une batterie depuis 2010 (lithium?), c’est donc qu’il s’agit d’un modèle déjà commercialisé depuis 13 ans, ça ne prouve pas que d’autres types de batteries encore en labo et bien + chères suivront la même voie.
Nio, c’est du chinois, donc non merci, je préfère encore un constructeur allemand. Quant au rendement, contrairement à une idée reçue qui semble avoir la vie dure, ça n’est pas la priorité des constructeurs automobiles. S’ils se mettent pour la plupart au 100% électrique, c’est parce que les gouvernements ne leur laissent pas vraiment le choix avec une date butoir à respecter et qui sera vraissemblablement impossible à respecter tellement les ventes de véhicules pour particuliers vont s’effondrer le moment venu, faute de modèles thermiques.
C’est un beau graphique, mais ça pourrait aussi bien représenter le cours d’une action en bourse qui dégringole, ça ne prouve pas grand chose.
En matière de tarif on ne « prouve » pas, on cherche une tendance.
lorsque les choses se massifient, il y en en général deux tendances possibles :
soit un/le matériau de base est prépondérant dans le cout, est rarrissime, sans piste de remplacement ni diminution de proportion, et le prix du produit fini peut se stabiliser ou même augmenter. Mais c’est rare.
soit ton produit fini tend vers la somme des produits bruts qui le composent + le cout de l’énergie pour le produire. Dans le cas des batteries, un peu en dessous des 100$/kWh, mais ça pourrait être moins si les pistes chimiques LFP et /solid se développent.
Toutes les technos qui ne sont pas en or ou en platine suivent cette tendance : cout d’un smartphone ( hors marge ) sorti d’usine, cout d’une batterie, cout d’un panneau solaire, c’est carrément une règle générale :
je rappelle : ton affirmation non étayée, fournie sur étagère par ton idéologie perso cheloue et anti batterie c’est « tes bien nommées batteries de laboratoire seront tellement chères qu’elles n’équiperont sans doute jamais le moindre véhicule grand public. »
tu n’as 1) aucun argument valable pour dire ça 2) tort face aux tendances.
Si une batt aux matériaux non exotique, genre Li-O2, permet une densité de type aéronautique, ce sont des milliards qui vont tomber pour financer sa mise à l’échelle.
Je ne vois aucune logique rationnelle empêchant ce truc de devenir accessible. ça peut seulement bloquer temporairement l’amorçage
(par exemple le cout d’une machine de dopage de surface, ou le cout d’une machine de gravure d’une finesse « processeur » qui peut valoir des milliards) Mais une fois lancé à une échelle planétaire, le cout s’effondre.
ça explique que des batt pourtant moins « incroyables » comme les semi-solid aient pu être commercialisées dès cette année