Xbox live apple store steam, la fin de l'occasion via la dématérialisation et des points de vente?

Sujet intéressant !

Il est clair que l’achat online est très pratique. Je suis très peu dématérialisé, toute la musique et les films que j’achète ont une existence physique. Mais depuis que j’ai la PS3, j’ai acheté 8 jeux sur le PSN. Bien sûr je n’acheterai jamais un jeu existant en boite, pour les possibilités de revente et de prêt. C’est simple, rapide, pas trop cher. Mais c’est aussi un moyen pour nous faire adopter le DLC petit à petit. Il suffit de voir le scandale (pour moi c’en est un !) de la fin de Prince Of Persia. Je l’ai, j’y ai pas encore joué (prêté à un pote) et je suis presque sûr que je me ferai avoir car j’aime finir les jeux, pas juste y jouer. Mais c’est quand même dégueulasse…

Quant à la fin du marché de l’occasion, ça ne marchera pas. Je ne revends jamais mes CD ou DVD (sauf parfois pour les prendre en BR). Par contre les jeux oui. Pour ceux que je n’ai pas l’intention de garder (typiquement un bon jeu mais sur lequel on ne revient pas, genre un Prince Of Persia tiens, et au contraire d’un SF4, qui se doit d’être toujours dispo pour une soirée entre potes, même 10 ans après), je me débrouille pour les finir assez rapidement et les revendre avant qu’ils ne valent que 3 €. Faut pas se leurrer, si des sites comme Priceminister et 2xmoinscher sont devenus aussi énormes, c’est que le marché de l’occasion l’est aussi. Et ça a commencé comme souvent par CD, DVD et jeux vidéo. Donc si on stoppe ça, comme ça a déjà été dit, c’est la fin des magasins de JV faisant de l’occasion (qui représente une bonne partie de leur chiffre d’affaire je pense, car les jeux neufs on peut en général les trouver moins chers sur le net), la fin des boutiques d’occaz (si elles n’ont pas d’autres sources de revenu), un grand coup dans l’aile des sites d’occaz et bien sûr une désaffection des joueurs pour leur loisir. Si on ne peut plus acheter les jeux d’occaz ou en import, je suis pas prêt de lâcher 70 € dans un jeu neuf, je les paie en effet la plupart du temps moitié prix. Je pense qu’il faut y aller mollo avec le DLC, histoire de pas montrer à EA et UbiSoft qu’on est clients.Sinon c’est la porte ouverte à toutes les fenêtres…

shuret; je pense en effet qu’il faut y aller mollo avec leurs service en ligne

car c’est la fin des boutiques d’occasions, et de l’activité jeux vidéos/films/musique d’ebay , priceminister et compagnie

au passage, les boutiques ont survécu à ces sites monstres…

mais avec le téléchargement c’est mort de chez mort

c’est quoi le soucis avec prince of persia à propos?

Le dernier niveau de Prince Of Persia est payant en DLC et uniquement sur X360 et PS3. Un gros foutage de gueule quoi !

www.clubic.com…

ouai un peu abusé… la fin tronquée… pour payer un add on online…

bon et bien on sait ce qu’il reste à faire… pour l’exemple héhé

Je pourrais le faire, ce serait avec plaisir que je le piraterais… J’attends déjà de finir le jeu, on verra bien si je reste sur ma faim. 9,99 € quand même, ça va que j’ai pas payé le jeu 70 €.

oui c’est moyen comme stratégie marketing quand même;…

bon allez une MAJ

toujours sur la nouvelle PSP

“Côté technique, le site américain réaffirme la disparition du lecteur UMD de la console. Celui-ci serait remplacé par une mémoire interne”

“Pour se les procurer, il faudrait tout simplement les télécharger.”

