Commentaires : Ces aliments qui vont disparaître : le changement climatique aura des effets sur ce que vous buvez et mangez

Le changement climatique met à l’épreuve l’agriculture mondiale, avec des récoltes parfois alarmantes en 2023. Certains aliments et boissons sont plus menacés que d’autres, et pourraient disparaître de nos tables et assiettes dans les prochaines années et décennies.

« Même le vin et la bière sont menacés »

Du moment qu’il y a de l’anis et de la réglisse … et un verre à ballon.

Ricoune, si tu me lis :wink: .

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Pour le vin, les baisses de production viennent plutôt des politiques antialcooliques…

Comme c’est parti, on en sera vite forcés à manger du soleil vert

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Le vin est pas prêt de disparaitre car il apprécie la chaleur. Dans le pire des cas les anglais qui feront du vin.

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En attendant, les quelques fraisiers qui ont résisté aux brûlures du soleil l’été dernier sont en train de fructifier, mes cerisiers commencent à bourgeonner, mon citronnier est à bloc de fruits et mon artichautier attaque sa 3eme année de résurrection. J’ai rarement vu ça :face_with_raised_eyebrow: .
J’ai anticipé en plantant des avocats et des kiwis mais au vu de la tournure des chose je songe à compléter avec des plans d’ananas et des bananiers. Ca fait deux années que j’arrive plus à avoir de salades et les tomates cuisent avant même de murir :unamused: .

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Enfin pour le moment malgré la fin du Monde les récoltes mondiales des matières premières ont été vraiment excellentes cette année. Par contre ce sont les prix qui ont flambé car c’est le marché qui décide…

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Restons optimistes. Si l’on accepte quelques modifications sur nos récoltes, je suis persuadé que les chercheurs de l’INRA et autres centres de recherche trouveront des solutions. Par contre, si on se contente des solutions proposées par des écolos ne sachant pas reconnaitre une laitue d’une batavia, alors là nous sommes mal barrés.
Laissons faire les spécialistes et ne faisons pas comme souvent où, bien que ne connaissant rien, beaucoup ont leur avis et leurs solutions.
Tant qu’il y aura du vin, bio ou normal, nous devrions arriver à survivre :blush:

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Améliorer les rendements ne fait plus partie des objectifs de l’INRA. Mais ce n’est pas un problème car il n’y a aucun problème de nourriture : nous avons largement de quoi nourrir plusieurs terres, même avec un réchauffement de quelques degrés. C’est d’ailleurs une des raisons de leur changement de doctrine. Il n’est plus nécessaire de faire baisser le coût de la nourriture dans le budget des ménages car il devenu significativement bas. Autrement dit, l’INRA a réussi.

Ceux qui sur terre manquent de nourriture sont dans des zones de guerre, comme toujours. En temps de paix, la famine est juste une angoisse des écolos intégristes, genre René Dumont (paix à son âme, mais il faut bien admettre qu’il en aura fait du mal ce … ).

Là où ça devient plus délicat, c’est quand les écologistes imposent des baisses de rendement voire la destruction de filières comme la betterave. Là, il n’y a rien d’autre à faire que d’attendre qu’ils finissent par se taire et disparaitre du paysage, comme c’est le cas sur le nucléaire en France. Autrement dit, la recherche ne sert à rien.

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Oh bon diou, non, si c’est pour produire un truc du même niveau que leur gastronomie xD

Et de la menthe pour continuer à faire des perroquets C:

Ça sera l’occasion pour tout ce qui est culture en laboratoire et autres dérives agroalimentaires, de se développer d’avantage :skull_and_crossbones:

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Tan qu’on pourra faire pousser des patates, des haricots verts et des courgettes, je ferais pas mon difficile ^^
Au pire, on réadaptera nos cultures, comme l’ont fait nos ancêtres avant nous, qui ont connus autant de périodes de grands froids que de canicules.

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C’est la vie et puis on a ce qu’on mérite.

Ben justement, pour les patates, c’est un mort.
Et nos ancêtres n’ont JAMAIS connus de telles variations climatiques.

t’en es sûr ?
Non parce que nos ancêtres n’ont pas connu l’essor des pesticides et autres engrais pour booster les récoltes. Non eux ne connaissaient que la jachère.
Et tu ne t’es jamais demandé que la baisse des récoltes était aussi, et surtout dû à l’utilisation du bio (soit ne plus utiliser de pesticides et autres engrais) ?
Enfin si tu n’es toujours pas convaincu, tu ne t’es jamais demandé pourquoi la faune et la flore était plus abondante dans des lieux chauds et humides plutôt que dans des lieux froids ?

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C’est aussi parce que… il y a moins d’humains dans ces zones pour tout ravager… La faune et la flore sont luxuriant partout où il n’y a pas d’humain et suffisamment d’eau.

Par contre, en fonction des conditions, ce n’est pas la même faune et flore… Et c’est justement ça le sujet de l’article. Les cultures vont devoir changer et être remplacées par des plantes mieux adaptées au climat.

Non, les baisses de rendement se constatent à pratiques identiques.

Mais ça ne sera pas le même vin. Le vin ne dépend pas que du cépage, il dépend aussi et surtout de la composition des sols.

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La fin du monde ? Non pas encore, attendons 2027 pour voir de quel bois on va se faire becter.

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Si les concombres et le chou-fleur disparaissent, ce n’est pas bien grave…:grin::grin:

salade de concombres sauce yaourt menthe fraîche et gratin de chou-fleur sauce béchamel noix de muscade… tu sais pas ce que tu rates :wink: .

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