En Allemagne, Angela Merkel, bien placée pour la Chancellerie, serait en voie de la remporter.
Aux Etats-Unis, Hilary Clinton, sénatrice de l’état de New York, est considérée comme candidate potentielle aux primaires démocrates de 2008.
En France, un sondage BVA pour Le Figaro et LCI affiche Ségolène Royale comme la mieux placée à gauche pour la présidentielle de 2007.
Dans un premier élan, trés politiquement correct, je me dis "Bien sûr!"
Dans un second temps, je pense "Pourquoi pas?"
Dans une troisième introspection, je me dis "Bigre, ça me ferait drôle, tout de même"
Par contre d’une façon générale et encore plus en politique, je suis contre toutes formes de Parité ( obligatoire ) et autres “conneries” du genre…
Je suis pour qu’on fasse tout en amont pour faciliter l’accession des femmes aux plus hautes responsablilités de l’état et sur l’échiquier politique en général mais que ce soit pour leurs talents qu’elles soient retenues.
Actuellement en France on a à la fois un fort machisme dans certains partis politique et en même temps certaines femmes qui se retrouvent propulsées à la tête de ministéres juste pour des raisons de quota.
Vivement donc que les mentalités changent, qu’il y ait + de femmes en politique pour qu’enfin les choix se fassent sur les capacités et uniquement la dessus.
Je m’en tape qu’une femme vienne au pouvoir. Par contre, qu’elle ne vienne pas me dire qu’on s’en prend à elle “parce que c’est une femme”, alors que je peux être en totale contradiction avec ses idées ou son programme (voir la démagogie de tous les instants qu’elle propage… :whistle: ).
Je ne suis pas non plus en faveur d’une politique des quotas, et la discrimination positive me semble être une absurdité. Non pas que je vante celle-là, négative, mais bien que je condamne toute prise en compte d’une spécificité - quand bien même à des fins humainement positives - dès lors que ce n’est pas la spécificité qui est en jeu.
Ceci étant, il y aura toujours des appréciation, des votes, des acclamations et des oppositions basées sur la personne plutôt que sur son discours, son programme. Mais taxer quiconque en désaccord de parti-pris est aussi affligeant que le comportement de celui chez qui c’est un fait. Il n’y a que l’intéréssé(e) qui connaît ses motivations réelles (pour peu qu’il/elle les connaisse toujours).
Nous touchons là à la ségrégation d’une manière générale.
Mais mon propos est bien celui du pouvoir de la femme dans nos sociétés contemporaines: si on l’accepte, est-ce vraiment, chez l’homme notamment, sans aucune réserve, sinon d’ordre intellectuelle, du moins de nature émotionnelle? N’éprouve-t-on véritablement aucun désagrément par exemple à être commandé par une supérieure, toute au féminin?
Oui, on l’oublie beaucoup trop souvent en c’moment c’est une honte ! Formons le CNOO (Comité du Non Oubli d’Obiwan) ! :super:
Pour les femmes, je dirais comme sacha guitry, "je suis CONTRE les femmes… tout contre" ! :ane:
Bien sûr ! Une femme au pouvoir je suis d’accord ! Mais à une seule condition : qu’on ne la descende pas en politique juste parce qu’il s’agit d’une femme et pas d’un homme.
Les idées et le talent ne sont pas livrés avec les *ouilles que je sache.