www.bestofmicro.com…

MAJ NOVEMBRE 2009

www.eparsa.fr…

"Sony prévoit le lancement d’une boutique en ligne sauce iTunes

Avec un marché qui se resserre sur les ventes de matériel, Sony est à la recherche de nouvelles sources de business et ainsi de stimuler ses ventes. Une première réponse semble trouvée vers le développement d’une boutique en ligne pour vendre des actifs incorporels comme de la musique, des films, des livres et diverses gamme d’applications. Concrètement, un Sony iTunes. Sony souhaite s’appuyer sur le succès du Playstation Network et créer une vitrine en ligne plus commerciale pour un marché diversifié avec du contenu téléchargeable. Peu de détails ont été avancés sur l’apparence et le contenu du nouveau magasin… Cependant, Sony a avancé l’idée que son site sera plus interactif qu’iTunes, permettant aux utilisateurs de télécharger des vidéos et des photos sur leurs comptes personnels, par exemple…"

Pour avoir testé gratuitement la VOD d’Orange, si Sony lance une VOD (c’est pas déjà le cas aux USA ?) sur PS3, ce sera toujours plus pratique que sur PC. J’ai essayé plusieurs moyens pour matter mon film sur la TV via la PS3 en DLNA est c’est impossible. Donc je serais éventuellement client. Mais j’ai que du 1 Mb, et pour dl un film en HD, ça va mettre des semaines (sans compter la consommation EDF…). En tout cas, la VOD qui supplante le BR, j’y crois pas vraiment, du moins pas avant une paire d’années. Peut-être avec la fibre… En tout cas, moi je serai toujours sur support physique, même si ça commence à prendre beaucoup de place. Ca peut être une bonne alternative légale au piratage certes, si les tarifs sont à l’avenant et dans un contexte post-hadopi. Mais pour les films “cultes”, je ne saurai les posséder qu’en version dématérialisée. Quant à la musique, je reste fidèle au bon vieux CD ! Je ne suis sûrement pas représentatif de la population et notamment des jeunes habitués au dématérialisé, mais je ne changerai pas mes habitudes pour un service que je considère comme qualitativement inférieur au physique, limité en usage et pas forcément moins cher.

MAJ 09/02/10

on commence (enfin) à parler sérieusement un peu partout…

et notamment ici :

"Sujet passionnant au possible, la dématérialisation est au cœur des débats depuis un moment maintenant, Gameblog ne faisant d’ailleurs pas exception vu que le sujet à déjà été abordé dans plusieurs podcasts et a été le centre du numéro 127 : « Faut-il avoir peur de la dématérialisation ? ».

Les arguments en faveur et en défaveur de la dématérialisation sont à présent connus par toute personne intéressée par le sujet mais je suis souvent surpris de voir le poids qui leur est généralement donné.

En effet, certains arguments comme l’impact écologique ne sont souvent traités que comme des seconds couteaux par des gens qui sont devenus les premiers « parents gamers » et qui devraient peut-être du coup commencer à se préoccuper plus de laisser une planète propre à leurs enfants plutôt qu’une collection de boites et de DVD.

Après avoir vu encore récemment le film « Home » ( film écologique visionable gratuitement en HD ici : www.youtube.com…,) la fibre écologique en moi ne peut que vibrer à la pensée du bien que la dématérialisation ferait à notre planète. En effet, la pollution engendrée par les services dématérialisés est vraiment minime par rapport au coût en matières premières d’un packaging de jeu et d’un disque optique additionnés à la pollution du transport du produit de l’usine aux stocks, des stocks vers chaque petit magasin puis des magasins à votre salon. Bien des déchets et de la consommation de carburant pourraient être évités grâce à la dématérialisation.

Si la suppression totale de ces transports, entrepôts et magasins serait une bouffée d’oxygène pour notre planète et nos enfants, certains rétorqueront aussi que socialement, ce sont des emplois qui vont disparaitre par la même occasion. Il faut tempérer ces propos en y opposant le fait que la dématérialisation va aussi œuvrer pour la création de nouveaux emplois. Certes, le nombre de personnes requises pour faire tourner un service comme Steam est bien moins important que le nombre d’employés chez Micromania par exemple, mais il ne faut pas oublier un des autres arguments majeurs en faveur de la dématérialisation : le retour en force du développement Indépendant. Et ce mouvement indie, lui aussi commence à générer de l’emploi pour des gens en soif de créativité.

