Commentaires : COVID-19 : des labos auraient fait pression sur Twitter pour censurer les partisans d'un vaccin générique

Bon, sans surprise, ça tourne vite au vinaigre et à la grosse dérive, ces discussions sur des sujets aussi polémiques, il reste qu’il y a eu des manoeuvres franchement pas fair-play de la part des labos, les problèmes d’efficacité des vaccins et de la réalité ou non de leurs effets secondaires étant une autre histoire (je connais tout de même plusieurs personnes qui ont bien failli crever de leur 2e ou 3e dose de « vaccin », mais on me dira sans doute que c’est marginal et que si ça se trouve c’est juste qu’elles avaient trop attendu ou qu’elles on chopé le vrai virus juste en même temps et que donc etc… passons…).
Je tiens cependant à ajouter que je suis d’accord avec « Sodium » quand il dit que certains ne voient que les arguments qui les arrangent et trouvent toujours moyen de dénigrer les autres, MAIS que c’est très souvent valable dans les deux « camps » (je reviendrai plus bas sur ce terme…), tant il est vrai que les acteurs du domaine de la santé ont abondamment prouvé depuis des décennies aux dépens de trop d’innocents qu’ils était aussi bien capables de mentir, dissimuler et falsifier certaines études et tests scientifiques (les chiffres, on leur fait dire ce qu’on veut…), que d’être honnêtes dans d’autres cas… d’où la difficulté à démêler le vrai du faux, surtout quand les conseilleurs ont autant d’intérêts en jeu… Si quelqu’un vous dit « ma voiture ne pollue pas, au contraire elle assainit l’air autour d’elle, la preuve : c’est son constructeur qui le dit ! », vous aurez du mal à le croire !! (je me demande d’ailleurs si je n’ai pas déjà lu ça quelque part… bref, peut-être un jour mais on n’en est pas là !).
Trop de gens placent trop facilement les médecins sur un piédestal, certains (trop rares) le mériteraient probablement mais tous sont avant tout humains donc faillibles et parfois malhonnêtes, hélas, ce qui est grave quand ils sont promus experts et largement médiatisés ! Je repense encore à cette caricature de Sempé où une vieille bigote, à l’église, disait : « Ô mon Dieu, j’ai tellement confiance en vous que, quelquefois, je vous appelle Docteur ! »… Tout est dit, sur certains domaines de la médecine on doit croire ce qu’on nous dit comme on entre en religion, car même s’il y a des tests scientifiques censés pouvoir prouver ceci ou cela, rien ne garantit qu’ils aient été vraiment représentatifs et que les résultats n’en aient pas été biaisés, interprétés, certaines données écartées etc… pour être brocardés comme preuve de LA vérité (allant dans le sens espéré…), « vérité » reprise à foison par les médias, parfois déformée ou mal interprétée, mais sur la base de laquelle les politiques vont prendre des décisions graves impactant des millions de personnes ! C’est finalement plus facile pour eux que de devoir clamer qu’on se base sur des tests COVID fiables à seulement 70% dans certains cas (oui, OK, à 99% dans d’autres cas, mais c’est trop compliqué de faire la part des choses !) et sur des vaccins qui ne protègent qu’en partie et n’empêchent pas (ou si peu) la transmission… Et tant pis si plein d’autres scientifiques ont alerté du danger de vacciner en pleine pandémie, que ça allait accélérer l’apparition de variants (ce qui s’est produit…). Et tant pis si le personnel hospitalier meurt à la tâche parce qu’au fil des années on a mené à la ruine tout le secteur hospitalier à coups de mauvaises décisions, de fermetures pour raisons économiques etc…
Ce qui me rend malade au plan humain, c’est de voir que paradoxalement, la COVID nous a d’abord rapprochés (en nous éloignant physiquement ! :-D) : dans les débuts de la crise surtout, on a vu une recrudescence de bonnes actions parfois juste formidablement simples, d’entraides, d’empathie etc. Certains continuent et c’est super, pourtant ça s’est gâté ensuite quand les discours autour de la vaccination ont tout fait voler en éclat pour former 2 « camps », les gentils pro-vaccins et les affreux complotistes antivaxx (officiellement « emmerdés » !) qui contaminent les autres (pas plus que les vaccinés pourtant, mais « peu importe » !), et on se retrouve « obligatoirement » rangé dans l’un ou l’autre de ces « camps », rien qu’en ayant le malheur d’exprimer quelques doutes et interrogations ou si l’on s’est fait vacciner sans trop y croire par obligation ou simple lassitude…
Ceci en espérant que les personnes censées conviendront qu’il puisse subsister de nombreux doutes et que ça ne remettra pas 100 balles dans la machine pour relancer une discussion stérile où les qualificatifs volent de moins en moins haut… ! - Pour ma part, je m’arrête là.
Bonne journée à tous…

Oula, grosse fake news là : c’est une plus grande circulation du virus qui entraîne plus de variants. Or les vaccins n’entraine pas une plus grande circulation. Au contraire si un individu vacciné guérira plus vite et aura des symptômes moins graves, il va éliminer plus vite le virus donc lui donner moins de temps pour muter.

Quelques liens pris rapidement : Les vaccins favorisent-ils l'émergence de variants résistants ?

Selon une étude d’août 2021, un taux de vaccination élevé peut paradoxalement favoriser l’émergence de variants résistants. Cela s’explique par le phénomène appelé « pression de sélection » : plus le nombre de personnes vaccinées augmente, plus l’avantage compétitif des souches résistantes au vaccin s’accroît. On pourrait donc en conclure… qu’il vaut mieux ne pas vacciner la population. C’est toutefois s’avancer sur un faux raisonnement. D’une part, cet avantage compétitif disparaît dès lors que toute la population ou presque est vaccinée, car le virus ne circule alors plus suffisamment pour produire des mutations. Selon la même étude, le pic de probabilité d’émergence de nouveaux variants se situe autour de 60 % des personnes vaccinées, bien en dessous du seuil de l’immunité collective estimée à 90 % et du taux de vaccination atteint en France.

Dans ces circonstances, la meilleure façon de limiter l’évolution du coronavirus est de réduire le nombre d’infections », appuie-t-il. Le modeste avantage que le virus tirerait de l’évasion vaccinale est éclipsé par les vastes possibilités d’infecter les personnes non vaccinées. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si le variant Alpha puis Delta sont apparus en pleine flambée épidémique en Angleterre et en Inde. Jusqu’ici, aucun variant dangereux n’a encore émergé dans une population très vaccinée.

Peut-on vraiment affirmer que les vaccins contre le Covid-19 risquent d’entraîner l’apparition de nouveaux variants plus dangereux ?

Non, la vaccination ne conduit pas à l’apparition de variants plus létaux

Des variants voient-ils le jour à cause des vaccins ? « Ça, c’est un fantasme », rétorque Daniel Floret, vice-président du Comité technique des vaccinations. « Ce n’est pas la vaccination qui cause l’apparition des variants. Ce qui provoque l’apparition des variants, c’est la circulation intense du virus », corrige le vaccinologue auprès de franceinfo.

« Tout ce qui est capable de réduire la circulation intense d’un virus est susceptible de réduire l’apparition des variants. Et non l’inverse », tranche Daniel Floret. La vaccination n’a donc en aucune manière conduit à l’apparition des variants identifiés à ce jour.

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