Selon diverses sources, le quartier général de Twitter se serait transformé en hôtel de fortune pour certains employés.
Y a-t-il une lanterne rouge à l’entrée des bureaux…
Ne rigolez pas trop, les filiales Françaises des grandes multinationales vont trouver que cette idée est géniale…
Dévouement, sacrifice, nécessité, complicité, esclavage ? Le libéralisme poussé à l’extrême avec toutes ses contradictions.
Avec Musk on est à la limite du syndrome de Stockholm.
ça fait cher l’hôtel, plusieurs milliards pour quelques nuits …
Alors j’irais pas jusqu’à l’esclavagisme en l’état, il faudrait d’abord vérifier si les employés sont contraints de rester et si oui par quel contrainte, et si ils sont payés…
Mais oui c’est totalement déplorable et je serai curieux de connaitre les motivations de ceux qi reste.
D’un point de vue managériale je serais fortement inquiets des erreurs humaines qui peuvent arrivé avec le manque de repos des employées…
Tu restes quand même rarement dormir au bureau pour le plaisir hein…
Probablement pour certains la peur d’être dans la prochaine vague de licenciement.
Peut-être… sauf que chez nous on a un droit du travail un minimum fonctionnel.
Je crois que plus ca va, moins ca tourne rond chez Musk; L’ « idole » vacille sur sa base. Ses décisions sont de plus en plus ahurissantes; A part son fan club, personne ne peut encore douter que quelque chose c’est « déréglé » chez lui.
A part quelques musk-fan, Il ne reste plus que les personnes dont le visa dépend de leur emploi. S’ils le perdent, ils doivent quitter les us dans les 30 jours. Difficile quand tu es là depuis des années et que tes enfants sont américains et ne parlent pas la langue de ton pays.
Donc oui, ils sont contraints.
J’espère qu’ils sont très bien payés
Ca se voit depuis longtemps, pourtant qu’il lui manque plusieurs cases
Alors là, il est très loin, en Chine, je dirais, les entreprises chinoises ont des dortoirs pour leurs « esclaves », pardon, employés, pour les avoir à portée de mains quand ils en ont besoin, Musk devrait se naturaliser chinois, et délocaliser ses entreprises.
La lanterne rouge ?
si on regarde l’histoire locale des US c’est loin d’etre une nouveaute ce genre de fantasme de patron
C’est interdit chez nous heureusement :). Quand j’ai commencé à bosser il m’arrivait de faire des nuits pour finaliser des devs et j’avais demander au boss si on pouvait avoir un lit de camp pour l’utiliser le cas échéant. Ca aurait été mieux que de dormir sur sa chaise. Il m’a clairement dit que c’était niet car si l’inspection du travail débarquait c’était mort. Pour rassurer tout le monde, ca m’a pas tué et j’ai du le faire à peine une dizaine de fois dans ma carrière.
Merci clubic de nous informer aussi régulièrement sur Twitter, j’étais à la recherche d’un nouveau feuilleton depuis qu’ils nous ont supprimé plus belle la vie.
Ceci étant dit, et sans minimiser ces conditions de travail inacceptables, les méga heures sups où le patron nous paye le repas (pizza, pâtes) pour qu’on ne prenne pas de pause dîner et où on dort sur place, ça existe aussi en France. Mais sans le matelas et sans le méga-salaire bien sûr!
Musk n’a pas du tout changé… c’est juste qu’on arrête de se focaliser sur les délires qu’il annonce et qu’on regarde ce qu’il y a derrière la vitrine.
« Dévouement, sacrifice, nécessité, complicité, esclavage ? Le libéralisme poussé à l’extrême avec toutes ses contradictions.
Avec Musk on est à la limite du syndrome de Stockholm. »
Ne pas tout mélanger, tu restes parce que la soupe est (très très) bonne, surtout après le coup de chaud l’obligeant à réemployer des mecs virés, et c’est toi qui choisis si cette soupe est compatible avec tes exigences de vie hors boulot (et l’épanouissement que procure ce boulot)
C’est en ça que le modèle libéral peut être supérieur - en cas de plein de emploi, et c’est le cas dans la tech ricaine.
Parce que perso, si c’est bosser comme un malade 10 à 11h/jour voir plus - dans un job absolument passionnant qui va structurer l’avenir de l’Humanité, avec forte reconnaissance sociale et très bien payé : banco.
Que le boss soit ce tyran mégalo, mais pour SpaceX ou de Tesla : idem.
La même chose moyennement payé, pour le compte du même mégalo mais cette fois pour entretenir un réseau social totalement dispensable et qui ne laissait pas assez la parole à l’extrême droite et aux conspiro à son gout : sans moi.
Ni abus, ni esclavage, d’ailleurs je pense qu’il va trouver très vite de nouvelles limites à l’exercice.
Ingé pour Tesla c’est cool, ingé pour SpaceX c’est super super cool. Ingé pour Twitter, traité de tas de fainéants gauchos woke : il a lui même décoolisé sa propre boite : on y va comme un fonctionnaire.
Il va en falloir des somnambules pour remplacer les soit-disant dormeurs, je lui souhaite bon courage, et je ne plaindrais pas ceux qui restent.
Mais ne mélangeons pas les concept et ne jouons pas les chialeuses en parlant Georges Orwell parce que le boss propose un boulot « à fond » ou « la porte » , parce que c’est plein emploi, donc tu te casses si ça te plait pas et tu seras bien mieux sans cette pression pour un projet totalement futile.
Certes mais on parle d’une démocratie, ils peuvent bouger, il serait dans une dictature ce serait différent.
La encore… ça me parait trop simple, qu’ils en aient peur ne me choque pas, mais ils ne sont pas dans un pays avec un taux de sans emplois si important. Dans un domaine, certes mal mené dans un état mais qui reste très demandé à l’échelle des Etats unis et du monde…
Il est évident que les peurs peuvent être irrationnelles, ou que mentalement nous puissions sous certaines conditions avoir l’impression de ne pas être capable. On a tous un esprit de conservation qui fait que là, ils doivent bien voir que ça ne va pas… D’où ma question qu’est-ce qui les fait restés ???