Outre ce bonus social, l’opportunité offerte par la dématérialisation aux indies de produire des jeux à coût ultra réduit nous a surtout permis à nous, joueurs, de découvrir des jeux originaux, différents, et cela en grand nombre. A l’époque des supers productions vidéo ludiques où la prise de risques coûte trop cher, l’économie que représente la dématérialisation est la bienvenue.

Coté économique, il faut aussi parler de la concurrence, car le dématérialisé a pour caractéristique d’être ouvert complètement sur l’international, un jeu ne vous coutera pas plus cher à télécharger sur un serveur islandais que sur un serveur qui serait à quelques centaines de mètres de chez vous, fini donc de payer 10 euros plus cher votre jeu parce qu’un revendeur a le monopole de la distribution sur votre région.

Bon, et les défauts alors ? Bien sûr, il y en a, mais à mon avis ils sont minimes et à relativiser en vue des avantages.

Un des points négatifs souvent mis en avant est la disparition du marché de l’occasion. Je pense que cet argument ne tient pas la route car là où certains voient une disparition, je pense qu’en fait on va plutôt assister à une transformation. L’occasion permettait aux joueurs ne souhaitant pas posséder un jeu à jamais de le revendre et donc de jouer pour moins cher. C’est la location qui désormais permettra de jouer à un jeu en ne le possédant qu’un laps de temps limité. Location qui prend réellement son essors depuis l’avènement du dématérialisé et de sites tel que Metaboli et qui remplace avantageusement la location de disques optiques dont l’état pouvait nous réserver de malheureuses surprises.

Pour conclure à propos de ce marché de l’occasion, notons aussi que la motivation principale que les joueurs trouvent dedans, le gain économique, est au final un des plus gros avantages du dématérialisé. D’ailleurs, on l’a vu encore il y a peu avec les offres Steam, les « vieux » jeux peuvent grâce à la dématérialisation trouver une vraie seconde vie commerciale, pour le plaisir des joueurs et des développeurs. Il faut dire aussi que les boutiques en ligne peuvent se permettre de proposer un nombre infini de jeux nouveaux ou anciens alors que les bacs des revendeurs classiques eux ne pourront jamais en accueillir qu’un nombre très limité, n’assurant de la visibilité qu’aux plus grosses productions.

Reste le plus gros argument contre la dématérialisation : L’avantage de posséder un objet, l’amour de la boite et de la collection.

C’est sûr, il n’y a pas le même plaisir à posséder un disque optique que d’avoir un jeu installé sur son disque dur. Si tout le monde n’est pas prêt à se séparer de cette envie de possession pour préserver notre planète, il y a sûrement moyen de trouver une substitution qui pourrait d’ailleurs également assurer la transition entre notre époque et le tout dématérialisé. Cette substitution pourrait simplement prendre la forme de packagings collectors, boites remplies de goodies divers et qui abriteraient aussi le code permettant le téléchargement du jeu.

Reste la peur qu’ont certains qu’un jour, le service qui leur a vendu leur jeu disparaisse et qu’ils perdent ce jeu donc. Difficile d’aborder actuellement pleinement le débat sur ce problème car coté dématérialisé, le problème ne s’est jamais encore présenté, par contre, le problème de durée de vie des médias matériels est lui connu.

On ne parle pas ici de vos disques optiques rayés par votre enfant mais plutôt de la disparition des K7 à bandes magnétiques par exemple. En effet lire un jeu ou un film stocké sur support magnétique aujourd’hui relève de plus en plus de l’exploit, d’abord à cause de la durée de vie du format, mais vous pourriez rétorquer qu’aujourd’hui la durée de vie d’un disque optique est largement plus grande, mais surtout à cause de l’appareil qui permet de lire ce média. En effet, posséder encore une K7 vidéo en état d’être lue est plus simple que d’avoir encore un magnétoscope capable de la lire.

