Les rares problèmes que j’ai pu rencontrer sont de l’ordre de la carte graphique (NVIDIA) avec les navigateurs Chromium (quelques freezes et un mauvais contraste de souris en mode sombre) (qui a été corrigé d’une part par la configuration d’une valeur dans l’éditeur de registre, et d’autre part par les mise à jour qui ont suivi)
Le PC en question est un portable Lenovo, fourni avec l’utilitaire Vantage, donc je pense que je reçois les mises à jour quand c’est prêt pour mon matériel
Citation
« Ce sont des problèmes reproductibles sur n’importe quelle machine/nouvelle install »
Non.
Ca serait pas mal de monter un peu le niveau des comparaisons Linux/Windows en le basant sur des choses réelles plus qu’un ressenti.
Pour Linux:
Pour windows:
- Linux avec trop d’admins, c’est une PASSOIRE par CONCEPTION)Niveau stabilité, bugs, c’est kif kif partout. Les DE pas finis sous Linux, la galère en multiécrans s’ils ne sont pas identiques.
Le vol du focus est aussi sous linux par défaut maintenant… Et quand on ajoute un EDR/antivirus, Linux a les mêmes problèmes que Windows.
J’ai bien plus souvent réinstallé Linux parce que complètement pété (système de mises à jour, DE ou bootloader) que Windows de mon côté (mais je suis un habitué de windows). Mais attention je n’en fait pas un règle.
Linux en perso, c’est gérable par un geek. Si c’est pour que papi aille sur Internet, Linux fait le taf - comme n’importe quel OS, et je dirais même que l’OS de google est bien meilleur.
Linux en poste pro … j’ai évalué tant de fois - mais il faut une armée d’experts pour approcher l’équivalent de Windows au niveau pilotage.
Windows n’est pas un mauvais OS - l’UI, on aime on aime pas - moi j’aime pas - mais si on passe en ligne de commande, Windows n’a pas changé depuis 25 ans, et ça en entreprise c’est priceless.
Si.
Powershell et sa syntaxe infame ? Où il faut écrire des phrases farfelues pour lancer des commandes simples. J’écris toujours la plupart de mes scripts en batch car plus pratique, malheureusement comme c’est « deprecated » plein de fonctions ne sont pas possibles et on est parfois obligé de faire du powershell.
L’UI on aime on aime pas… Ok, j’aurais pu ajouter le shell 
Powershell est loin d’être infâme. Il a une syntaxe cohérente (avec des roblèmes certes), une ligne conductrice plutôt suivie, un nommage clair (qui fait qu’on tape au pif une commande pour voir si elle existe et ça marche).
Sans parler de l’intégration .net qui rend l’outil énorme.
Alors oui, c’est plus verbeux que du Bash +grep +awk, mais alors c’est tellement plus lisible!
Quand à batch… Disons que c’est assez aléatoire, il reste trop de limites.
Powershell est un produit qui répond à nombre de problématiques majeures: le travail sur les dates, sur les encadages de chaîne, la capacité à avoir des logs, un avancement, le traitement souvent indifférencié d’un élément comme d’une liste d’élément, l’intégration des requêtes web…
C’est simple: au boulot presque toute la glue est en powershell! Et ça marche sous linux (disons…souvent)
J’ai précisé que je n’étais pas un expert. Je fais partie de ceux qui partent de loin en loin en exploration du côté de Linux, comme on fait de la spéléo ou de la plongée sous-marine, avant de remonter à la surface.
Bien sûr, c’est l’installation ou le hardware le problème.
On constate les problèmes en question sur plusieurs machines (avec des configs matérielles différentes). Les OS sont installés avec les supports d’installation fournis par Microsoft et sur des SSD vierges.
Ah et choses amusantes, certaines machines sont encore sous 23H2 et d’autres en 24H2, les problèmes sont là dans les deux cas. 
Ah, ben voilà, l’ARGUMENT ultime.
DIEU a parlé, fin du game.
Allez, j’arrête là.
Continue bien avec ton Windows parfait, le meilleur des OS, qu’il ne faut pas critiquer, sans craindre la colère divine. (Je peux être payé par MS pour une tirade pareille ? 
