Commentaires : Écriture·Inclusive·Facile, une extension pour remplacer les points du milieu des mots en points médians

C’est bien le gros problème ce ce truc, on écrit quelque chose qui ne se lit pas.

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Voudrais pas jouer au rabat joie mais l’orthographe rectifiée de 1990 est toujours en utilisation minoritaire alors, avant que l’inclusi-f-ve-s (c’est pratique tien!) ne s’installe…

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1: Visiblement la dictature des minorités a de beaux jours devant elle.
2: A part par pure idéologie, pourquoi nous faire part de cette information pour le moins clivante?
3: par respect pour la communauté, je ne livrerai pas le fond de ma pensée sur cette déconstruction de notre langue écrite.

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L’écriture inclusive ce n’est pas du français.
Donc, on oublie cette bêtise et on écrit en français.
Point final. Non-sujet.

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Je dis ça, je dis rien…mais un point final, ça se met à la fin. p

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Commentaire constructif, j’ai appris des choses ce soir :slightly_smiling_face:

Et il a entièrement raison, seules les langues mortes sont définitivement figées, et c’est le propre des langues vivantes de changer et d’évoluer. Le français moderne n’a plus rien à voir avec ce qu’il était il y a quelques siècles, il est donc parfaitement illusoire de dire qu’il faut le laisser tel qu’il est aujourd’hui une fois pour toutes. ^^

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Intéressant comme article, pour pousser la question de l’usage, un lien intéressant : Nombreux, tous... : les mots difficiles en écriture inclusive
Tout compte fait l’écriture inclusive n’est pas systématique et doit être utilisée avec parcimonie. Après c’est une pratique destinée aux rédactions qui j’imagine doit faire bien plus de débats que nos querelles de commentaires :wink:

Oui mais le souci c’est que d’un côté on a ceux qui veulent du non genré et de l’autre on a une réforme pour simplifier l’écriture (ognon/oignon etc.). Autant simplifier, pourquoi pas, le français est relativement compliqué, mais si on combine ça avec le non genré pour pas froisser certain, on va écrire plus simple mais plus compliqué, c’est contre productif.

Je précise que je n’ai bien sûr rien contre les « non genrés », ils font ce qu’ils veulent, se sentent « non genré » s’ils se sentent mieux comme ça, mais de là a revoir l’écriture pour ça, je trouve ça un peu … « casque ouille ».
Je me rappel une vidéo que « tout le monde a vu », d’un nom genré dont j’ai oublié le nom car pas intéressant, prendre de haut un journaliste qui l’a « traité » d’homme, comment était il censé savoir quoi dire ? S’il se trompe, on lui explique normalement, pas besoin de plus. D’autant que sa réaction du non binaire ne dessert pas sa cause, bien au contraire.

Donc bon, jusqu’à présent ça ne dérangé personne qu’on dise il ou elle, homme ou femme, pourquoi se prendre le choux a complexifier une langue déjà compliquée ? Je ne suis pas contre le changement je le rappel, juste que si ça n’apporte rien, pourquoi le faire.

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Mais quelle horreur :man_facepalming: Vous n’avez pas plutôt un plugin qui traduit ça en Français ?

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Illisible, ridicule, la « solution » pire que le mal.

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@ Blackalf

sauf que dans ce cas précis, ce sont des modifications non pas apportées par l’usage mais sous une pression communautariste…en clair, refaire exactement la même chose qui a été demandée par Dupleix (entre autres) il y a 4 siècles…

Je n’entrerai jamais dans le jeu des féministes : c’est la parenthèse que j’utilise et que je continuerai à utiliser…

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Et une virgule c’est féminin ! Hop, go pour le point virgule, ou la virgule point

Non mais franchement, qui est pour cette écriture inclusive qui rend la lecture si fastidieuse et vomitive ? Un vrai repoussoir.
Arrêtons de cautionner cette régression stupide que veulent nous imposer une poignée d’extrémistes souffrant de déficience intellectuelle ou du cancer de l’esprit, fléaux si répandus ces derniers temps.
S’il vous plaît Clubic, pas de ca chez vous. Merci.

