Le diamètre :
Plus le diamètre de l’objectif est important, plus l’instrument montre de détails. La focale :
Elle représente la distance entre l’objectif et le foyer. Elle permet de calculer le rapport d’ouverture d’un instrument.
Le rapport F/d (focale/diamètre) :
Le rapport d’ouverture se calcule en divisant la focale d’un instrument par le diamètre de son objectif. S’il est inférieur à 10, alors l’instrument est lumineux et adapté à l’observation du ciel profond. S’il est supérieur à 10, il est plutôt adapté à l’observation planétaire. Le grossissement maximum utile :
Plus le grossissement d’un instrument est fort et plus la luminosité se réduit ainsi que le nombre de détails visibles. Le grossissement maximum utile est donc le meilleur rapport entre le détail et le grossissement. Il s’obtient en multipliant le diamètre de l’objectif par 2. Pour une lunette de 60 mm, il est de 120 fois. La magnitude limite accessible :
C’est un nombre qui caractérise l’éclat d’un astre. Plus cet astre est pâle, plus sa magnitude est forte. L’oeil nu permet de discerner jusqu’à la magnitude 6, une lunette de 60 mm, la magnitude 11,4 ; un télescope de 200 mm, la magnitude 14,7. (Le télescope spatial Hubble atteint la magnitude 28 !). Le trépied :
Cet élément doit être suffisament lourd et rigide pour supporter l’instrument en évitant de transmettre des vibrations gênantes pour l’observation. La monture :
La Terre fait un tour sur elle même en 24 heures, entraînant le défilement de la voûte céleste, bien visible durant une nuit d’observation. Aussi, lorsque l’astronome observe avec un grossissement de 100 fois, il multiplie par 100 le mouvement apparent de la sphère céleste, rendant difficile le suivi de l’objet visé ! La monture permet de suivre plus facilement ce déplacement. Une monture azimutale permet dorienter linstrument verticalement et horizontalement et est plus facile à manipuler. Lavantage de la monture équatoriale est de pouvoir suivre le mouvement apparent du ciel, une fois linstrument mis en station. La motorisation simplifie encore lobservation ; linstrument suit seul lobjet pointé !
oui c’est téléscope (type Newton). 300 c’est le prix de base pour ce genre d’appareil avec un minimum de qualité.
Meade on une très bonne optique. par contre je sais qu’a l’époque ou j’avais acheter le mien les montures étaient assez instables… mais je crois que ca a changé (a confirmé)…
230 ca fait bcp… mais bon pour du planétaire…
de toute facon tu te rendra vite compte que le grossissement c’est pas le plus important…
300, ça reste un prix convenable. J’aurais cru qu’un budget plus important soit nécessaire pour avoir quelquechose de correct. Je sens bien que ça va le faire pour ma fête des pères…
Bon, ma recherche se précise et je pense prendre un télescope 114/900 de Meade avec quelques occulaires. Mon intéret pour l’instant c’est le planétaire. Je verrai après pour tout ce qui est “ciel profond”.
Sur un forum d’astro, j’ai vu beaucoup de belles photos réalisées avec un 114/900 et un appareil photo numérique. Mais elles sont en général traitées et/ou ce sont des “sommes” de plusieurs photos en même temps. Avant de passer à la photographie, je veux juste observer. Est ce que j’aurai une qualité aussi bonne à l’oeil qu’avec les photos (voir meilleure) ou est ce que le traitement et la supperposition des images améliorent la qualité ?
Et par la suite si on veut faire de la photographie avec un 114/900 “de base”, c’est pas trop difficile d’y adapter un APN ou une webcam ? D’ailleurs, s’agit il d’une webcam standard comme sur les PC ?
Bon, pour revenir dans l’astronomie, j’avance peu à peu dans mes recherches. Mais je constate qu’il existe des télescopes d’autres marques que Perl ou Meade. Ca vaut quoi ?