Avec le tout numérique, ce risque devient inexistant et seul le logiciel en lui-même devient sensible à son « lecteur ». C’est un peu ce qu’il se passe avec le PSN où vous pouvez trouver FFVII par exemple pour votre PSP. Actuellement, il faut acheter à nouveau un jeu que l’on possédait peut-être déjà, mais dans le futur, une fois que l’on aura acheté le jeu (ou plutôt le droit de le télécharger) on pourra aussi bien y jouer sur sa console de salon, sa console portable ou même un autre lecteur comme un PC doté d’un émulateur pour quand les consoles ne seront plus produites qui sait ?

Un autre problème technique est celui de la vitesse de téléchargement très limitée encore chez certains providers. Vu à quel point nous pouvons être en retard sur certains pays (comme la Suède ou le Danemark en Europe), on pourrait simplement penser que si la demande grandit pour le dématérialisé (et là on parle aussi de la « video on demand »), les providers devront s’aligner pour offrir des débits appropriés. En attendant ces changements, il existe déjà des jeux jouables en streaming qui se téléchargent en même temps que vous y jouez comme World of Warcraft ou encore la technique de Onlive qui lui ne vous envoie que le flux vidéo (le jeu est joué sur un serveur qui vous envoi l’image toute calculée) !

Le seul gros problème donc reste cette fameuse fermeture possible d’un service, il faudra voir de ce coté si des solutions ne peuvent pas être envisagées, si légalement l’utilisateur pourrait en être un minimum protégé par exemple ?

Vous l’aurez compris, je suis un fervent défenseur de la dématérialisation, et pour moi, plus la transition se fera vite et mieux ce sera pour les joueurs et notre industrie, mais aussi et surtout pour notre planète.

La plus grande inconnue est sûrement maintenant de savoir dans combien de temps l’industrie basculera vraiment vers cette dématérialisation. Si les chiffres progressent vite et bien du coté de Steam, on note que le pouvoir des revendeurs reste énorme, il suffit de voir les pressions que subissent les éditeurs qui sont forcés d’appliquer des prix rédhibitoires aux jeux qu’ils publient sur des services dématérialisés (on pense au « Games on demand » du Xbox-Live) sous peine de voir leur jeu obtenir une mauvaise visibilité en rayon ou encore le boycott du même genre dont a été victime la pauvre PSP GO qui a le mérite d’ouvrir le chemin.

Cette année ne sera sans doute pas encore l’année charnière qui verra les services en ligne prendre le dessus sur les revendeurs classiques, mais j’espère qu’elle verra les joueurs marquer leur soutient au dématérialisé encore plus qu’en 2009 pour accélérer cette révolution en marche."

www.gameblog.fr…

personnellement je ne partage absolument pas l’avis de l’auteur de l’article paru récemment…

à suivre…

sinon, on en parle pas mal ici (forum SONY PLASTATION)

community.eu.playstation.com…
Edité le 09/02/2010 à 00:07

Ne partage pas nàon plus l’avis de l’auteur… louer un jeu n’importe quoi :pfff:
et pis dans l’occase ya 2 point de vue:
ya celui qui vends pour ne pas avoir a debourser de trop pour avoir du neuf (le drenier truca la mode); peu interresé par la location paske il a pas forcement envie de vendre tous ses jeux
et celui qui achete d’occaze car pas de moyens financiers (mais lui ne le revends pas ses jeux d’occases… petre meme il veux les garder) et donc lui pas interressé du tout par location…

moi par exemple j’essaye de ne pas payer mes jeux plus de 10€ pieces (neuf ou occases en fonction des promos) et j’ai pas envie de vendre mes jeux…

J’ai l’impression qu’il défend une chose qu’il ne connait pas réellement ou plutôt des points qu’il occulte.
Par exemple, il explique que l’on pourra acheter à l’autre bout du monde sans les problèmes liés au zonage et aux prix préférentiels de certains pays sauf que, dans les faits, il a tort.
Quand on achète sur une plateforme, les jeux sont encore “zonés” et l’on ne peut pas acheter en dehors de son pays.
Bon, ok ce n’est pas totalement vrai mais ce n’est pas à la portée du quidam.

Etc…

Faut surtout feinter les sécurités , y’a moyen d’acheter sur steam UK en indiquant une adresse du RU , et à une période ca marchait pour le steam US en indiquant l’alaska car il ne demandait pas de ZIP code :paf: