Commentaires : Des milliers d'influenceurs français sollicités par la Russie, plusieurs auraient "accepté le marché"

J’ai quitté les réseaux il y a pas loin de 15 ans voir un peu plus, c’était Facebook, les débuts, c’était déjà nul mais bon, on ne connaissait pas encore les « risques » et c’était la mode en quelque sorte. Quand j’ai vu que je commençais à y passer un peu trop de temps pour rien, inutile. Donc j’ai arrêté, mes potes me disaient par SMS « mais revient, on pourra discuter c’est trop bien » moi de répondre « bah… on fait quoi là ? » « ah ouais ». J’y ai pas remis les pieds, enfin les doigts plutôt. Pas touché à Tiktok, Insta, etc, juste quelques jours/semaines Twitturd, il y a 10 ans. Et p’tain que je suis content de pas être sur les réseaux de merde. Tous les jours ou presque j’en entend parler, en mal évidemment, entre les propagandes diverses (Russe, Israel/Palestine, politique surtout celle très très à droite, complotisme, etc), les embrouilles stériles de gens « connus », les défis très dangereux surtout pour les plus jeunes, je me demande encore si l’humain ne devient pas de plus en plus stupide, c’est affligeant.

Boudu, un paquet d’affirmations complotistes sans preuve, c’est assez fort. Le plus marrant, c’est que l’on a inventé un truc super récemment, cela s’appelle un lien html et que je crois que archive.org est compatible avec cette technologie super-récente. Je ne vais courir après un article qui potentiellement n’existe pas. Allez, au boulot, vous affirmez que la chose existe, prouvez-le. Un peu comme ceux qui affirme que dieu existe, c’est à vous de vous bouger.

Quant aux articles supprimés sur Libé etc., là aussi il faudrait sortir des preuves, pas des affirmations. J’imagine surtout que vous partez en gros délire.

Ce qui me débecte, c’est que certains viennent régulièrement en soutien à moitié caché à un gouvernement fasciste, impérialiste, poutinesque et prétendent donner des leçons. On les reconnaît assez facilement, car ils fonctionnent en camp du bien et du mal, et ils accusent les autres d’être caricaturaux, souvent avec de grandes généralités et rien derrière.

Le problème, c’est que si vous ne vous intéressez pas aux réseaux, les réseaux s’intéressent quand même à vous : les Rohingyas n’étaient pas sur Facebook, la haine qui s’y est développée contre eux leur est quand même arrivée dans la figure.

« Parmi eux, neuf créateurs de contenus de l’hexagone auraient accepté de diffuser des messages pro-russes sur leurs plateformes favorites. »
Des noms, des noms. :blush:

hum… bah non. Les Rohingyas sont connus, tout comme d’innombrable peuple, pas individuellement, mais en tant que communauté. Je ne suis ni connu, ni un peuple, ni son représentant. Les réseaux ne s’intéressent pas plus à moi que je ne m’intéresse à eux. Les réseaux ne peuvent pas deviner mon existence en fait, contrairement à un peuple qui est persécuté. Les Rohingyas, et les autres, on en parle à la TV, dans les journaux, sur internet etc. Moi non. Comment un réseau pourrait savoir que Jean Random existe si personne ne le connait ? C’est un non-sens.

L’argent n’a pas d’odeur, ou plus exactement, ça a une odeur tellement forte que certains s’en servent pour masquer l’odeur des cadavres qui s’accumulent sous les bottes de poutine.

Des traitres, des raclures, des moins que rien.

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Ne te demande plus, chaque jour je considère un peu plus « Idiocratie » comme la meilleure satire d’anticipation jamais produite…

Je préfère continuer à me poser la question, question de garder un peu d’espoir. Et comme l’espoir fait vivre, tant que j’ai de l’espoir, je suis immortel.

Y’a que les Américains et leur fast-food pour obèses qui ont droit au soft-power … ?!