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Une langue doit évoluer certes, mais l’écrit doit rester la représentation « sur papier » du langage parlé. Si le parlé évolue, l’écrit en fait de même. Là, ça n’a pas de sens, ça ne se lit pas comme ça s’écrit. C’est bêtement idéologique.

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" le terme « tou‧te‧s » deviendra « tou·te·s » "
ça commence mal je ne vois pas pas différence !!

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Personnellement:

  • Je ne vois pas en quoi utiliser un mot féminin + masculin est inclusif. Au contraire, ce la ne fait qu’appuyer l’idée qu’il n’existe que deux cases, et que chaque personne est forcée de se mettre dans une de celles-ci.
    On devrait utiliser du NON-EXCLUSIF et pas de l’INCLUSIF qui est par nature discriminant envers tout ce qui n’est pas inclus.

  • Au lieu d’inventer une ÉCRITURE inclusive, si on veut réellement avoir un impact sur le sexisme, il serait bien plus intelligent de créer un LANGAGE non-exclusif qui impacterait du coup directement la pensée (puisque le langage, et non l’écrit, structure la pensée)

  • La méthode la plus simple serait donc d’abandonner simplement toute forme de genre dans la langue française au profit d’un neutre. Non seulement cela participerait à la simplification, mais ce serait non-exclusif et respectueux de tous.

Le plus simple serait sans doute de garder une des deux formes actuelles et de la déclasser neutre. Le « masculin » parait plus simple à utiliser mais si cela dérange vraiment les féministes, je n’ai pas soucis à ce que le « féminin » devienne le neutre.

(Note, pour ma part, je n’ai jamais considéré que « le masculin l’emporte », mais plutôt qu’il sert de neutre…)

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Pourquoi pas ce plugin pour ceux qui s’en servent.

Il faut savoir toutefois que le point médian reste encore à l’heure actuelle illisible pour la plupart des lecteurs d’écran. Ces points médians sont donc validistes, puisqu’ils excluent une partie de la population.

Les alternatives au point médian existent tant que les lecteurs d’écran ne prennent pas en compte ce dernier : les tirets (tou-te-s), ou les majuscules (touTEs), qui sont accessibles pour celleux qui ont besoin d’un lecteur d’écran. S’il est possible de modifier le point médian par l’une de ces alternatives, elle devient à mon sens intéressante.

D’aucuns accusent l’écriture inclusive de rendre illisible un texte (alors qu’il s’agit d’une habitude relativement facile à prendre pour peu qu’on n’aie pas de blocage), alors que la présence de lettres muettes ou d’accents disparus de la prononciation ne les dérange pas. Pourquoi ? Parce que notre cerveau a pris l’habitude d’exclure, par la pratique de la lecture, ces lettres récalcitrantes qui n’ont pas d’autre place que l’ornementation de l’orthographe. Un lecteur volontaire mettra à peine quelques heures à assimiler la lecture de l’inclusif sans que ça ne le dérange.

L’inclusif, comme toute réforme orthographique de la langue, fait autant débat dans notre pays parce que la langue a été érigée, de manière idéologique, à la hauteur des valeurs à conserver de notre pays. C’était une volonté politique dès le début, c’est ce qui a mené à la création de l’Académie Française sous Richelieu. Si l’orthographe, l’écriture de notre langue, n’avait pas une place aussi prenante dans le débat public, il n’y aurait d’une part aucune raison d’en vouloir l’inclusivité puisque son pouvoir serait alors faible, mais il y aurait aussi moins de réaction épidermique quant à tout changement dans la langue.
Nos pays voisins, comme l’Allemagne et l’Italie, n’ont aucun problème à avoir une langue qui change régulièrement par le biais de réformes sans que ça n’engage de houles ou de menaces quant à l’intégrité de leur territoire. De même que la Chine possède plusieurs communautés linguistiques, ce qui n’empêche pas un sentiment nationaliste fort de sa population, quand bien même ses frontières sont défendues par des Chinois qui possèdent un dialecte différent.

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Je suis un littéraire, et je ne comprends absolument pas la nécessité d’inventer de nouveaux signes, alors que les parenthèses fonctionnent bien, se comprennent bien, ex : un(e) commerçant(e), un(e) instituteur(-trice), etc.

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