Entre autres découvertes, Fandomspot remarque — sans grande surprise — que le mot « f*ck » est le plus utilisé (2 073 occurrences) parmi toutes les grossièretés relevées dans les jeux retenus.« Sh*t » le suit de près avec 1 862 apparitions.
Bien triste record. Ce qui est encore plus triste, c’est que la « vraie vie » soit si vulgaire.
Heureusement qu’il y a Animal Crossing, ça fait du bien !
Pour C2077 le scénario colle bien à la réalité et surtout aux références des films, la trame de l’histoire est vraiment très prenante, je conseil ce jeux et vivement le gros dlc.
Ps : normal que se soit -18 au vu de certaine scène dont celle par exemple de Snuff en référence à 8mm avec nicolas cage.
Le plus triste c’est que rien ne force Clubic à censurer des expressions familières du quotidien mais qu’ils le font sans aucune raison ni visiblement compréhension (càd : on n’est pas sur un réseau social US avec censure automatique, donc pas besoin de le faire sur son propre site).
Ce classement n’a aucun sens
Il suffit qu’un jeu avec énormément de lignes de dialogues pour que le nombre de grossièretés augmente considérablement.
Et à l’inverse un jeu peut avoir très peu de lignes de dialogues (postal 2 par exemple) et être extrêmement vulgaire.
Bien ceux qui ont mentionné Kingpin, j’allais faire de même : il était vraiment énorme sur les dialogues, que ce soit en anglais ou en français ça envoyait du lourd.
Pas vu plus ouf que Kingpin en terme de violence verbale ^^ Y’a même un mix youtube qui a été retiré. le [DTC] mix. C’était le bon vieux temps du jeux video, liberté totale. Y’avait des jeux beaucoup plus violent sur le plan visuel. Mais verbalement, y’a qu’à taper « Kingpin Life of Crime [mix audio] » sur youtube pour en avoir un aperçu et s’en convaincre. Le plus énorme dans tout ça c’est que c’était des doubleurs hors pairs qui ont fait ces dialogues. Style le doubleur de Samuel Lee Jackson ou Eddie Murphy. J’adore le ton sur lequel il dit sa réplique « je vais lui éclater la bip à cet espèce d’encubip de fils de bip »… ou encore « bip je vais me le faire ce susseuw de bip là » Très fidèle à l’esprit bronx des années 30.