)
…
Il n’est pas parfait, mais en termes d’environnement de bureau il est de très loin le meilleur. Ca me fait toujours rire quand je vois mes collègues passer leur vie sur la vue bureau virtuel parce que leur système est infoutu d’offrir un accès facile à toutes les applications ouverte sur un écran. Linux est fait pour être utilisé en terminal, point. MacOS quant à lui est fait pour ne pas être utilisé du tout.
Sinon oui, les problèmes que tu rapportes ressemblent sacrément à un soucis d’interface chaise-clavier.
Le système de depot existe depuis bien longtemps.
Le format exe, tu as un équivalent sous Linux, c’est le format appImage. C’est un format qui s’embarque le code source du logiciel et les libraires.
Par exemple, pour avoir la toute dernière version du logiciel de montage Kdenlive sous GNOME, j’ai juste eu à le télécharger, à le rendre exécutable via un click droit puis ensuite à le lancer via un double click sur l’icône.
Si tu aimes un distrib dépouillée, une des premières chose est de demander à des canaux Telegram sur le libre ou sur les forums. La force de linux (et un défauts en même temps) est justement sa diversité. Tu ne vas pas installé une distrib type MINT, mais par exemple une Debian.
Après au niveau bureau, comme conseillé @trollkien , tu as l’excellent XFCE, très léger et paramétrable. J’aurais également conseillé GNOME. Un peu plus lourd mais répondant tjrs à ton cahier des charges.
AppImage, c’est plutôt un format pour faire des applications portables, ce n’est pas l’équivalent du exe de Windows (même si le vrai nom des exe c’est… Portable Executable 
).
L’équivalent Linux du format exe, c’est le ELF, qui est le format binaire standard de quasiment toutes les applications Linux. Mais qui n’a par contre pas d’extension de nom de fichier. Donc par exemple /usr/bin/ls, c’est un binaire ELF.
Les systèmes Unix n’ont habituellement pas d’extension de fichier pour les binaires, tout simplement parce que c’est un flag sur le système de fichiers qui indique si un fichier est exécutable ou non, pas son extension (ce qui au passage réduit légèrement la surface d’attaque, un binaire téléchargé sur Internet ne sera pas exécutable par défaut).
Oui, donc, si je décrypte, on n’est pas dans le « je télécharge, je clique, j’installe » mais dans une procédure qui, j’en suis navré, échappera au nombre, dont je suis, qui ne sait pas ce qu’est un binaire et n’a pas une utilisation pro d’un ordi, qui a appris ce qu’il en sait sur le tas, y passe en gros trois à quatre heures par jour, essentiellement à visionner des films et lire des articles de presse, des blogs, échanger par mail avec ses correspondants…
@Joeee et Juju251 : Je peux comprendre que vous soyez à fond dans quelque chose qui vous tient à coeur, et je trouve ça très positif. Le débat opposant (complétant) Windows/Linux (MacOs s’en trouvant marginalisé) reste centré, si ma synthèse est bonne, sur la relative simplicité d’utilisation de Windows (c’est en train de changer…!) et sur l’apparente complexité des multiples propositions linuxiennes, caractérisée par un jargon pour le moins hermétique dès qu’on se situe, en toute modestie, dans le clan des noobs ou, tout du moins, des utilisateurs d’une bécane qui se contentent de l’allumer quand ils en ont besoin et de l’éteindre quand ils passent à autre chose. Comme n’importe quelle machine.
En fait, ça dépend :
Déjà, les distributions Linux axé grand publique se sont quand-même nettement simplifiées, il est par exemple possible d’installer des logiciels avec une interface graphique proche de celles des stores applicatifs (mais c’est gratos 
) avec les outils embarqués.
Il y a des gens pour qui Windows est compliqué et qui ne vont pas l’installer par eux-mêmes et qui vont utiliser leur machine pour aller sur Internet, envoyer des mails, faire quelques travaux bureautiques / graphiques.
Pour les gens qui ont ce genre d’utilisation d’un ordinateur, une distribution Linux orientée grand public, telle que Ubuntu, ou Mint peut faire l’affaire.
Si le système leur est installé.
Et d’ailleurs pour les personnes ne connaissant pas l’informatique, un système de ce genre (Mint / Ubuntu par exemple) peut être adopté relativement vite, parce qu’elles n’auront pas d’habitudes à perdre / recréer. 
Après, comme je le dis assez souvent, le « meilleur » système c’est celui avec lequel on est à l’aise et qui nous convient.