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Battre leurs enfants ? Il y a quand même une sacré différence entre battre et corriger et une valse éducative n’a jamais tué personne, surtout quand cette personne n’a pas encore assez d’esprit critique pour comprendre par elle même ce qui est bien et ce qui est mal.
Les expériences des anciens, ceux que l’on ne regarde pas ou que l’on n’écoute pas assez alors qui sont les vecteurs de la transmission de principes et de valeurs simples. Je regrette de n’avoir pas connu mes grands-parents mais je suis heureux d’avoir écouté ceux des autres.
Et si c’est le terme « saluer les gradés » qui te dérange, je précise que je désigne par là une autre entité de transmission. Celle qui met l’accent sur les lignes directrices que sont les notions de respect, valeur, honneur et devoir. Evidement, si à la base on commence à penser que marcher au pas est un acte de soumission sans se rendre compte que la cohésion et la discipline permettent de mettre les hommes sur un pied d’égalité, forcément il est plus plus facile de porter un jugement.
Quand aux références à Papon, Pétain ou une éventuelle rhétorique anti-juive, je sais que ce sont raccourcis faciles qui sont dans l’air du temps mais elles n’ont rien à voir avec ma réflexion.

Bravo ! Une parole saine et pleine de bon sens !

La rigueur « militaire » que certains portent en modèle sociétal n’a pas pour but de forger des esprits critiques, bien au contraire, elle s’attèle à rendre les esprits obéissant.
« Pose pas de question, obéis, la curiosité est un vilain défaut… »

Oh oui, la bonne éducation par la violence, c’est ce qui manque à ce monde trop tendre…

Et bien je dois être une exception, j’ai été éduqué par l’amour, et j’ai forgé un esprit critique qui sait parfaitement déterminer ce qui est bien et ce qui est mal, par l’éducation explicative du côté de mes parents, et par l’expérience de la violence arbitraire de l’autorité non parentale…

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fascinant ne me semble pas le mot le plus adapté. Catastrophique, lamentable serait plus approprié.
Ne pas être capable de s’orienter seul dans la vie sans ces profiteurs financiers qui vous font croire qu’ils sont indispensables, c’est la preuve de l’échec total de l’éducation, d’où qu’elle vienne.
Et avec les anarcho-gauchistes qui refusent toute régulation d’internet pour une soi-disant protection des libertés, la seule solution pour s’en sortir est l’interdiction de ces soi-disant réseaux sociaux.
Mais surtout, ne touchons à rien. C’est beaucoup plus courageux de regarder le bateau couler. :pensive:

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Bof, les influenceurs sont à peu près aussi fiables que nos médias mainstream.
Ils adoptent la ligne idéologique de ceux qui les payent…

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Il n’y a pas de rigueur « militaire », juste une transmission de règles à suivre pour éviter la décadence et l’anarchie. Si tu disposes de Prime Vidéo, je t’invite à regarder l’épisode 3 de la série docu « Anatomie d’un come back » Et encore là, le traitement à été plus que gentillet mais a quand même porté ses fruits.
Il n’y a pas de bonne éducation par la violence, je le répète, je parle de correction. Un mot qui veut bien dire ce qu’il veut dire et qui permet d’éviter nombre de sorties de route. Mais bon, je dois être d’un autre temps et, de toute façon, le mal est fait et continuons de forger un monde de mains lisses.

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A la tarte à la crème « pensez par soi-même ». C’est mission impossible. Même un scientifique ne pense pas par lui-même, mais avec ses collègues. Il se nourrit des travaux de ses collègues.
Pensez un problème, c’est devenir savant sur ce problème à partir des connaissances élaborées par d’autres. On est bien incapable de produire de la connaissance par soi-même. Des gens en font leur métier, les scientifiques. Ils y consacrent au moins 8 h par jour. Nous pouvons y consacrer très peu d’heures.
Même avec le plus grans savoir zététique, si vous n’y connaissez rien dans un domaine, vous ne débusquerez aucun défaut dans un discours.
il faut être humble et cesser de vouloir la vérité sur tout. Contentez-nous des problèmes sur lesquels nous avons des leviers d’action.

Tu parles de violence.

C’est un exemple comme un autre. Demain, comme dans Matin Brun, vous vous réveillerez parce qu’à un moment, ce sera de vous que les réseaux s’occuperont : pas de vous individuellement, mais de vous collectif, en tant que citoyen.

Donc de tous les citoyens en même temps…

Oui, progressivement, si on ne s’intéresse pas aux réseaux sociaux, ils finissent quand même par avoir une influence sur nous : en Roumanie, cela a fait monter un inconnu qui n’est pas passé par la case débat contre ses adversaires, ailleurs, cela peut faire monter artificiellement des oppositions, car il est toujours plus simple de monter des gens contre quelque chose que pour.